Discussionsportant plutĂŽt sur le point de vue des parents d'enfants autistes ou Asperger, par exemple : j'ai un problĂšme avec mon enfant, que puis-je faire ? 11 messages ‱ Page 1 sur 1. Message. Auteur. ryryetjenni Assidu Messages : 200 EnregistrĂ© le : mar. 08 janv. 2013 21:35 Localisation : 62. refus d AVS-I #1 Message par ryryetjenni » mar. 12 fĂ©vr. 2013 19:33 Des parents d'Ă©lĂšves handicapĂ©s de Plabennec, Miniac-Morvan et AthĂ©e-sur-Cher avaient attaquĂ© l'Etat Ă  propos du financement des accompagnants pendant les temps pĂ©riscolaires. Par RĂ©daction Saint-Malo PubliĂ© le 21 Avr 22 Ă  1755 mis Ă  jour le 21 Avr 22 Ă  1821 A Miniac, un Ă©lĂšve de maternelle ne bĂ©nĂ©ficiant pas d'AVS avait Ă©tĂ© exclu des activitĂ©s pĂ©riscolaires en 2018. ©© Illustration M-B / 14actuLa cour administrative d’appel de Nantes a donnĂ© en grande partie raison Ă  l’Etat dans le conflit qui l’opposait Ă  des parents d’élĂšves handicapĂ©s de Plabennec FinistĂšre, Miniac-Morvan Ille-et-Vilaine et AthĂ©e-sur-Cher Indre-et-Loire au sujet de la prise en charge financiĂšre des accompagnants pendant les temps nationale estimait en effet que la rĂ©munĂ©ration des auxiliaires de vie scolaire AVS des enfants relevait des collectivitĂ©s qui organisaient ces activitĂ©s. Une dĂ©cision illĂ©gale », selon les parents des deux Ă©lĂšves concernĂ©s Ă  Plabennec FinistĂšre, puisque les activitĂ©s pĂ©riscolaires participent indubitablement Ă  l’éducation des enfants » selon parents du jeune N. et ceux de L. – qui se partageaient les deux mĂȘmes AVS Ă  l’école primaire du Lac de Plabennec FinistĂšre – avaient d’ailleurs Ă©tĂ© les premiers Ă  saisir la justice administrative il y a cinq ans. Soutenus par la commune, ils avaient obtenu gain de cause devant le tribunal administratif de Rennes en 2017, puis une premiĂšre fois devant la cour administrative d’appel de Nantes en 2018, mais avaient Ă©tĂ© dĂ©savouĂ©s par le Conseil d’Etat en plus haute juridiction administrative française avait alors sommĂ© les juges nantais de revoir leur copie Ă  la lumiĂšre de son analyse Miniac-Morvan, un Ă©lĂšve handicapĂ© excluLe cas de figure du jeune Paul *, Ă  Miniac-Morvan Ille-et-Vilaine, Ă©tait quelque peu diffĂ©rent cet Ă©lĂšve de maternelle Ă  l’école privĂ©e avait Ă©tĂ© exclu temporairement » de la cantine scolaire et du centre de loisirs en fĂ©vrier 2018 par le maire de l’époque, Ă  la suite d’incidents ».Ses parents avaient alors obtenu le droit de bĂ©nĂ©ficier d’un auxiliaire de vie scolaire AVS devant la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH d’Ille-et-Vilaine en avril 2018. Pour autant, le maire de Miniac-Morvan avait refusĂ© de rĂ©intĂ©grer » l’enfant sur les activitĂ©s pĂ©riscolaires Ă  la rentrĂ©e suivante de septembre 2018, relĂšve la AthĂ©e-sur-Cher Indre-et-Loire, Aurore s’était elle heurtĂ©e en mars 2020 au refus des services dĂ©partementaux de l’Education nationale de prendre Ă  leur charge la rĂ©munĂ©ration de l’assistant de son fils, en dĂ©pit d’une dĂ©cision favorable de la CDAPH d’ en ce moment sur Actu Le service public de l’éducation 
 veille Ă  l’inclusion de tous les enfants, sans aucune distinction », Ă©dicte pourtant le code de l’éducation, dans ses principes gĂ©nĂ©raux. Pour favoriser l’égalitĂ© des chances, des dispositions appropriĂ©es rendent possible l’accĂšs de chacun 
 aux diffĂ©rents 
 niveaux de la formation scolaire. 
 L’Etat met en place des moyens financiers et humains nĂ©cessaires Ă  la scolarisation en milieu ordinaire des enfants 
 handicapĂ©s. »L’Etat devait s’assurer de la continuitĂ© de l’aide » Il appartient Ă  l’Etat de prendre en charge, pour le temps scolaire, l’organisation et le financement de cette aide individuelle, le cas Ă©chĂ©ant en recrutant un accompagnant », retient donc la cour administrative d’appel de Nantes dans quatre arrĂȘts en date du 15 fĂ©vrier 2022 qui viennent d’ĂȘtre rendus lorsqu’une collectivitĂ© organise un service de restauration scolaire ou des activitĂ©s complĂ©mentaires aux activitĂ©s d’enseignement 
, il lui incombe de veiller Ă  assurer que 
 les Ă©lĂšves en situation de handicap puissent 
 y avoir effectivement accĂšs », revanche, il revenait bien Ă  l’Etat de s’organiser avec les communes pour assurer la continuitĂ© de l’aide » apportĂ©e aux enfants handicapĂ©s entre les temps scolaires et les temps pĂ©riscolaires. En laissant [aux parents] le soin de se rapprocher de la commune 
 pour organiser l’accompagnement de leur fils 
 sans intervenir activement 
, la directrice acadĂ©mique des services de l’Education nationale du FinistĂšre a mĂ©connu les obligations dont elle avait la charge », en dĂ©duit la cour administrative d’appel concernant les enfants de nouvelle loi entrĂ©e en vigueur entre-tempsPour cette raison, l’Etat devra verser une somme globale de 2 000 € de frais de justice aux parents des deux Ă©lĂšves concernĂ©s. MĂȘme chose pour les parents du jeune Paul Ă  Miniac-Morvan. Le droit Ă  l’éducation [est] garanti Ă  chacun quelles que soient les diffĂ©rences de situation », rappelle la cour administrative d’appel de Nantes. Le caractĂšre obligatoire de l’instruction s’appliquant Ă  tous, les difficultĂ©s particuliĂšres que rencontrent les enfants en situation de handicap ne sauraient avoir pour effet 
 de les priver de ce droit. »DĂ©sormais, les AVS peuvent ĂȘtre recrutĂ©s conjointement par l’Etat et par la collectivitĂ© » selon la nouvelle version du code de l’éducation tirĂ©e de la loi du 26 juillet 2019 pour une Ă©cole de la confiance », note au passage la cour administrative d’appel de Nantes dans les deux arrĂȘts concernant les enfants de Plabennec. Mais elle n’était non applicable au prĂ©sent litige » pour ce qui les concernait, puisqu’elle avait Ă©tĂ© votĂ©e postĂ©rieurement aux dĂ©cisions PressPepper* PrĂ©nom modifiĂ©Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le Pays Malouin dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites.

Mesparents peuvent-ils refuser notre union?. Salam aalikom, Cela fait 2 ans que je suis avec mon petit ami. On s'aime beaucoup. Je viens de finir mes études et aujourd'hui je suis prÚte à faire ma vie avec lui. Il envisage de venir voir mes parents pour demander ma main. Le gran

Aider un enfant prĂ©coce Ă  s’épanouir pendant sa scolaritĂ© Mis Ă  jour le 16 septembre 2019 Dr Jean-Paul BLANC 99% des parents ont trouvĂ© cet article utile. Contrairement aux idĂ©es reçues, la prĂ©cocitĂ© d’un enfant ne garantit pas sa rĂ©ussite scolaire. Un enfant prĂ©coce est un enfant plus rapide que les autres, qui comprend plus vite, qui raisonne de façon efficace mais qui pourrait avoir plus de difficultĂ©s pour Ă©crire, manquer de mĂ©thode, ne pas voir l’intĂ©rĂȘt de certains exercices, etc. Une fois la prĂ©cocitĂ© dĂ©pistĂ©e, il est possible de mettre en place des amĂ©nagements avec les enseignants, pour que votre enfant puisse s’épanouir et dĂ©velopper tout son potentiel. Écouter l'article 000 / 000 Votre navigateur ne supporte pas la lecture audio Comment reconnait-on la prĂ©cocitĂ© ? En grande section, un enfant prĂ©coce possĂšde des prĂ©-requis qu’on acquiert gĂ©nĂ©ralement plus tard. Le diagnostic de prĂ©cocitĂ© se pose gĂ©nĂ©ralement Ă  ce moment-lĂ . L’enfant sait lire sans qu’on lui ait appris, il va plus vite que ses camarades, rĂ©pond plus vite. Il a beaucoup d’humour. Ces comportements peuvent amener parfois les enseignants Ă  lui demander de se taire pour laisser le temps aux autres de rĂ©pondre. En attendant les autres, l’enfant prĂ©coce a rapidement tendance Ă  s’ennuyer et il peut dĂ©crocher ». Contrairement Ă  ce que l’on pourrait croire, les risques d’échec scolaires sont importants chez les enfants prĂ©coces et un tiers n’ira pas jusqu’au bac. Certains dĂ©veloppent des phobies scolaires, des troubles du comportement, des troubles de l’attention, une hyperactivitĂ©. L’effet pygmalion nĂ©gatif Pour se faire accepter des autres et ĂȘtre comme les autres », ils peuvent parfois abaisser leur niveau. C’est ce qu’on appelle l’effet pygmalion nĂ©gatif. Ils se conforment Ă  ce qu’on attend d’eux et feront, par exemple, exprĂšs de mal lire, de hacher les mots. Avec le risque qu’ils ne dĂ©veloppent pas pleinement leur potentiel. A cĂŽtĂ© de cela, les enfants prĂ©coces manquent de mĂ©thode leur pensĂ©e va vite, ils ont l’intuition de la solution plutĂŽt qu’ils ne la trouvent. De mĂȘme, quand on leur demande un effort rĂ©pĂ©titif, ils s’ennuient rapidement et ne vont, souvent, pas au bout. Eviter l’ennui aux enfants prĂ©coces Il est important que les enfants prĂ©coces soient identifiĂ©s afin d’amĂ©nager leur scolaritĂ©. Cela peut se faire de diffĂ©rentes façons, sachant qu’un des objectifs principaux reste d’éviter qu’ils s’ennuient. Ils doivent avoir du grain Ă  moudre » pour pouvoir rester avec les autres. L’enseignant peut demander des exercices supplĂ©mentaires, de prĂ©parer des exposĂ©s un enfant prĂ©coce est toujours passionnĂ© par des sujets trĂšs divers comme la prĂ©histoire, l’espace, l’astronomie, etc. Il peut ĂȘtre placĂ© Ă  cĂŽtĂ© d’un copain en difficultĂ©, pour l’aider. Ceci peut ĂȘtre valorisant pour lui. Un enfant prĂ©coce a tendance Ă  se remettre beaucoup en question. C’est pourquoi toutes ces activitĂ©s supplĂ©mentaires doivent faire l’objet d’un suivi. L’enseignant doit montrer Ă  l’enfant qu’il s’intĂ©resse autant Ă  lui qu’à ses camarades. Les exercices ne sont pas donnĂ©s pour se dĂ©barrasser » de lui ; ils ont un intĂ©rĂȘt rĂ©el. Doit-on faire sauter des classes Ă  un enfant prĂ©coce ? On peut faire sauter une classe le CP ou la grande section Ă  un enfant prĂ©coce. Au-delĂ , cela peut devenir dĂ©licat. Un enfant prĂ©coce reste un enfant. Une trop grande diffĂ©rence d’ñge avec ses camarades peut entraĂźner des problĂšmes affectifs et des dĂ©calages importants en termes de centres d’intĂ©rĂȘts. Les Ă©tablissements spĂ©cialisĂ©s dans la prĂ©cocitĂ© sont une solution » ultime, quand il n’y en a pas d’autres. Il y en a trĂšs peu en France, ce qui entraĂźne gĂ©nĂ©ralement un Ă©loignement de la famille et une sĂ©paration d’avec les parents. La scolaritĂ© est gĂ©nĂ©ralement plus rapide. Ces enfants peuvent se retrouver, vers 14 – 15 ans dans l’enseignement supĂ©rieur sans aucun repĂšre, avec des camarades bien plus ĂągĂ©s. Le choc peut ĂȘtre violent. Comment les parents peuvent accompagner la scolaritĂ© d’un enfant prĂ©coce ? On l’a dit, les enfants prĂ©coces apprennent vite et les tĂąches rĂ©pĂ©titives ne leur plaisent pas. Les parents peuvent les aider en illustrant les tĂąches scolaires Ă  faire Ă  la maison, en enrichissant le contenu et en montrant l’intĂ©rĂȘt
 Les enfants prĂ©coces savent raisonner et parfois manipuler » leur entourage pour se coucher plus tard, par exemple. Or, ce sont des enfants. Ils ont besoin d’un cadre et du mĂȘme traitement que leurs frĂšres et sƓurs quand cela concerne l’autoritĂ© et la vie de la famille. Vis-Ă -vis de l’école, discutez avec les enseignants, expliquez les particularitĂ©s de votre enfant et trouvez ensemble des amĂ©nagements. En bref Si vous avez un doute concernant la prĂ©cocitĂ© de votre enfant ou sa prise en charge, n’hĂ©sitez pas Ă  en parler Ă  votre mĂ©decin. Il vous orientera vers des spĂ©cialistes qui, le cas Ă©chĂ©ant, lui feront procĂ©der Ă  un test de QI WIPPSI avant 6 ans et WISC IV Ă  partir de 6 ans et vous donneront tous les conseils nĂ©cessaires. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? mpedia vous a aidĂ©, aidez mpedia en faisant un don Dernier don de Louane 5 € Comme Louane, soutenez une expertise indĂ©pendante et reconnue pour continuer Ă  ĂȘtre un parent bien informĂ©. Je soutiens mpedia, je fais un don Vous pouvez aussi ĂȘtre par Ma fille de 3 ans est-elle prĂ©coce ? La rĂ©ponse de l'expert Bonjour, Vous avez raison, votre fille est plutĂŽt en avance pour son Ăąge. Je suppose que c’est votre aĂźnĂ©e. Le contact exclusif prolongĂ© avec des adul... 3 question de parents - la derniĂšre il y a 5 ans Comportement perturbateur en classe Ă  7 ans La rĂ©ponse de l'expert Bonjour, Votre fils prĂ©sente ce qu’on appelle un trouble du comportement Ă  type d’instabilitĂ© psychomotrice, apparemment liĂ©e Ă  l’école, puisque ça a ... il y a 7 ans Comment dĂ©pister la prĂ©cocitĂ© chez un enfant ? La rĂ©ponse de l'expert Bonjour, Un psychologue clinicien fera un test WISC, c’est Ă  dire dĂ©terminera le Quotient intellectuel et, en fonction de ce qui vous tracasse chez vo... 1 question de parents - la derniĂšre il y a 7 ans Comment savoir si mon fils de 6 ans est prĂ©coce ? La rĂ©ponse de l'expert Bonjour Madame, Il est Ă©vident que votre enfant a un trĂšs bon potentiel intellectuel pour avoir appris Ă  lire seul. Effectivement les enfants Ă  haut p... il y a 2 ans Vous ne trouvez pas de rĂ©ponse Ă  votre question ? Vous pouvez consulter les rĂ©ponses dĂ©jĂ  apportĂ©es par nos mĂ©decins Ă  ce sujet en tapant votre question ou mots clĂ©s dans le moteur de recherche ci-dessous Toujours pas de rĂ©ponse ? Posez votre question Ă  l'un de nos experts qui vous rĂ©pondra rapidement. Je pose ma question Bonjour, Nos pĂ©diatres sont en vacances, la rubrique est fermĂ©e pour les congĂ©s d'Ă©tĂ© ! Nous vous retrouvons Ă  partir du lundi 29 aoĂ»t Ă  09h. Pour tout ce qui concerne la santĂ© de votre enfant, nous vous conseillons de prendre RDV directement avec le mĂ©decin de votre enfant. En cas d’urgence mĂ©dicale, composez le 15. TrĂšs bon Ă©tĂ© ! L'Ă©quipe mpedia. 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Mesparents peuvent-ils refuser notre union?. CitationBass a écrit:Citationzohrazohra a écrit: voilà ne te laisse pas envahir par les emotions pr

Bonjour, Pouvez vous me dire si vous avez rĂ©ussi Ă  obtenir une AVS pour votre enfant qui a une dyslexie sĂ©vĂšre ? Si oui dans quelle dĂ©partement ĂȘtes vous? Merci pour vos rĂ©ponses. Quote Topic starter PostĂ© 03/11/2016 551 REFLO75 Membre de confiance Bonjour, voir les Ă©changes "assistance scolaire", mon fils est "poly troubles" multidys sĂ©vĂšre + TDA sans H + prĂ©coce Pour un AVS, nous avons attendu plus d'un an de scolaritĂ© trĂšs difficile en CP, voir les calendriers d'attribution d'AVS si urgence faire appel Ă  une cellule spĂ©cialisĂ©e au niveau du rectorat mais on l'apprend tardivement quand les enfants cachent leurs difficultĂ©s et que les professionnels freinent votre volontĂ© de faire bouger les modalitĂ©s d'encadrement scolaire. Nos dĂ©marches sont restĂ©es sans suites dĂšs l'entrĂ©e en maternelle, l'annĂ©e de moyenne section aprĂšs de nombreuses dĂ©marches obtention d'un suivi en orthophonie et au CMP, mĂ©decine scolaire exsangue et professionnels de l'EN dans l'attitude du formĂ© avec l'idĂ©e de l'Ă©lĂšve type et pas dans l'adaptation face Ă  une patate chaude on la passe au voisin cela Ă©vite de se brĂ»ler les mains ! S'appuyer sur les structures existantes "mission acadĂ©mique Ă  la scolarisation des Ă©lĂšves en situation de handicap" la difficultĂ© est d'obtenir la qualification de handicap de votre enfant du fait du protocole nĂ©cessitant des justificatifs mĂ©dicaux dans un dĂ©lai restreint pour la famille c'est trĂšs compliquĂ© de trouver des RV auprĂšs notamment de centre rĂ©fĂ©rent des troubles de l'apprentissage dans des dĂ©lais raisonnables minimum 2 ans. On ne peut pas qualifier un enfant de DYS sans qu'il n'ai un retard scolaire en CE2 dans les pratiques actuelles pour la reconnaissance de handicap, donc la famille qui dĂ©piste son enfant avant les professionnels est considĂ©rĂ©e comme hors norme nous sommes une famille atypique par rapport au fonctionnement mental de 95% de la population ! On me qualifie de sentinelle et mon mari de lunaire, mais que font les autres parents attentistes du signal d'alarme censĂ© ĂȘtre envoyĂ© par des professionnels rencontrĂ©s PMI, mĂ©decin scolaire, professeur des Ă©coles, orthophonistes, pĂ©dopsy ... ?. Vous devez vous appuyer sur ce qui est pris en compte par le systĂšme notamment le rĂ©fĂ©rent scolaire puisque les procĂ©dures administratives sont ce quelles sont ! Notre expĂ©rience est de constater que le milieu mĂ©dical n'arrĂȘte pas de vous parler du dĂ©ni des parents et de la famille par rapport Ă  la situation de leur enfant "diffĂ©rent". On culpabilise la mĂšre de son investissement pour protĂ©ger sa progĂ©niture pour moi c'est naturel, c'est primitif mais je prĂ©fĂšre ĂȘtre comme les indiens capables de regarder leur environnement et sentir arriver un tsunami n'ayant pas de technologie pour les avertir du danger, les sciences sont basĂ©es sur des expĂ©riences et l'accumulation de faits, la notion de mĂ©moire collective est importante donc la place de l'histoire de l'humanitĂ© est partie intĂ©grante de l'individu, le pressenti est souvent occultĂ© dans une civilisation dite "moderne". Moi je vous dis qu'il y a un dĂ©ni des professionnels de santĂ© et de l'Ă©ducation nationale quand ils ont en face d'eux un enfant qui ne rĂ©pond pas Ă  la norme "Ă©lĂšve type". Ils sont dans il va Ă©voluer donc lui laisser le temps combien de temps faut-il attendre pour agir ?. Dans la nature, vous voyez un arbre plus sensible au vent que les autres vous le tutorez pour qu'il pousse droit si c'est ce qui importe Ă  l'organisation du paysage mais est-ce primordial ? On le conduit mĂȘme si on sait qu'il est unique et peut-ĂȘtre qu'il arrivera Ă  compenser sa primo fragilitĂ© par rapport aux autres. Je m'interroge sur le mot "Ă©ducation" dans notre sociĂ©tĂ© surtout avec des AVS pas toujours formĂ©s aux diffĂ©rences des enfants qu'ils auront Ă  aider avec chacun un environnement familiale diffĂ©rent notamment adapter l'accompagnement Ă  la dysphasie, dyspraxie, dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dysgraphie, troubles associĂ©s Ă  des degrĂ©s trĂšs variables . J'ai rĂ©ussi Ă  obtenir un AVS en temps mutualisĂ© toujours en dĂ©calĂ© par rapport Ă  la rentrĂ©e de septembre car il y a souvent des problĂšmes de gestion purement financiĂšre des contrats de travail CDD avec difficultĂ©s de renouvellement mĂȘme si l'AESS est compĂ©tent et investi, ne pas oublier le facteur humain, congĂ©s maladies, absences justifiĂ©es rarement remplacĂ©es, ... en thĂšorie 9 h par semaine l'aprĂšs-midi dans un contexte particulier dĂ©jĂ  un AVS dans l'Ă©cole et dĂ©part de l'Ă©lĂšve qui bĂ©nĂ©ficiait de la part de temps agent l'annĂ©e d'avant avec le rectorat de Paris 75, annĂ©e scolaire de CE1 en 2013-2014 dans un contexte ou j'Ă©tais une "guerriĂšre" et avait l'Ă©nergie pour travailler Ă  temps plein, faire appel aux associations de parents d'Ă©lĂšve, aux Ă©lues locaux puisqu'il fallait gĂ©rer les contradictions entre l'agenda imposĂ©s par les modifications d'activitĂ©s de l'Ă©cole, crĂ©neaux piscines, ARE, RV CMP pĂ©dopsy & psychomotricitĂ©, paramĂ©dicaux orthophoniste + ergothĂ©rapeute, rĂ©diger des courriers d'indignation auprĂšs des diverses personnalitĂ©s censĂ©es coordonner et aider mon fils Ă  entrer dans les apprentissages scolaires et surtout devenir un Ă©lĂšve pour lui construire sa place dans cette sociĂ©tĂ©. Je continue Ă  regarder le fonctionnement des recrutements d'AVS pour d'autres enfants en difficultĂ©s scolaires dans l'ancienne Ă©cole de quartier ce n'est pas encore facile pour beaucoup de familles les entretiens d'embauche ayant lieu aprĂšs la rentrĂ©e donc en dĂ©calĂ© par rapport aux besoins. Mon fils n'est plus dans le circuit classique de l'Ă©cole publique et de ce fait en dehors du systĂšme avec pour consĂ©quence plus la possibilitĂ© de faire partie d'une association de parents d'Ă©lĂšve Ă  moins de la crĂ©er, vous vous placez en dehors du fonctionnement classique de l'Ă©cole reconnue par l'EN donc l'Ă©tat et les institutionnels, c'est une exclusion forcĂ©e pour tenter de protĂ©ger votre famille. Je m'Ă©tais promise de toujours tenter d'ĂȘtre dans le moule "sociĂ©tale" mais il y a un moment ou les valeurs fondamentales de l'Ă©ducation pour tous ne sont plus en adĂ©quation avec ce que votre enfant subit au quotidien au sein d'une Ă©cole dite ouverte Ă  tous donc publique. Vous avez un rĂ©flexe de survie. Vous cherchez ce qui pourrait lui apporter du plaisir Ă  aller Ă  l'Ă©cole. La classe de 30 Ă©lĂšves dont plus d'un quart est dĂ©jĂ  en difficultĂ©s scolaires n'est plus vivable au quotidien. Les parents pour diverses raisons font confiances au systĂšme qui n'apporte plus les clefs pour atteindre les objectifs d'obtenir un niveau acquisition des apprentissages pour toute une classe d'Ăąge. Je constate que les parents qui se donnent les moyens de compenser les lacunes de leur enfant par rapport aux acquisitions sont nombreux en constatant l'augmentation du nombre de cours particuliers et stages en tout genre. N'est-ce pas un problĂšme de responsabilitĂ© collective de rĂ©pondre Ă  la question comment aider les enfants Ă  grandir dans une sociĂ©tĂ© de plus en plus clivante sans outils de compensation pour tous ? Comment ne pas avoir aussi le droit de penser que chacun est diffĂ©rent du fait de son unicitĂ© et que les parents ne doivent pas systĂ©matiquement ĂȘtre obligĂ©s de devoir Ă©tiqueter leur enfant d'"handicapĂ©" pour obtenir une adaptation des ĂȘtres humains figĂ©s dans une fonction. Le plus difficile pour les parents d'un enfant "diffĂ©rent" est de comprendre ce qu'ils sont en droit de demander et auprĂšs de qui et dans quels dĂ©lais ? Alors Ă  vous d'obtenir le mieux pour votre enfant dans un fonctionnement qui n'est pas toujours le mĂȘme d'un territoire Ă  l'autre dotations dĂ©partementales en primaire, rĂ©gionales au collĂšge.... Ne lĂąchez rien mais attention mĂ©nagez vous aussi pour maintenir votre santĂ© car il faut tenir sur la durĂ©e l'Ă©cole est obligatoire actuellement jusqu'Ă  16 ans donc depuis la maternelle il faut se projeter sur 13 annĂ©es de dĂ©marches avec des calendriers de renouvellement annuel pour l'EN avec ou sans GEVASCO, biannuel pour la MDPH donc suivi mĂ©dical et/ou paramĂ©dical en consĂ©quence du constat de l'Ă©volution en bien ou en pire de votre enfant. Profitez au maximum des moments de joie et tentez de trouver des exutoires comme le sports ou des activitĂ©s plaisirs en famille pour avoir les ressources notamment physiques et morales nĂ©cessaires au soutien de vos choix de vie pour aider votre enfant Ă  s'Ă©panouir et se rĂ©vĂ©ler. REFLO75 RĂ©pondreQuote elauvity Membre Ă©minent bonjour moi ma fille est en 3eme et nous avons demandĂ© un avs en ce2 jusque en 5eme et nous l'avons toujour eu et nous somme dans le 06 RĂ©pondreQuote sylvie-cyrille Membre estimable bonjour ma fille est en 2nde ES et elle a une AVS depuis le 6eme. nous sommes en Bretagne 29 RĂ©pondreQuote
Dansquels cas peut-on refuser / faire appel d'un redoublement ? En primaire comme en secondaire, les parents ont leur mot Ă  dire. Etudiez de prĂšs les critĂšres retenus par les enseignants pour Le Conseil d’Etat avait considĂ©rĂ©, dans un litige concernant la commune de Plabennec dĂ©cision du 20 avril 2011, que c’était Ă  l’Etat de financer l’auxiliaire de vie scolaire nĂ©cessaire Ă  la scolarisation d’un enfant handicapĂ©, y compris en dehors du temps scolaire. La question concernait l’accompagnement nĂ©cessaire Ă  la besoin d’accompagnement en pĂ©ri-scolaire fait l’objet d’une dĂ©cision de la CDAPH. Malheureusement, bien des CDAPH refusent de statuer sur ce point. Il leur appartient pourtant de faire figurer dans le Plan PersonnalisĂ© de Compensation les mesures nĂ©cessaires Ă  compenser le handicap, qu'elles relĂšvent ou non d'une dĂ©cision de la commission. Ce n'est pas non plus Ă  la commission de rentrer dans les considĂ©rations de savoir qui est le financeur des mesures important que l'Ă©quipe de suivi de la scolarisation mentionne explicitement le besoin dans son dĂ©cision du Conseil d’État n'a pas Ă©tĂ© appliquĂ©e partout. Elle est frĂ©quemment ignorĂ©e dans les discussions sur le question est devenue plus cruciale et d’actualitĂ© avec la rĂ©forme des rythmes scolaires, et la crĂ©ation – facultative – des TAP temps d’activitĂ© pĂ©ri-scolaire.Dans un premier temps, l’article du code de l’éducation a Ă©tĂ© créé. Le Conseil Constitutionnel dĂ©cision du 24 avril 2003 a considĂ©rĂ© que cela ne crĂ©ait pas une nouvelle charge pour les communes, dans la mesure oĂč les missions prĂ©vues Ă  l’article n’étaient pas modifiĂ©es. En effet, le transfert de charges Ă  une collectivitĂ© doit ĂȘtre compensĂ©e dans un deuxiĂšme temps, la loi de finances pour 2014 a supprimĂ© dans l’article du code de l’éducation les mots y compris en dehors du temps scolaire », ce qui conduisait Ă  vider de son sens la dĂ©cision du Conseil MinistĂšre de l’Education Nationale a donc donnĂ© des consignes aux Inspections d’AcadĂ©mie, qui prenait en charge le temps d’accompagnement en pĂ©ri-scolaire que ce soit la cantine ou les TAP en application de la dĂ©cision du Conseil d’Etat. DĂ©sormais, sauf pour les contrats en cours, l’Education Nationale demanderait aux communes de payer le temps d’accompagnement reprĂ©sente un obstacle supplĂ©mentaire pour la scolarisation des enfants autistes en effet, les parents sont contraints Ă  un certain nomadisme scolaire pour trouver une Ă©cole – publique ou privĂ©e – qui scolarise avec de la bonne volontĂ© un enfant supporter la charge de l’accompagnement par une commune autre que de celle de rĂ©sidence ne peut qu’engendrer des MinistĂšre a nĂ©gociĂ© avec la CNAF Caisse nationale des allocations familiales le financement de la prise en charge des Ă©lĂšves handicapĂ©s pendant le temps des activitĂ©s pĂ©ri-scolaires. Les communes peuvent obtenir une aide du fonds publics et territoires » circulaire CNAF n° 2015-004. Mais, comme l'a rappelĂ© le tribunal administratif de Rennes dans une dĂ©cision du 30 juin 2016, l’article L. 917-1 dispose que Des accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d’aide Ă  l’inclusion scolaire de ces Ă©lĂšves, y compris en dehors du temps scolaire» . Il en dĂ©duit que cela implique la prise en charge par l’Etat des mesures propres Ă  assurer l’accĂšs de ces enfants aux activitĂ©s pĂ©riscolaires, alors mĂȘme qu’elles ne relĂšveraient pas, en tant que telles, de sa compĂ©tence, dĂšs lors que ces mesures apparaissent comme une composante nĂ©cessaire Ă  la scolarisation de l’enfant et qu’elles sont prĂ©conisĂ©es par la CDAPH .Dans sa circulaire du 3 mai 2017 sur les AVS, le MinistĂšre de l'Education Nationale persiste. Il propose benoĂźtement aux collectivitĂ©s territoriales de se rapprocher de l'Education Nationale pour avoir accĂšs au vivier des AESH ». La plupart des accompagnements Ă©tant le fait de personnes en contrat aidĂ©, le vivier » est dĂ©jĂ  assĂ©chĂ© par cette volontĂ© d'ignorer la de Toupi sur la circulairePS Position de Sophie Cluzel septembre 2014, en tant que prĂ©sidente de la FĂ©dĂ©ration nationale des associations au service des Ă©lĂšves prĂ©sentant un handicap Fnaseph. avant d'ĂȘtre nommĂ©e au gouvernement "car les AVS ou les AESH, employĂ©s par le ministĂšre de l®Éducation nationale, nÂŽont pas pour mission dÂŽaccompagner les enfants aux ateliers théùtre, poterie ou basket. " Extraits du jugement du TA de Rennes – 30 juin 2016ConsidĂ©rant qu’il ressort des piĂšces du dossier que le 23 juillet 2015, la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH d’Ille et-Vilaine a accordĂ© Ă  l’enfant S , scolarisĂ©e depuis le mois de septembre 2015 Ă  l’école Jacques PrĂ©vert de Bruz, une aide individuelle par une auxiliaire de vie scolaire AVS du 1er septembre 2015 au 31 juillet 2016 sur le temps scolaire et pĂ©riscolaire en prĂ©cisant qu’il fallait tenir compte de la fatigabilitĂ© de l’enfant ; qu’en exĂ©cution de cette dĂ©cision, le recteur de l’acadĂ©mie de Rennes a recrutĂ© Mme B. pour assister et accompagner S tout le temps scolaire et pendant les pauses mĂ©ridiennes ; que M. B n’étant pas satisfait des conditions de prise en charge de sa fille, il a notamment demandĂ© au recteur de l’acadĂ©mie et ce en exĂ©cution de la dĂ©cision de la CDAPH du 23 juillet 2015, que l’auxiliaire de vie scolaire assiste Ă©galement S pendant les temps de garderie, le matin entre 8h et 8h30 et l’aprĂšs-midi entre 16h30 et 18h30, et pendant le temps d’activitĂ©s pĂ©riscolaires, ces derniĂšres Ă©tant regroupĂ©es, Ă  Bruz, le jeudi aprĂšs-midi ; que, le 11 janvier 2016, le directeur acadĂ©mique des services de l’éducation nationale lui a indiquĂ© que les temps d’activitĂ©s pĂ©riscolaires Ă©tant un service public facultatif mis en place par les communes, il incombait Ă  la mairie de Bruz d’organiser la prise en charge de S au cours de ces pĂ©riodes, Ă  l’exception toutefois des pauses mĂ©ridiennes, lesquelles sont financiĂšrement prises en charge par les services de l’éducation nationale, dĂšs lors qu’elles font un lien entre deux pĂ©riodes scolaires ; que la requĂȘte de M. B doit ĂȘtre regardĂ©e comme tendant Ă  titre principal Ă  l’annulation pour excĂšs de pouvoir de cette dĂ©cision ; qu’en effet, si le requĂ©rant semble contester Ă©galement, dans son mĂ©moire introductif d’instance, une dĂ©cision portant refus d’apporter l’aide individualisĂ©e dont [sa] fille a besoin durant la rĂ©crĂ©ation », l’existence d’une telle dĂ©cision, contredite par l’administration en dĂ©fense, n’est pas dĂ©montrĂ©e par le requĂ©rant ni ne ressort des piĂšces du dossier, et M. B , qui ne formule d’ailleurs dans ses Ă©critures ultĂ©rieures aucune demande expresse d’annulation d’une telle dĂ©cision, a abandonnĂ© dans son mĂ©moire enregistrĂ© le 14 avril 2016 ses conclusions tendant Ă  ce qu’il soit enjoint Ă  l’administration d’assurer que S soit aidĂ©e en cour de rĂ©crĂ©ation ; Sur les conclusions Ă  fin d’annulation Sans qu’il soit besoin d’examiner les autres moyens de la requĂȘte 2. ConsidĂ©rant qu’aux termes de l’article L. 112-1 du code de l’éducation Pour satisfaire aux obligations qui lui incombent 
, le service public de l’éducation assure une formation scolaire, professionnelle ou supĂ©rieure aux enfants, aux adolescents et aux adultes prĂ©sentant un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant. Dans ses domaines de compĂ©tence, l’Etat met en place les moyens financiers et humains nĂ©cessaires Ă  la scolarisation en milieu ordinaire des enfants, adolescents ou adultes handicapĂ©s 
 » ; qu’aux termes de l’article L. 351-3 du mĂȘme code Lorsque la commission mentionnĂ©e Ă  l’article L. 146-9 du code de l’action sociale et des familles constate qu’un enfant peut ĂȘtre scolarisĂ© dans une classe de l’enseignement public ou d’un Ă©tablissement visĂ© au 3° de l’article L. 351-1 du prĂ©sent code Ă  condition de bĂ©nĂ©ficier d’une aide individuelle dont elle dĂ©termine la quotitĂ© horaire, cette aide peut ĂȘtre apportĂ©e par un accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap recrutĂ© conformĂ©ment aux modalitĂ©s dĂ©finies Ă  l’article L. 917-1. 
 » ; que l’article L. 917-1 dispose que Des accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d’aide Ă  l’inclusion scolaire de ces Ă©lĂšves, y compris en dehors du temps scolaire. Ils sont recrutĂ©s par l'Etat, par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV de la deuxiĂšme partie ou par les Ă©tablissements mentionnĂ©s Ă  l'article L. 442-1. Lorsqu'ils sont recrutĂ©s par ces Ă©tablissements, leur recrutement intervient aprĂšs accord du directeur acadĂ©mique des services de l'Ă©ducation nationale. » ; 3. ConsidĂ©rant qu’il rĂ©sulte des dispositions prĂ©citĂ©es des articles L. 351-3 et L. 917-1 du code de l’éducation que les missions des assistants d’éducation affectĂ©s Ă  l’accueil et Ă  l’intĂ©gration scolaires des enfants handicapĂ©s s’étendent au-delĂ  du seul temps scolaire ; 4. ConsidĂ©rant qu’il incombe Ă  l’Etat, au titre de sa mission d’organisation gĂ©nĂ©rale du service public de l’éducation, de prendre l’ensemble des mesures et de mettre en Ɠuvre les moyens nĂ©cessaires pour que le droit Ă  l’éducation et l’obligation scolaire aient, pour les enfants handicapĂ©s, un caractĂšre effectif ; que cette obligation implique la prise en charge par l’Etat des mesures propres Ă  assurer l’accĂšs de ces enfants aux activitĂ©s pĂ©riscolaires, alors mĂȘme qu’elles ne relĂšveraient pas, en tant que telles, de sa compĂ©tence, dĂšs lors que ces mesures apparaissent comme une composante nĂ©cessaire Ă  la scolarisation de l’enfant et qu’elles sont prĂ©conisĂ©es par la CDAPH ; que le requĂ©rant est, par suite, fondĂ© Ă  soutenir que l’autoritĂ© administrative a commis une erreur de droit en considĂ©rant que la compĂ©tence de la seule commune de Bruz sur la crĂ©ation et l’organisation des activitĂ©s pĂ©riscolaires faisait obstacle Ă  toute prise en charge par l’Etat d’un accompagnant pour l’enfant S afin de permettre Ă  celle-ci de suivre ces activitĂ©s ; que la dĂ©cision litigieuse doit, par suite, ĂȘtre annulĂ©e ; Sur les conclusions Ă  fin d’injonction 5. ConsidĂ©rant qu’aux termes de l’article L. 911-1 du code de justice administrative Lorsque sa dĂ©cision implique nĂ©cessairement qu'une personne morale de droit public ou un organisme de droit privĂ© chargĂ© de la gestion d'un service public prenne une mesure d'exĂ©cution dans un sens dĂ©terminĂ©, la juridiction, saisie de conclusions en ce sens, prescrit, par la mĂȘme dĂ©cision, cette mesure assortie, le cas Ă©chĂ©ant, d'un dĂ©lai d'exĂ©cution » ; 6. ConsidĂ©rant, en premier lieu, que l’annulation, au point 4 du prĂ©sent jugement, de la dĂ©cision litigieuse, pour erreur de droit, si elle implique nĂ©cessairement un nouvel examen de la demande de M. B par l’autoritĂ© compĂ©tente, n’implique pas nĂ©cessairement qu’il soit enjoint Ă  celle-ci, ainsi que le demande le requĂ©rant, d’accorder Ă  sa fille une durĂ©e d’aide individualisĂ©e lui permettant de participer Ă  toutes les activitĂ©s scolaires et pĂ©riscolaires », incluant selon lui les heures de garderie ou d’accueil de loisirs pĂ©riscolaire, ainsi qu’ aux activitĂ©s mentionnĂ©es Ă  l’article L. 212-15 [du code de l’éducation] » ; 7. ConsidĂ©rant, sur ce point, qu’il n’est pas Ă©tabli et qu’il ne ressort pas des piĂšces du dossier que la CDAPH ait entendu prescrire, dans sa dĂ©cision du 23 juillet 2015, une assistance de la jeune S par un accompagnant non seulement durant le temps scolaire proprement dit et durant les activitĂ©s pĂ©riscolaires prĂ©vues Ă  l’article L. 551-1 du code de l’éducation, qui en sont le prolongement, mais aussi durant les heures d’accueil pĂ©riscolaire de loisirs et de halte-garderie ; qu’en tout Ă©tat de cause, l’accueil en halte-garderie, dont l’objet principal est d’assurer la garde d’enfants que leurs parents ne peuvent emmener et reprendre Ă  l’école Ă  l’heure d’ouverture de leur classe et immĂ©diatement aprĂšs la fin des activitĂ©s scolaires, ne peut ĂȘtre regardĂ©e comme une composante nĂ©cessaire Ă  la scolarisation d’un enfant, mĂȘme lorsque celui-ci est handicapĂ© et requiert Ă  ce titre un traitement particulier ; qu’il ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ©, dĂšs lors, que la mise Ă  disposition d’une personne pour accompagner un enfant scolarisĂ© handicapĂ© durant les pĂ©riodes de garderie serait au nombre des moyens nĂ©cessaires pour que le droit Ă  l’éducation et l’obligation scolaire aient, pour cet enfant, un caractĂšre effectif ;8. ConsidĂ©rant qu’il rĂ©sulte des points 5 Ă  7 que les conclusions Ă  fin d’injonction de M. Brahime ne peuvent ĂȘtre accueillies ; ...D E C I D E Article 1er La dĂ©cision du 11 janvier 2016 de l’inspecteur d’acadĂ©mie, directeur acadĂ©mique des services de l’Education nationale d’Ille-et-Vilaine est 2 L’Etat versera Ă  M. B une somme de 100 euros au titre de l'article L. 761-1 du code de justice complet L916-1 version antĂ©rieure au 29/12/2013Des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV pour exercer des fonctions d'assistance Ă  l'Ă©quipe Ă©ducative en lien avec le projet d'Ă©tablissement, notamment pour l'encadrement et la surveillance des Ă©lĂšves. Lorsqu'ils sont recrutĂ©s pour l'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s, y compris en dehors du temps scolaire, leur recrutement intervient aprĂšs accord de l'inspecteur d'acadĂ©mie. Ils peuvent Ă©galement ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements mentionnĂ©s Ă  l'article L. 442-1, aprĂšs accord de l'inspecteur d'acadĂ©mie, pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s, y compris en dehors du temps scolaire. Les assistants d'Ă©ducation qui remplissent des missions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s bĂ©nĂ©ficient d'une formation spĂ©cifique pour l'accomplissement de leurs fonctions, mise en oeuvre en collaboration avec les associations d'aide aux familles d'enfants handicapĂ©s. A l'issue de leur contrat, les assistants d'Ă©ducation peuvent demander Ă  faire valider l'expĂ©rience acquise dans les conditions dĂ©finies par les articles L. 2323-33, L. 6111-1, L. 6311-1, L. 6411-1 et L. 6422-1 du code du travail. Les assistants d'Ă©ducation peuvent exercer leurs fonctions dans l'Ă©tablissement qui les a recrutĂ©s, dans un ou plusieurs autres Ă©tablissements ainsi que, compte tenu des besoins apprĂ©ciĂ©s par l'autoritĂ© administrative, dans une ou plusieurs Ă©coles. Dans ce dernier cas, les directeurs d'Ă©cole peuvent participer Ă  la procĂ©dure de recrutement. Les assistants d'Ă©ducation sont recrutĂ©s par des contrats d'une durĂ©e maximale de trois ans, renouvelables dans la limite d'une pĂ©riode d'engagement totale de six ans. Le dispositif des assistants d'Ă©ducation est destinĂ© Ă  bĂ©nĂ©ficier en prioritĂ© Ă  des Ă©tudiants boursiers. Par dĂ©rogation au premier alinĂ©a, des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par l'Etat pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves handicapĂ©s dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 351-3, ainsi que pour exercer des fonctions d'accompagnement auprĂšs des Ă©tudiants handicapĂ©s inscrits dans les Ă©tablissements d'enseignement supĂ©rieur mentionnĂ©s aux titres Ier, II, IV et V du livre VII du prĂ©sent code et pour lesquels une aide a Ă©tĂ© reconnue nĂ©cessaire par la commission mentionnĂ©e au premier alinĂ©a de l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles. Les conditions d'application du prĂ©sent article sont fixĂ©es par dĂ©cret pris aprĂšs avis du comitĂ© technique ministĂ©riel du ministĂšre chargĂ© de l'Ă©ducation. Ce dĂ©cret prĂ©cise les conditions dans lesquelles est amĂ©nagĂ© le temps de travail des assistants d'Ă©ducation, en particulier pour ceux qui sont astreints Ă  un service de nuit. Il prĂ©cise Ă©galement les droits reconnus Ă  ces agents au titre des articles L. 970-1 et suivants du code du travail. Il peut dĂ©roger, dans la mesure justifiĂ©e par la nature de leurs missions, aux dispositions gĂ©nĂ©rales prises pour l'application de l'article 7 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'EtatConseil d'État N° 345434 InĂ©dit au recueil Lebon 4Ăšme et 5Ăšme sous-sections rĂ©unies M. Stirn, prĂ©sident M. Bruno Bachini, rapporteur M. Keller RĂ©mi, rapporteur public Lecture du mercredi 20 avril 2011REPUBLIQUE FRANCAISE - AU NOM DU PEUPLE FRANCAISVu le pourvoi, enregistrĂ© le 30 dĂ©cembre 2010 au secrĂ©tariat du contentieux du Conseil d'Etat, prĂ©sentĂ© par le MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE ; le ministre demande au Conseil d'Etat 1° d'annuler l'ordonnance n° 1004766 du 16 dĂ©cembre 2010 par laquelle le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif de Rennes, statuant sur le fondement de l'article L. 521-1 du code de justice administrative, a, d'une part, ordonnĂ© la suspension de l'exĂ©cution des dĂ©cisions implicites par lesquelles l'inspecteur d'acadĂ©mie du FinistĂšre a refusĂ© de mettre Ă  la disposition de l'enfant de M. et Mme MikaĂ«l A un auxiliaire de vie scolaire pour des activitĂ©s pĂ©riscolaires Ă  raison de 6 heures par semaine en application de la dĂ©cision de la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapĂ©es du 29 juillet 2010, et, d'autre part, a enjoint Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie du FinistĂšre de rĂ©examiner la situation d'Hannah A et de prendre une nouvelle dĂ©cision dans le dĂ©lai de quinze jours Ă  compter de la notification de l'ordonnance ; 2° de rejeter la demande de suspension d'exĂ©cution prĂ©sentĂ©e par M. et Mme A et la commune de Plabennec ; Vu les autres piĂšces du dossier ; Vu le code de l'Ă©ducation ; Vu le code de justice administrative ; AprĂšs avoir entendu en sĂ©ance publique - le rapport de M. Bruno Bachini, MaĂźtre des RequĂȘtes, - les conclusions de M. RĂ©mi Keller, rapporteur public ; ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article L. 521-1 du code de justice administrative Quand une dĂ©cision administrative, mĂȘme de rejet, fait l'objet d'une requĂȘte en annulation ou en rĂ©formation, le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s, saisi d'une demande en ce sens, peut ordonner la suspension de l'exĂ©cution de cette dĂ©cision, ou de certains de ses effets, lorsque l'urgence le justifie et qu'il est fait Ă©tat d'un moyen propre Ă  crĂ©er, en l'Ă©tat de l'instruction, un doute sĂ©rieux quant Ă  la lĂ©galitĂ© de la dĂ©cision. ... ; ConsidĂ©rant qu'il ressort des piĂšces du dossier soumis au juge des rĂ©fĂ©rĂ©s que, par une dĂ©cision du 29 juillet 2010, la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapĂ©es a fait droit Ă  la demande prĂ©sentĂ©e par M. et Mme A tendant Ă  l'accompagnement de leur fille Hannah par un auxiliaire de vie scolaire, en leur accordant une durĂ©e d'intervention hebdomadaire de 18 heures, Ă  raison de 12 heures au titre du temps scolaire et de 6 heures au titre du temps pĂ©riscolaire, pour la pĂ©riode allant du 1er septembre 2010 au 31 aoĂ»t 2012 ; que, par une dĂ©cision implicite de rejet, l'inspecteur d'acadĂ©mie du FinistĂšre a refusĂ© de mettre en oeuvre cette dĂ©cision en tant qu'elle prĂ©voyait la prise en charge des 6 heures d'intervention hebdomadaire correspondant Ă  la partie pĂ©riscolaire de la mission de l'auxiliaire ; ConsidĂ©rant qu'aux termes de l'article L. 112-1 du code de l'Ă©ducation Pour satisfaire aux obligations qui lui incombent ..., le service public de l'Ă©ducation assure une formation scolaire, professionnelle ou supĂ©rieure aux enfants, aux adolescents et aux adultes prĂ©sentant un handicap ou un trouble de santĂ© invalidant. Dans ses domaines de compĂ©tence, l'Etat met en place les moyens financiers et humains nĂ©cessaires Ă  la scolarisation en milieu ordinaire des enfants, adolescents ou adultes handicapĂ©s ... ; qu'aux termes de l'article L. 351-3 du mĂȘme code Lorsque la commission mentionnĂ©e Ă  l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles constate qu'un enfant peut ĂȘtre scolarisĂ© dans une classe de l'enseignement public ou d'un Ă©tablissement visĂ© au 3° de l'article L. 351-1 du prĂ©sent code Ă  condition de bĂ©nĂ©ficier d'une aide individuelle dont elle dĂ©termine la quotitĂ© horaire, cette aide peut ĂȘtre apportĂ©e par un assistant d'Ă©ducation recrutĂ© conformĂ©ment au sixiĂšme alinĂ©a de l'article L. 916-1. / Les assistants d'Ă©ducation affectĂ©s aux missions d'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaire des enfants handicapĂ©s sont recrutĂ©s par l'inspecteur d'acadĂ©mie, directeur des services dĂ©partementaux de l'Ă©ducation nationale ... ; qu'aux termes du premier alinĂ©a de l'article L. 916-1 du mĂȘme code Des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV pour exercer des fonctions d'assistance Ă  l'Ă©quipe Ă©ducative, fonctions en lien avec le projet d'Ă©tablissement, notamment pour l'encadrement et la surveillance des Ă©lĂšves et l'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaires des Ă©lĂšves handicapĂ©s, y compris en dehors du temps scolaire ... et qu'aux termes du sixiĂšme alinĂ©a de ce mĂȘme article Par dĂ©rogation au premier alinĂ©a, des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par l'Etat pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration des Ă©lĂšves handicapĂ©s dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 351-3 ... ; ConsidĂ©rant qu'il rĂ©sulte des dispositions prĂ©citĂ©es des articles L. 351-3 et L. 916-1 du code de l'Ă©ducationque les missions des assistants d'Ă©ducation affectĂ©s Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaires des enfants handicapĂ©s s'Ă©tendent au-delĂ  du seul temps scolaire ; ConsidĂ©rant qu'il incombe Ă  l'Etat, au titre de sa mission d'organisation gĂ©nĂ©rale du service public de l'Ă©ducation, de prendre l'ensemble des mesures et de mettre en oeuvre les moyens nĂ©cessaires pour que le droit Ă  l'Ă©ducation et l'obligation scolaire aient, pour les enfants handicapĂ©s, un caractĂšre effectif ; qu'Ă  cette fin, la prise en charge par celui-ci du financement des emplois des assistants d'Ă©ducation qu'il recrute pour l'aide Ă  l'accueil et Ă  l'intĂ©gration scolaires des enfants handicapĂ©s en milieu ordinaire n'est pas limitĂ©e aux interventions pendant le temps scolaire ; ConsidĂ©rant qu'il rĂ©sulte de ce qui prĂ©cĂšde que le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s du tribunal administratif de Rennes n'a pas commis d'erreur de droit en retenant comme Ă©tant propre Ă  crĂ©er, en l'Ă©tat de l'instruction, un doute sĂ©rieux sur la lĂ©galitĂ© de la dĂ©cision litigieuse le moyen tirĂ© de ce que l'inspecteur d'acadĂ©mie avait commis une erreur de droit en refusant Ă  M et Mme A l'octroi des heures d'accompagnement pĂ©riscolaire de leur enfant reconnues par la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapĂ©es au motif que ces activitĂ©s ne relevaient pas du service public de l'Ă©ducation ; que, par suite, le MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE n'est pas fondĂ© Ă  demander l'annulation de l'ordonnance attaquĂ©e ; D E C I D E - Article 1er Le pourvoi du MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE est rejetĂ©. Article 2 La prĂ©sente dĂ©cision sera notifiĂ©e au MINISTRE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE, Ă  M. et Mme MikaĂ«l A et Ă  la commune de Plabennec. Article L916-2Les assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre mis Ă  la disposition des collectivitĂ©s territoriales pour participer aux activitĂ©s complĂ©mentaires prĂ©vues Ă  l'article L. 216-1 ou aux activitĂ©s organisĂ©es en dehors du temps scolaire dans les Ă©coles et les Ă©tablissements d'enseignement conformĂ©ment Ă  l'article L. convention conclue entre la collectivitĂ© intĂ©ressĂ©e et l'Ă©tablissement employeur dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 216-1 prĂ©cise les conditions de cette mise Ă  72-2 de la ConstitutionLes collectivitĂ©s territoriales bĂ©nĂ©ficient de ressources dont elles peuvent disposer librement dans les conditions fixĂ©es par la peuvent recevoir tout ou partie du produit des impositions de toutes natures. La loi peut les autoriser Ă  en fixer l'assiette et le taux dans les limites qu'elle recettes fiscales et les autres ressources propres des collectivitĂ©s territoriales reprĂ©sentent, pour chaque catĂ©gorie de collectivitĂ©s, une part dĂ©terminante de l'ensemble de leurs ressources. La loi organique fixe les conditions dans lesquelles cette rĂšgle est mise en transfert de compĂ©tences entre l'Etat et les collectivitĂ©s territoriales s'accompagne de l'attribution de ressources Ă©quivalentes Ă  celles qui Ă©taient consacrĂ©es Ă  leur exercice. Toute crĂ©ation ou extension de compĂ©tences ayant pour consĂ©quence d'augmenter les dĂ©penses des collectivitĂ©s territoriales est accompagnĂ©e de ressources dĂ©terminĂ©es par la loi prĂ©voit des dispositifs de pĂ©rĂ©quation destinĂ©s Ă  favoriser l'Ă©galitĂ© entre les collectivitĂ©s constitutionnel - DĂ©cision n° 2003-471 DC du 24 avril 2003 Loi relative aux assistants dÂŽĂ©ducation 6. ConsidĂ©rant, en second lieu, que le nouvel article L. 916-2 dispose Les assistants dÂŽĂ©ducation peuvent ĂȘtre mis Ă  la disposition des collectivitĂ©s territoriales pour participer aux activitĂ©s complĂ©mentaires prĂ©vues Ă  lÂŽarticle L. 216-1 ou aux activitĂ©s organisĂ©es en dehors du temps scolaire dans les Ă©coles et les Ă©tablissements dÂŽenseignement conformĂ©ment Ă  lÂŽarticle L. 212-5 » ; quÂŽil rĂ©sulte de ses termes mĂȘmes que cet article se borne Ă  permettre aux assistants dÂŽĂ©ducation de participer, en dehors des missions pour lesquelles ils ont Ă©tĂ© recrutĂ©s, Ă  des activitĂ©s organisĂ©es par les collectivitĂ©s territoriales, quÂŽil sÂŽagisse des activitĂ©s Ă©ducatives, sportives et culturelles complĂ©mentaires prĂ©vues, dans le cadre du temps scolaire, par lÂŽarticle L. 216-1 ou des activitĂ©s Ă  caractĂšre culturel, sportif, social ou socio-Ă©ducatif organisĂ©es, en dehors du temps scolaire, dans les conditions prĂ©vues par lÂŽarticle L. 212-15 ; que cet article nÂŽa ainsi ni pour objet ni pour effet de permettre aux collectivitĂ©s territoriales de financer des emplois dÂŽassistants dÂŽĂ©ducation pour exercer les missions incombant Ă  lÂŽEtat prĂ©vues Ă  lÂŽarticle L. 916-1 ; »LOI n° 2013-1278 du 29 dĂ©cembre 2013 de finances pour 2014 1Article 124I. ― Le code de l'Ă©ducation est ainsi modifiĂ© 1° L'article L. 351-3 est ainsi modifiĂ© a A la fin du premier alinĂ©a, les mots assistant d'Ă©ducation recrutĂ© conformĂ©ment aux modalitĂ©s dĂ©finies Ă  l'avant-dernier alinĂ©a de l'article L. 916-1 » sont remplacĂ©s par les mots accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap recrutĂ© conformĂ©ment aux modalitĂ©s dĂ©finies Ă  l'article L. 917-1 » ; b A la seconde phrase du deuxiĂšme alinĂ©a, les mots assistant d'Ă©ducation recrutĂ© dans les conditions fixĂ©es au premier alinĂ©a de l'article L. 916-1 » sont remplacĂ©s par les mots accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap recrutĂ© dans les conditions fixĂ©es Ă  l'article L. 917-1 » ; c Les troisiĂšme et quatriĂšme alinĂ©as sont supprimĂ©s ; 2° Les deux derniĂšres phrases du premier alinĂ©a, la premiĂšre phrase du deuxiĂšme alinĂ©a et l'avant-dernier alinĂ©a de l'article L. 916-1 sont supprimĂ©s ; 3° Le titre Ier du livre IX de la quatriĂšme partie est complĂ©tĂ© par un chapitre VII ainsi rĂ©digĂ© Chapitre VII Dispositions spĂ©cifiques relatives aux accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap Art. L. accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire de ces Ă©lĂšves, y compris en dehors du temps scolaire. Ils sont recrutĂ©s par l'Etat, par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV de la deuxiĂšme partie ou par les Ă©tablissements mentionnĂ©s Ă  l'article L. 442-1. Lorsqu'ils sont recrutĂ©s par ces Ă©tablissements, leur recrutement intervient aprĂšs accord du directeur acadĂ©mique des services de l'Ă©ducation nationale. Des accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap peuvent Ă©galement ĂȘtre recrutĂ©s pour exercer des fonctions d'accompagnement auprĂšs des Ă©tudiants en situation de handicap inscrits dans les Ă©tablissements d'enseignement supĂ©rieur mentionnĂ©s aux titres Ier, II, IV et V du livre VII de la troisiĂšme partie du prĂ©sent code et pour lesquels une aide a Ă©tĂ© reconnue nĂ©cessaire par la commission mentionnĂ©e Ă  l'article L. 146-9 du code de l'action sociale et des familles. Ils peuvent exercer leurs fonctions dans l'Ă©tablissement qui les a recrutĂ©s, dans un ou plusieurs autres Ă©tablissements ainsi que, compte tenu des besoins apprĂ©ciĂ©s par l'autoritĂ© administrative, dans une ou plusieurs Ă©coles. Dans ce dernier cas, les directeurs d'Ă©cole peuvent participer Ă  la procĂ©dure de recrutement. Ils peuvent ĂȘtre mis Ă  la disposition des collectivitĂ©s territoriales dans les conditions prĂ©vues Ă  l'article L. 916-2 du prĂ©sent code. Les accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap bĂ©nĂ©ficient d'une formation spĂ©cifique pour l'accomplissement de leurs fonctions, mise en Ɠuvre en collaboration avec les associations d'aide aux familles d'enfants en situation de handicap. Ils peuvent demander Ă  faire valider l'expĂ©rience acquise dans les conditions dĂ©finies aux articles L. 2323-33, L. 6111-1, L. 6311-1, L. 6411-1 et L. 6422-1 du code du travail. Ils sont recrutĂ©s par contrat d'une durĂ©e maximale de trois ans, renouvelable dans la limite maximale de six ans. Lorsque l'Etat conclut un nouveau contrat avec une personne ayant exercĂ© pendant six ans en qualitĂ© d'accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap en vue de poursuivre ces missions le contrat est Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Pour l'apprĂ©ciation de la durĂ©e des six ans, les services accomplis Ă  temps incomplet et Ă  temps partiel sont assimilĂ©s Ă  des services Ă  temps complet. Les services accomplis de maniĂšre discontinue sont pris en compte, sous rĂ©serve que la durĂ©e des interruptions n'excĂšde pas quatre mois. Les services accomplis en qualitĂ© d'assistant d'Ă©ducation pour exercer des fonctions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves en situation de handicap sont assimilĂ©s Ă  des services accomplis en qualitĂ© d'accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap. Les accompagnants des Ă©lĂšves en situation de handicap sont rĂ©gis par les dispositions rĂ©glementaires gĂ©nĂ©rales applicables aux agents contractuels de l'Etat prises pour l'application de l'article 7 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'Etat, sous rĂ©serve de dĂ©rogations prĂ©vues par le dĂ©cret mentionnĂ© au dernier alinĂ©a du prĂ©sent article. Les conditions d'application du prĂ©sent article sont fixĂ©es par dĂ©cret, pris aprĂšs avis du comitĂ© technique ministĂ©riel du ministĂšre chargĂ© de l'Ă©ducation nationale. » II. ― Jusqu'Ă  l'entrĂ©e en vigueur du dĂ©cret mentionnĂ© au dernier alinĂ©a de l'article L. 917-1 du code de l'Ă©ducation, les assistants d'Ă©ducation exerçant des missions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves en situation de handicap demeurent rĂ©gis par le dĂ©cret n° 2003-484 du 6 juin 2003 fixant les conditions de recrutement et d'emploi des assistants d'Ă©ducation. L'Etat peut proposer un contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e aux assistants d'Ă©ducation parvenus, Ă  compter du 1er janvier 2013, au terme de six annĂ©es d'engagement pour exercer des missions d'aide Ă  l'inclusion scolaire des Ă©lĂšves en situation de handicap. Cette proposition est faite au plus tard au terme du contrat en cours des personnels concernĂ©s, qu'ils soient en fonction ou en congĂ© prĂ©vu par les dispositions rĂ©glementaires qui leur sont applicables Ă  la date d'entrĂ©e en vigueur de la prĂ©sente loi. Le contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e proposĂ© en application du deuxiĂšme alinĂ©a du prĂ©sent II est rĂ©gi par l'article L. 917-1 du code de l'Ă©ducation. Il prĂ©voit une quotitĂ© de temps de travail au moins Ă©gale Ă  celle prĂ©vue par le prĂ©cĂ©dent contrat. Il peut prĂ©voir de modifier les clauses relatives aux Ă©tablissements d'enseignement oĂč l'agent est susceptible d'exercer. Lorsque l'agent refuse le contrat proposĂ©, il est maintenu en fonction jusqu'au terme de son contrat en L916-1Des assistants d'Ă©ducation peuvent ĂȘtre recrutĂ©s par les Ă©tablissements d'enseignement mentionnĂ©s au chapitre II du titre Ier et au titre II du livre IV pour exercer des fonctions d'assistance Ă  l'Ă©quipe Ă©ducative en lien avec le projet d'Ă©tablissement, notamment pour l'encadrement et la surveillance des Ă©lĂšves. [Phrases supprimĂ©es]A l'issue de leur contrat, les assistants d'Ă©ducation peuvent demander Ă  faire valider l'expĂ©rience acquise dans les conditions dĂ©finies par les articles L. 2323-33, L. 6111-1, L. 6311-1, L. 6411-1 et L. 6422-1 du code du travail Les assistants d'Ă©ducation peuvent exercer leurs fonctions dans l'Ă©tablissement qui les a recrutĂ©s, dans un ou plusieurs autres Ă©tablissements ainsi que, compte tenu des besoins apprĂ©ciĂ©s par l'autoritĂ© administrative, dans une ou plusieurs Ă©coles. Dans ce dernier cas, les directeurs d'Ă©cole peuvent participer Ă  la procĂ©dure de recrutement. Les assistants d'Ă©ducation sont recrutĂ©s par des contrats d'une durĂ©e maximale de trois ans, renouvelables dans la limite d'une pĂ©riode d'engagement totale de six ans. Le dispositif des assistants d'Ă©ducation est destinĂ© Ă  bĂ©nĂ©ficier en prioritĂ© Ă  des Ă©tudiants boursiers. Les conditions d'application du prĂ©sent article sont fixĂ©es par dĂ©cret pris aprĂšs avis du comitĂ© technique ministĂ©riel du ministĂšre chargĂ© de l'Ă©ducation. Ce dĂ©cret prĂ©cise les conditions dans lesquelles est amĂ©nagĂ© le temps de travail des assistants d'Ă©ducation, en particulier pour ceux qui sont astreints Ă  un service de nuit. Il prĂ©cise Ă©galement les droits reconnus Ă  ces agents au titre des articles L. 970-1 et suivants du code du travail. Il peut dĂ©roger, dans la mesure justifiĂ©e par la nature de leurs missions, aux dispositions gĂ©nĂ©rales prises pour l'application de l'article 7 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives Ă  la fonction publique de l'Etat.
\nles parents peuvent ils refuser une avs

Bonjourje vous conseillerai de demander à l'agefiph de donner a votre une AVS (assistante de vie scolaire) comme sa il pourra continuer de suivre un cursus normal avec en plus un soutient pour l'aider a combler ses difficultés.

Dans l’Aude, un enfant de 3 ans a Ă©tĂ© suspendu temporairement d’une maternelle en raison de son comportement violent. L’équipe pĂ©dagogique et l’inspecteur acadĂ©mique ont invitĂ© la mĂšre Ă  scolariser son fils dans un autre Ă©tablissement. Pensez-vous que l’on puisse exclure un enfant de la maternelle et est-ce la meilleure solution ? L’école maternelle française accueille tous les enfants y compris ceux qui ont des difficultĂ©s. Lorsque le comportement de l’enfant le nĂ©cessite, le directeur de l’école rĂ©unit une Ă©quipe Ă©ducative » parents, enseignant, mĂ©decin, psychologue scolaire et soignants Ă©ventuels. Cette Ă©quipe est un outil institutionnel qui permet de faire circuler l’information et de croiser les regards autour d’un enfant en recherchant la plus grande adĂ©quation entre les besoins de l’enfant et les solutions Ă  mettre en Ɠuvre. Nous pouvons, par exemple, demander aux parents de ne plus scolariser l’enfant pour une pĂ©riode temporaire en leur demandant de prendre contact avec le Centre d’Action MĂ©dico Sociale PrĂ©coce CAMSP, sans pour autant l’exclure de l’école. Par la suite, nous pouvons re-scolariser l’enfant sur des temps prĂ©cis en prĂ©sence d’une auxiliaire de vie scolaire. Avec des aides spĂ©cifiques et adaptĂ©es Ă  son profil, l’enfant peut rapidement progresser. Quelquefois, la communication entre l’école et les familles peut ĂȘtre problĂ©matique. Les parents rĂ©agissent de façon excessive car ils se sentent jugĂ©s ou atteints de façon narcissique. Les conseillers pĂ©dagogiques ou l’inspecteur de la circonscription peuvent alors se dĂ©placer pour tenter de mĂ©diatiser les possibles conflits entre la famille et l’école. L’accompagnement des familles est, dans tous les cas, indispensable Ă  la prise en compte des spĂ©cificitĂ©s de l’enfant. Il faut Ă©galement rappeler que l’école maternelle n’est pas obligatoire mais elle est souhaitable. Tout doit ainsi ĂȘtre mis en Ɠuvre pour que l’adaptation de l’enfant aux rĂšgles de la collectivitĂ© et aux apprentissages puisse se faire dans les meilleures conditions possibles. A 3 ans, comment peut-on ĂȘtre violent ? Quelle que soit la situation familiale, un enfant violent Ă  3 ans, ce n’est pas normal. Il faut automatiquement s’interroger sur le parcours de l’enfant. Pour cela, nous devons interpeller la psychologue scolaire et la famille afin de rĂ©flĂ©chir sur l’origine de ce comportement. A 3 ans, il n’y a pas de volontĂ© de violence. Si l’enfant a un comportement violent cela est dĂ» Ă  une pathologie et Ă  une souffrance, ou Ă  une atteinte au fonctionnement du groupe classe avec de possibles mises en danger de l’enfant lui-mĂȘme ou des autres. Quels sont les outils de l’Education nationale ? Les outils restent le professionnalisme de ses membres, la capacitĂ© d’observation et de mise en lien des informations et des personnes. L’enseignant est le premier interlocuteur de la famille, le directeur de l’école accompagne la comprĂ©hension de la situation, le psychologue scolaire, l’infirmiĂšre et le mĂ©decin de PMI sont prĂ©sents dans les Ă©coles auprĂšs des enfants en difficultĂ© et de leurs familles. Ils apportent des Ă©clairages spĂ©cifiques au sein de l’école mais peuvent aussi accompagner les parents vers des services de soins extĂ©rieurs. Ces derniers sont assurĂ©s par les dĂ©partements de soins tels que le CMP ou le CAMSP. Pour les enfants violents, l’Education nationale dispose de peu de moyens. La diminution des postes de RASED, voire la disparition des maĂźtres G -qui intervenaient beaucoup dans des actions de prĂ©vention en maternelle- se fait aussi sentir de façon importante aujourd’hui. Ne faudrait-il pas aussi former les enseignants Ă  la psychologie de l’enfant ? Il y a tout un travail Ă  faire sur la formation des enseignants. Comme tous les enseignants, ceux des classes de maternelle dĂ©veloppent une expĂ©rience pratique. Celle-ci devrait se complĂ©ter d’apports thĂ©oriques. Les enseignants devraient en effet avoir des connaissances sur les diffĂ©rents types de troubles auxquels ils peuvent ĂȘtre confrontĂ©s. Pour cela, les psychologues doivent intervenir en formation initiale et continue auprĂšs des enseignants. Y-a-t-il suffisamment de psychologues de l’Education nationale ? Aujourd’hui, il y a prĂšs de 3000 postes de psychologues du premier degrĂ© dont 400 non pourvus. L’AFPEN revendique un psychologue scolaire pour mille Ă©lĂšves. Actuellement, je suis en charge de 1900 Ă©lĂšves. Des collĂšgues en ont, quant Ă  eux, 5000. Il y a une rĂ©elle problĂ©matique d’équitĂ©, d’accĂšs Ă  l’accompagnement et de qualitĂ© de travail. Photo page d’accueil ©pathdoc/
Discussionsportant plutĂŽt sur le point de vue des parents d'enfants autistes ou Asperger, par exemple : j'ai un problĂšme avec mon enfant, que puis-je faire ? 13 messages ‱ Page 1 sur 1. Message. Auteur. Nissa Nouveau Messages : 4 EnregistrĂ© le : jeu. 10 nov. 2016 14:37. Demande avs pas bientĂŽt .Ă©cole privĂ©e ou publique? #1 Message par Nissa » jeu. 10 nov.
Mon enfant est en CE1, il commence tout juste Ă  lire, il n'a jamais pu bĂ©nĂ©ficier d'une aide RASED Ă  l'Ă©cole. MalgrĂ© ses difficultĂ©s en lecture et en Ă©criture l'annĂ©e derniĂšre en CP, il n'a pas Ă©tĂ© inclus dans le groupe RASED lecture et je n'ai jamais pu savoir pourquoi de l'Ă©cole. Cette annĂ©e il a eu un bilan orthophonique qui indique une forte probabilitĂ© de Dyslexie - Ă  confirmer en fin d'annĂ©e -et ceci a permis de mettre en place un PAI. J'ai appris que la maĂźtresse RASED intervenait pour un autre garçon de sa classe actuellement mais que de nouveau mon fils ne bĂ©nĂ©ficie pas de cette aide. J'ai pris mon courage dans mes deux mains et j'ai demandĂ© directement Ă  la maĂźtresse RASED pourquoi, depuis 2 ans, mon fils ne pouvait pas avoir une aide RASED. La raison - "l'inspector acadĂ©mique de Caen ne permet pas une aide RASED aux enfants qui sont suivi par des orthophonistes!" Et comme l'aide pour les enfants en CE1 se termine avant les vacances de FĂ©vrier c'est trop tard! Je cherche Ă  comprendre comment une aide destinĂ©e aux enfants en difficultĂ© peut ĂȘtre refusĂ©e pour cette raison. Si on suit cette logique jusqu'au bout - les enfants qui ont le plus besoin ne recevront jamais cette aide, rare sont les enfants dyslexique qui ne sont pas suivi pas un orthophoniste de nos jours - et les enfants ayant de difficultĂ©s moins sĂ©vĂšres qui ne nĂ©cessitent pas d'aide externe en auront droit. Est ce que cette pratique est assezcourante en France ou bien particuliĂšre Ă  la Basse Normandie? Quelles sont les arguments que je peux utiliser pour essayer d'obtenir cette aide pour mon fils qui en a vraiment besoin. Message Ă©ditĂ© par Jemima / 16-02-2012 2224 Quote Topic starter PostĂ© 16/02/2012 1123 nefertiti Membre de bonne rĂ©putation Bonsoir, C'est sans doute pour cette raison que, nos enfants n'ont jamais eu le droit au RASED !!! Nous sommes en Haute-Normandie. paf Et peut-ĂȘtre aussi pour le refus d'AVS et de matĂ©riel pĂ©dagogique !!! paf Merci pour cette info !!! LĂ , franchement, pour ma part, aucune idĂ©e. bientĂŽt et surtout bon courage.... NĂ©fertiti RĂ©pondreQuote christelle Membre estimable mon fils a commencĂ© les sceances d orthophonie il a arretĂ© l orthophonie que cette annĂ©e etant en apprentissage lorsqu il etait en cp a partir du CE1 son institutrice ma convoquĂ© pour me demandĂ© la permission de parlĂ© de lui au RASED se que j ai acceptĂ©, de la , le mardi matin et le jeudi apres midi le maitre E ainsi que la psycologue du RASED venait chaqu une leur tour pour mon fils , cela la bien aidĂ©, nous sommes en poitou charente RĂ©pondreQuote tout dĂ©pend de la politique dĂ©partementale, des budgets et de la pression des associations. L'aide est accordĂ© de façon trĂšs alĂ©atoire sur l'ensemble du territoire. GENE RĂ©pondreQuote Auroredyspraxie Membre de bonne rĂ©putation Bonsoir, Ca dĂ©pend aussi de la formation du maĂźtre de Rased. Il n'est pas forcĂ©ment formĂ© pour les dyslexiques si c'est un maĂźtre G par exemple. En ce qui nous concerne, il n'y a pas de directives dans ce sens sur notre dĂ©partement. Par contre, ce n'est pas parce qu'un enfant n'a pas de suivi qu'il n'a pas des troubles plus sĂ©vĂšres qu'un enfant qui a un suivi extĂ©rieur. Des enfants, dys de toute sortes, voir autistes, disons TED qui n'ont pas de suivi, il y en a des tas. les raisons sont multiples et variĂ©es, inconscience des parents, incapacitĂ© dison sociale des parents quand on est comme nous en mileu trĂšs rural. Je ne trouve pas anormal, si c'est dans le but de compenser les carences familiales que ces enfants soient priviliĂ©giĂ©s par rapport Ă  ceux qui n'ont pas cette chance. Il peut y avoir aussi une prise en charge du Rased, le temps de mettre en place les suivis extĂ©rieurs ça peut permettre aussi de convaincre les parents de la nĂ©cessitĂ© d'un suivi. Vraiment, je ne crois pas que tout ceci se mesure en terme de gravitĂ© des diagnostics confirmĂ©s. D'une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, on pourrait penser qu'un enfant autiste, le mot fait tellement peur, est dans une situation plus grave qu'un dyslexqiue, troubles tout de mĂȘme mieux connu maintenant et pourtant des autistes peuvent aller Ă  l'Ă©cole sans AVS sans que cela pose souci. RĂ©pondreQuote cbestern Membre de bonne rĂ©putation comme toujours dans l'Ă©ducation national, on joue a pile ou face avec nos enfants, sans rien nous dire bien sur, il faut ĂȘtre tres vigilant, ne jamais croire un professeur ou une Ă©cole, faire des allez retour a la prĂ©fecture car le systeme est tellement bourrĂ© de faille qu'on se retrouve jamais du bon cotĂ© de la barriere sauf bien sur si vous ĂȘtes fonctionnaire car entre gens du serail... RĂ©pondreQuote Je ne dirais pas que la situation d'un autiste est plus grave que celle d'un dyslexique je parle de situation de handicap. L'autisme fait peur, donc c'est le rejet ou une rĂ©elle prise en charge, tout dĂ©pend du dĂ©partement dans les Yvelines, tout autiste a son AVS dans le systĂšme ordinaire, il ne saurait en ĂȘtre autrement. La dyslexie par contre est prise Ă  la lĂ©gĂšre, comme un trouble pas trĂšs handicapant, car invisible et mis sur le compte d'un manque de travail. Mais que dire d'un enfant qui ne peut absolument pas lire quoi que ce soit, ni mĂȘme papa ? D'un enfant qui ne peut absolument pas structurer une phrase, ni aligner 2 lettres pour Ă©crire un son ? Comment peut-il Ă©voluer dans le systĂšmpe scolaire ? Il ne peut pas. Dans la sociĂ©tĂ©, il sera au niveau des illĂ©ttrĂ©s, sans espoir d'amĂ©lioration par une alphabĂ©tisation. C'est un handicap trĂšs grave, d'autant plus qu'il est incompris et minimisĂ© Ce handicap mĂšne encore trop souvent Ă  la dĂ©pression, au suicide, Ă  la dĂ©linquance, au chĂŽmage, Ă  la psychose et aux addictions diverses s'il est minimisĂ©, non pris en charge et si la scolaritĂ© n'est pas amĂ©nagĂ©e. Ce n'est pas moins grave. RĂ©pondreQuote Auroredyspraxie Membre de bonne rĂ©putation Bonsoir, Je n'ai pas dit que c'Ă©tait moins grave chaque est particulier en, matiĂšre de prise en charge et ce n'est pas une question de diagnostci Ă  mon avis. RĂ©pondreQuote

Lescommunes peuvent obtenir une aide du fonds « publics et territoires » (circulaire CNAF n° 2015-004). Mais, comme l'a rappelé le tribunal administratif de Rennes dans une décision du 30

Afin de favoriser la scolarisation en milieu ordinaire des enfants en situation de handicap, le Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation PPS dĂ©finit les besoins et les amĂ©nagements nĂ©cessaires au bon dĂ©roulement de la scolaritĂ© de l’élĂšve. Dans les amĂ©nagements possibles, le recours Ă  l’aide humaine peut ĂȘtre prescrite. AVS Auxiliaire de Vie Scolaire, AESH Accompagnant des ElĂšves en Situation de Handicap, quelles sont les diffĂ©rences et les principales missions de ces mĂ©tiers d’accompagnants? Comment obtenir l’attribution de cette aide humaine? AVS et AESH accompagner la scolaritĂ© des Ă©lĂšves handicapĂ©es L’AVS et l’AESH sont deux types d’accompagnants Ă  la scolaritĂ© d’élĂšves en situation de handicap. L’Auxiliaire de Vie Scolaire AVS travaille sous Contrat Unique d’insertion CUI dĂ©livrĂ© par PĂŽle Emploi. L’Accompagnant des ElĂšves en Situation de Handicap AESH est recrutĂ© par l’Education Nationale. RecrutĂ© d’abord en CDD puis en CDI, il est titulaire soit Du baccalaurĂ©at ou Ă©quivalent Du DiplĂŽme d’État d’Accompagnant Éducatif et Social DEAES diplĂŽme niveau V CAP. Les AVS ayant exercĂ©s pendant au moins neuf mois, peuvent Ă©galement prĂ©tendre au statut d’AESH. AESH, un statut pour sĂ©curiser et valoriser le rĂŽle des accompagnants Le statut d’AESH, Accompagnant des Ă©lĂšves en situation de handicap, permet d’amĂ©liorer les conditions d’emploi des accompagnants en sĂ©curisant, en revalorisant et en renforçant l’appartenance Ă  la communautĂ© Ă©ducative. Reconnus comme membres Ă  part entiĂšre des Ă©quipes Ă©ducatives, les AESH sont accueillis comme tels par l’équipe pĂ©dagogique. Ils rencontrent les parents et l’enseignant avant le dĂ©marrage de l’accompagnement et participent aux rĂ©unions de suivi de la scolarisation des Ă©lĂšves. Les missions des AESH et AVS Trois formes d’aide pour accompagner l’élĂšve en situation de handicap Les AESH et AVS interviennent sous trois formes d’accompagnement de l’élĂšve dans sa scolaritĂ©, sur les diffĂ©rents temps de vie et lieux scolaires stages, sorties et voyages. > Accompagner les actes de la vie quotidienne L’intervenant accompagne l’élĂšve dans les actes de la vie quotidienne. Il doit s’assurer que les conditions de sĂ©curitĂ© et de confort de l’élĂšve soient remplies. Il aide aux actes essentiels de la vie lever, coucher, habillage et dĂ©shabillage, toilette, prise des repas alimentation selon le rĂ©gime prescrit, la bonne hydratation, le passage aux toilettes. Il incite Ă  la mobilitĂ© en participant Ă  l’installation matĂ©rielle de l’élĂšve dans les lieux de vie. Il agit auprĂšs de l’élĂšve pour lui permettre et lui faciliter les dĂ©placements dans l’établissement et Ă  l’extĂ©rieur. > Accompagner l’accĂšs Ă  l’apprentissage Sans doute une des missions les plus importantes de l’AESH ou l’AVS, est l’accompagnement de l’élĂšve en situation de handicap dans l’accĂšs aux activitĂ©s d’apprentissage. Il s’agit pour lui de Favoriser les activitĂ©s sensorielles, motrices et intellectuelles de l’élĂšve Faciliter l’expression de l’élĂšve, l’aider Ă  communiquer Rappeler les rĂšgles Ă  observer durant les activitĂ©s Contribuer Ă  l’adaptation de la situation d’apprentissage, en lien avec l’enseignant et soutenir l’élĂšve dans la comprĂ©hension et dans l’application des consignes Assister l’élĂšve dans l’activitĂ© d’écriture et la prise de notes, Lors des Ă©preuves d’examens, de concours et d’évaluations appliquer les consignes prĂ©vues par la rĂ©glementation relative aux amĂ©nagements des conditions de passation de ces Ă©preuves. > Accompagner les activitĂ©s de la vie sociale et relationnelle L’accompagnant intervient Ă©galement auprĂšs de l’élĂšve lors des activitĂ©s de la vie sociale et relationnelle. Il participe Ă  l’accueil de l’élĂšve, il favoriser communication et interactions entre l’élĂšve et son environnement. Il sensibilise l’entourage scolaire de l’élĂšve au handicap et prĂ©vient les situations de crise, d’isolement, de conflit. L’AESH ou l’AVS soutient l’élĂšve dans sa participation aux activitĂ©s prĂ©vues. Aide individualisĂ©e et aide mutualisĂ©e Deux types d’aides peuvent ĂȘtre prescrites dans le cadre d’un accompagnement par un AESH ou un AVS l’aide individuelle et l’aide mutualisĂ©e. > L’aide individuelle L’aide individuelle est prĂ©conisĂ©e dans le cas d’un Ă©lĂšve requĂ©rant une attention soutenue et continue. Autrement dit, tout Ă©lĂšve qui ne peut rĂ©aliser les activitĂ©s d’apprentissage sans aide durant un temps donnĂ©. > L’aide mutualisĂ©e L’aide mutualisĂ©e est prĂ©conisĂ©e dans le cas d’élĂšves qui n’ont pas besoin d’une attention soutenue et continue. Ce type d’aide est rĂ©servĂ© aux AESH. Il accompagne plusieurs Ă©lĂšves en situation de handicap en mĂȘme temps ou sur des temps sĂ©parĂ©s dans le respect des notifications prĂ©vues par la CDAPH. C’est la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH qui fixe les activitĂ©s principales de l’AESH mutualisĂ©e, sans prĂ©cision de quotitĂ© horaire. La rĂ©partition du temps de travail de l’AESH mutualisĂ© auprĂšs des Ă©lĂšves qu’il accompagne se fait en concertation avec le directeur d’école ou le chef d’établissement. > L’aide collective en ULIS L’AESH peut Ă©galement accompagner des Ă©lĂšves orientĂ©s en ULIS unitĂ©s localisĂ©es pour l’inclusion scolaire. Il participe Ă  l’encadrement et l’animation d’actions Ă©ducatives conçues dans le cadre de l’ULIS. Il accompagne les Ă©lĂšves lors de temps d’inclusion en milieu ordinaire. Comment obtenir l’attribution d’un AESH ou un AVS ? La CDAPH attribue et dĂ©finit l’aide humaine La prescription d’une aide humaine relĂšve de la compĂ©tence de la Commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH dans le cadre du Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation PPS. En fonction des besoins et des compĂ©tences de l’élĂšve, la CDAPH dĂ©finit les modalitĂ©s de l’aide humaine individuelle ou mutualisĂ©e. Dans le cas de l’aide individuelle, la Commission fixe la quotitĂ© horaire. Dans le cas de l’aide mutualisĂ©e, la CDAPH dĂ©finit uniquement les activitĂ©s principales de l’AESH. La quotitĂ© horaire est fixĂ©e avec l’équipe de suivi de la scolaritĂ©. Demande par Ă©crit auprĂšs de la MDPH Pour effectuer une demande d’aide humaine, Il est recommandĂ© de la faire dans le cadre du Projet PersonnalisĂ© de Scolarisation, aprĂšs rĂ©union et avec l’avis motivĂ© de l’équipe Ă©ducative et Ă©galement en lien avec l’enseignant rĂ©fĂ©rent qui accompagne la famille dans les demandes auprĂšs de la MDPH. A noter que si la prĂ©sence d’un accompagnant AESH ou AVS est prescrite dans le PPS, elle n’est en aucun cas une condition obligatoire Ă  la scolarisation. En savoir + AESH, fiche mĂ©tier Site du gouvernement Agissez avec Perce-Neige Faites un don
Quandl'AVS n'est pas là, les parents sont priés de garder leurs enfants, c'est ça l'école inclusive? Le handicap génétique de ma fille ne
En Ă©coutant tous les marronniers de rentrĂ©e sur toutes les chaĂźnes et en Ă©tant tombĂ©e hier soir sur un dĂ©bat enregistrĂ© visiblement en juin sur la chaĂźne parlementaire, on voit que tous ceux qui veulent changer » et rĂ©nover » l’école pour redonner de l’attractivitĂ© au mĂ©tier d’enseignant ne connaissent rien Ă  son essence mĂȘme qui est la transmission des connaissances et ils se f.. d’ailleurs des connaissances en gĂ©nĂ©ral, probablement parce qu’ils pensent que leur propre culture suffisante est personnellement acquise sans aide extĂ©rieure ils raisonnent en terme d’industrie heures, rendement, coĂ»ts - pensant Ă  augmenter les horaires des professeurs lĂ  oĂč il faudrait augmenter les horaires matiĂšres, rĂ©duire les vacances pour former les professeurs Ă  internet, lĂ  oĂč il faudrait leur laisser le temps de mettre Ă  jour leurs connaissances dans ma matiĂšre de lire et rĂ©flĂ©chir et d’ailleurs de se ressourcer nerveusement car oui il le faut pour tenir bon et enfin, arme massive, les primes au mĂ©rite comme si l’éducation des enfants demandait des exploits spĂ©ciaux aux enseignants et non la tranquillitĂ© quotidienne du travail bien fait. Bref ceux qui pensent politiquement l’école sont Ă  la fois trop paresseux intellectuellement pour s’en informer vraiment ou ne le peuvent pas car ils sont par trop formatĂ©s intellectuellement pour imaginer d’autres recettes que celles imaginĂ©es dans le monde industriel pour produire plus de saucissons au meilleur coĂ»t . C’est exactement pareil qu’à l’ n’ose reprendre la rĂ©flexion Ă  partir de lĂ  oĂč on s’est fourvoyĂ©s avec une belle utopie le collĂšge unique, la massification et l’écrasement de toute la structure y compris universitaires par une masse d’élĂšves mal formĂ©s Ă  tout et qui n’ont aucune chance de rĂ©ussite - et finalement la seule Ă©galitĂ© oĂč on a progressĂ© est l’égalitĂ© dans l’échec. MĂȘme la question des rĂ©munĂ©rations en dĂ©pend puisqu’on ne peut payer convenablement une profession qui s’est elle aussi massifiĂ©e et que l’on ne cesse de dĂ© professionnaliser par des recrutements sans qualifications suffisantes
Bon courage Ă  ceux qui oseraient y rĂ©flĂ©chir
.DerniĂšre Ă©dition par IphigĂ©nie le Mer 24 AoĂ» 2022 - 704, Ă©ditĂ© 2 foisManu7Érudit valle a Ă©crit Manu7 a Ă©critAujourd'hui, c'est la loterie, ceux qui sont contratuels depuis 2 ou 3 ans tiennent relativement bien la route, car sinon ils sont Ă©cartĂ©s mais comme la crise devient Ă©norme on commence aussi Ă  garder dans le circuit des contractuels malgrĂ© les avis dĂ©favorables des CDE !!! On marche sur la tĂȘte, on voit de tout c'est vraiment inquiĂ©tant, j'ai dĂ©jĂ  vu des Ă©lĂšves me demander de venir plus souvent remplacer un contractuel les larmes aux yeux... Et au passage, je me dis que si tous les contractuels pouvaient passer 5 Ă  10 minutes devant un IPR pour ĂȘtre recrutĂ©s cela ne ferait pas de mal car on oublie que beaucoup ne passent mĂȘme pas par ce dispositif et on se retrouve parfois avec des cas trĂšs limite totalement incompĂ©tents voire presque dangereux. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'estimer les possibilitĂ©s qu'un contractuel soit compĂ©tent et d'en conclure qu'elles sont trop basses pour ce qui serait idĂ©al c'est la loterie. Le problĂšme est qu'un contractuel n'a pas Ă©tĂ© recrutĂ© selon la procĂ©dure statutaire, point les "Ă©preuves" de sĂ©lection ont Ă©tĂ© autres et son recrutement n'a pas permis a tous les candidats de concourir librement, c'est peut imaginer une situation oĂč tous les contractuels seraient largement plus diplĂŽmĂ©s que les titulaires, par exemple c'est peut-ĂȘtre le cas ça ne change rien au fait que leur prĂ©sence est, selon l'architecture institutionnelle, une exception, et que le contrat ne peut pas ĂȘtre vu comme une alternative au statut. Je suis totalement d'accord avec toi, mais j'abordais une autre facette du problĂšme, dans la rĂ©alitĂ© tout comme Ă  France TĂ©lĂ©com, quand on casse le statut mis en place on se retrouve toujours au final avec une Ă©norme proportion d'incapables. Et je pense sincĂ©rement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es avait eu le mĂȘme dĂ©bat dans le premier dĂ©grĂ© avec la mise en place des FAPE, je me souviens que sur France Inter un cĂ©lĂšbre pĂ©dopsychiatre disait que les PE Ă©taient inquiets car ils avaient peur que des personnes moins qualifiĂ©e soient meilleurs qu'eux... Les PE avaient simplement peur que des personnes incompĂ©tentes soient responsables des enfants, et la rĂ©alitĂ© leur a donnĂ© raison, en dehors de quelques intervenants qui proposaient des activitĂ©s enrichissantes et qui souvent ne restaient pas longtemps, le reste Ă©tait d'un niveau ridicule et dans ma commune les adjoints au maire s'arrachaient les cheveux pour faire comprendre qu'il Ă©tait essentiel de ne pas partir avant l'arrivĂ©e des parents Ă  la fin de la sĂ©ance. zigmag17VĂ©nĂ©rable Cleroli a Ă©crit Sliv a Ă©critBonjour, ce matin sur le figaro live vers 10h, notre cher ministre se faisait filmer en direct du rectorat de l'acadĂ©mie de CrĂ©teil pour la rĂ©union de la cellule qui gĂšre les contractuels et TZR. Je n'ai vu que les vingt derniĂšres minutes. En tant que TZR, un passage m'a interpellĂ© un des responsables expliquait qu'ils avaient mis en place une politique de fidĂ©lisation des contractuels. Autrement dit, sur certaines zones les contractuels passent en prioritĂ© sur les AFA devant les TZR... Ce n'est donc pas une lĂ©gende urbaine... Je ne crois pas que l'extrait vidĂ©o ait Ă©tĂ© postĂ©, le voici unamusedAuverlot, recteur de l'acadĂ©mie de CrĂ©teil, explique au ministre Ndiaye qu'il s'assoit dans certains cas sur les statuts des profs et de la Fonction Publique Notre politique, ça a Ă©tĂ© de fidĂ©liser les contractuels et de les faire passer avant les titulaires »SNESFSU green_apple Du pognon pour les profs! moneybag Ithyphallique August 23, 2022 Manifestement le Recteur a bien accompli la mission qui lui a Ă©tĂ© confiĂ©e et "cela" plaĂźt. vous dĂ©couvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlĂ© de ce problĂšme dans mon acadĂ©mie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloquĂ©s au profit de contractuels dans certains lycĂ©esbeaverforeverHabituĂ© du forumSi vous allez faire un tour sur Canope, vous trouverez plein de formations pour les contractuels, soit gĂ©nĂ©ralistes qu'est-ce qu'un CPE ? Qu'est-ce qu'un chef d'Ă©tablissement? ou par IphigĂ©nie a Ă©critMais vous dĂ©couvrez ces pratiques seulement maintenant? Mon inspecteur m’avait parlĂ© de ce problĂšme dans mon acadĂ©mie il y a maintenant sept ou huit ans. en me parlant de postes bloquĂ©s au profit de contractuels dans certains lycĂ©es A cette Ă©chelle oui, je le dĂ©couvre. Je pensais que c'Ă©tait rare, un pis-aller; pas que c'Ă©tait devenu une mĂ©thode. On en parlait et j'ai dĂ©couvert cette situation ici, en lisant des tĂ©moignages .CaroNiveau 9 les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! valleFidĂšle du forum Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramĂšne tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ???zigmag17VĂ©nĂ©rable valle a Ă©crit Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ??? Par choix il me semble que c'est pour ne pas subir le systĂšme des mutations non?JacqMonarqueLa pĂ©nurie a Ă©tĂ© organisĂ©e depuis plus de 20 ans, la contractualisation Ă©tait mĂȘme prĂ©sentĂ©e par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'Ă©poque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivitĂ© du mĂ©tier, la difficultĂ© Ă  muter et la difficultĂ© Ă  recruter causes et consĂ©quences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence Ă  se voir sage Manu7 a Ă©crit Et je pense sincĂ©rement que les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. C'est basĂ© sur quoi ? Ton observation personnelle ?C'est uniquement les contractuels ou les nouveaux titulaires sont aussi en dessous de ceux des annĂ©es 2000 ?zigmag17VĂ©nĂ©rable Jacq a Ă©critLa pĂ©nurie a Ă©tĂ© organisĂ©e depuis plus de 20 ans, la contractualisation Ă©tait mĂȘme prĂ©sentĂ©e par Macron durant son premier quinquennat comme l'avenir de la fonction publique, dans la ligne droite de l'Ă©poque de Sarko. On ajoute la perte d'attractivitĂ© du mĂ©tier, la difficultĂ© Ă  muter et la difficultĂ© Ă  recruter causes et consĂ©quences de la contractualisation cela ne date pas... mais cela commence Ă  se voir lourdement. C'est ça. Le cĂŽtĂ© public, assumĂ©, auto-satisfait, du ministre, des recteurs et consorts, colore la contractualisation de soufre et de dĂ©sespoir je m'entraine pour le prochain Printemps des PoĂštes !En attendant, tout le monde va bien du forum valle a Ă©crit Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramĂšne tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-ĂȘtre qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas ratĂ© le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restĂ©e contractuelle par du forum Lowpow29 a Ă©crit valle a Ă©crit Caro a Ă©crit les contractuels actuels sont nettement moins bons que ceux des annĂ©es 2000. Je suis donc une bonne contractuelle puisque j'ai commencĂ© il y a prĂšs de 22 ans par choix !!! Je pense que Manu7 parle en gĂ©nĂ©ral il est Ă©vident qu'il y avait aussi des contractuels trĂšs, trĂšs, peu compĂ©tents il y a 20 ans ! Il est important de ne pas confondre des affirmations gĂ©nĂ©rales et particuliĂšres, je ne pense pas que Manu7 parle de telle ou telle personne, si on ramĂšne tout au jugement sur l'individu, tout raisonnement devient impossible.Ton "par choix" m'interroge Ă©tait-il habituel il y a 20 ans de contraindre des gens Ă  signer un contrat avec l'ÉN ??? Peut-ĂȘtre qu'elle veut juste dire qu'elle n'a pas ratĂ© le concours 20 fois. Et qu'elle est donc restĂ©e contractuelle par choix. Mais ça en revanche semble comporter un jugement gĂ©nĂ©ral sur les collĂšgues il y aurait des contractuels "par obligation" qui ont ratĂ© le concours, qui peuvent bouger mais n'en ont pas envie, etc. et des contractuels "par choix" qui n'ont pas tentĂ© le concours ou qui l'ont eu, qui sont contraints de rester dans une commune..., avec le sous-entendu que les contractuels "par choix" sont les "bons", je serait comme dire qu'il y a des titulaires "par choix" qui ont eu le poste souhaitĂ©, ou qui avaient dĂ©jĂ  un travail et on choisi de se reconvertir... et "par contrainte" mutĂ©s par extension ou qui ont eu le concours parce que c'Ă©tait la suite "logique" Ă  leurs Ă©tudes.CaroNiveau 9Aucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tentĂ© le concours. J'ai trĂšs vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon Ă©poux Ă  l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon du forum Caro a Ă©critAucun jugement de ma part ni sur les "bons" ni sur les "mauvais" contractuels. Je n'ai jamais tentĂ© le concours. J'ai trĂšs vite compris que si je devenais titulaire, il me serait impossible de suivre mon Ă©poux Ă  l'autre bout du monde. Avec le temps, je suis certaine d'avoir fait le bon choix. Mais quels sont les contractuels qui ne le sont pas "par choix" ?RuthvenGuide spirituelSophie VĂ©nĂ©titay fait le job dans sa rĂ©action Ă  la vidĂ©o de D. Auverlot et opportunisme en instrumentalisant la crise de recrutement pour aller toujours plus loin dans la remise en cause du statut et en piĂ©tinant les droits des titulaires. Inadmissible !Le statut de fonctionnaire donne des obligations mais aussi des droits. Il s’inscrit dans la conception d’un fonctionnaire citoyen. Et c’est peut-ĂȘtre ça qui dĂ©range, vu l’entreprise de casse du statut et de promotion de la contractualisation menĂ©e par depuis les luttes Ă  venir, la dĂ©fense du statut sera centrale. C’est dĂ©fendre nos droits, mais aussi une certaine conception du service public ambitieuse, dĂ©mocratique et au service de l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral."CaroNiveau 9J'ai croisĂ© certains contractuels qui ne parviennent pas avoir le concours et donc qui ne le sont donc pas par choix. Lisak40FidĂšle du forumCaro C'est Ă©tonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisĂ©, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement Ă  tort ou Ă  raison qu'ils n'ont pas les capacitĂ©s pour pour le rĂ©ussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon Ă©tabliseement des problĂšmes de nationalitĂ© contractuels non citoyens europĂ©ens. La plupart des contractuels croisĂ©s passent le concours assez rapidement quand mĂȘme, et souvent le rĂ©ussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. AprĂšs il y a des exceptions contractuel longue durĂ©e, tout Ă  fait capable d'avoir le concours, sans problĂšme de nationalitĂ©, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est gĂ©nĂ©ralement pas un problĂšme-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontrĂ© 500 contractuels...DerniĂšre Ă©dition par Lisak40 le Mer 24 AoĂ» 2022 - 846, Ă©ditĂ© 1 foisvalleFidĂšle du forum Lisak40 a Ă©critCaro C'est Ă©tonnant je ne met absolument pas en doute ta parole ceci dit car moi ce que j'ai surtout croisĂ©, ce sont des contractuels qui n'osent pas passer le concours, pensant probalement Ă  tort ou Ă  raison qu'ils n'ont pas les capacitĂ©s pour pour le rĂ©ussir, mais cela ils l'avouent rarement. Il y a parfois aussi en tous les cas dans mon Ă©tabliseement des problĂšmes de nationalitĂ©s contractuels non citoyens europĂ©ens. La plupart des contractuels croisĂ©s passent le concours assez rapidement quand mĂȘme, et souvent le rĂ©ussissent, notamment ceux qui tenaient la route en tant que prof contractuel. AprĂšs il y a des exceptions contractuel longue durĂ©e, tout Ă  fait capable d'avoir le concours, sans problĂšme de nationalitĂ©, sans famille conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est gĂ©nĂ©ralement pas un problĂšme-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontrĂ© 500 contractuels... Je pense surtout que tout travailleur est fini lĂ  oĂč il est pas une suite de choix contraints. Quelqu'un en reconversion qui aurait Ă©chouĂ© au concours pourrait se dire "j'ai quand mĂȘme dĂ©cidĂ© de postuler en tant que contractuel par choix, alors que Caro est juste devenue enseignante afin de pouvoir suivre son conjoint". C'est comme classer les titulaires selon le nombre de fois qu'ils ont tentĂ© le concours, ou dire qu'on est certifiĂ© ou agrĂ©gĂ© "par choix" puisqu'on aurait pu tenter le concours de Perdir alors qu'on en connaĂźt qui ne le sont pas "par choix" parce qu'ils ont essayĂ© un concours du ministĂšre des finances et ont on a tous fait des choix. Autant je comprends trĂšs bien le deuxiĂšme post oĂč Caro explique qu'elle ne regrette pas son choix, autant s'exclamer qu'elle est contractuelle "par choix !" me paraĂźt crĂ©er des catĂ©gories peu c'est un HS, je crains, donc j'arrĂȘte, mĂȘme s'il y a un lien avec la rentrĂ©e comme quoi il serait mieux n'avoir jamais tentĂ© un concours plutĂŽt que ne l'avoir pas eu, puisqu'on devient un simple travailleur "par dĂ©faut".DerniĂšre Ă©dition par valle le Mer 24 AoĂ» 2022 - 843, Ă©ditĂ© 3 foisCaroNiveau 9Lisak 40 C'est valable en France mĂ©tropolitaine ce que tu avances, c'est vrai. Par contre, ce n'est pas le cas pour l' 9Tout Ă  fait d'accord avec toi Valle. Bonne reprise Ă  tous / toutes. Pour ma part, je suis toujours en attente d'une affectation et le stress commence Ă  Lisak40 a Ă©critAprĂšs il y a des exceptions contractuel longue durĂ©e, tout Ă  fait capable d'avoir le concours, sans problĂšme de nationalitĂ©, sans famille / conjoint qui imposerait de rester en RP -de toutes les façons, vouloir rester en RP n'est gĂ©nĂ©ralement pas un problĂšme-, mais je n'ai jamais compris leurs motivations je n'ai pas non plus rencontrĂ© 500 contractuels... Certains ne veulent pas subir le systĂšme de mutations. Certes, rester en RP est gĂ©nĂ©ralement possible, mais quand on est titulaire, on peut ĂȘtre loin de la zone visĂ©e et on ne peut pas refuser des postes. Lisak40FidĂšle du forumEn effet Caro Je ne connais pas la situation en OM, ni mĂȘme dans les autres acadĂ©mies. Et pour le coup tu fais partie des contractuels qui ne passent pas le concours pour pouvoir rester avec leur conjoint, ce qui me semble un raison tout Ă  fait normale et comprĂ©hensible et de toutes les façons je ne cherche pas Ă  juger, mais Ă  comprendre. Bon courage pour la suite !Jenny En effet, je n'avais pas pensĂ© Ă  cet Ă©tat de fait, toutefois cela me semble quand mĂȘme une raison difficile Ă  comprendre car il est trĂšs facile d'obtenir CrĂ©teil ou Versailles, et si on est motorisĂ© se dĂ©placer dans l'acadĂ©mie n'est Ă  priori jamais trop difficile. Si on est mutĂ© Ă  Paris, lĂ  encore avec les transports en commun le dĂ©placement n'est pas un problĂšme. C'est justement une des raisons qui me fait rester en RP je ne peux pas conduire mĂ©dicalement dĂ©conseillĂ©. Alors certes il y a mĂȘme en RP des coins plus difficile Ă  joindre que d'autres, mais Ă  ma connaissance aucun qui soit totalement inaccessible en transports. OU bien je n'ai pas compris ton message ?DerniĂšre Ă©dition par Lisak40 le Mer 24 AoĂ» 2022 - 855, Ă©ditĂ© 1 foisBaldredFidĂšle du forumL'Ă©tat des lieux du recours aux contractuels sur France Info au mieux des candidats repĂȘchĂ©s plutĂŽt qu'issus de job dating, au mieux 4 jours de formation ... ou rien, au mieux une affection.... ou pas...J'ai dĂ» manquer l'info c'est quand notre journĂ©e de grĂšve ? Certains contractuels veulent Paris intra muros. Dans ma matiĂšre, ce n'est pas simple Ă  obtenir, loin de lĂ . Certains disent qu'ils refusent les services partagĂ©s... Certains postes trĂšs confortables sont bloquĂ©s pour les contractuels. Un CDE peut plus facilement garder un contractuel qu'un TZR. Sur les salaires... oui, l'acadĂ©mie oĂč un stagiaire ou nĂ©tit sur 3 ne rejoint pas son poste... Sujets similairesWeek-end de rentrĂ©e, vendredi aprĂšs-midi, mois de juin, 2eme jour de prĂ©-rentrĂ©e Jean-Michel Zakhartchouk, retraitĂ©, invite les enseignants Ă  travailler nouveau pour les AVS et AED les AVS deviennent AESH, et les AED pourront remplacer les et suppressions de postes Ă  la rentrĂ©e chiffres primaire et secondaireLa pĂ©nurie des enseignants de Math existe-t-elle dans les lycĂ©es privĂ©s ?Secondaire - RentrĂ©e 2012 280 enseignants recrutĂ©s Ă  la rentrĂ©e 2012Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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Ceciprend aussi du temps et il faut relancer avec insistance. Donc, en l'Ă©tat actuel, il n'y a quasiment aucune chance que vous ayez une AVS Ă  la rentrĂ©e puisque vous n'avez pas mĂȘme la notification MDPH (en gĂ©nĂ©ral, il faut avoir reçu la notification en juin pour espĂ©rer une AVS en septembre). Je vais faire une ENORME confession
 Quand j’étais enfants vers l’ñge de 9 ou 10 ans, j’avais trĂšs peur des enfants handicapĂ©s, en particulier les enfants trisomiques. Pourquoi? On m’avait expliquĂ© qu’il ne fallait se moquer
 Moi la fille au bec-de-liĂšvre, comme si j’allais me moquer du physique de qui que ce soit. Moi et ma souffrance on n’allait pas en crĂ©er. On ne m’a rien expliquĂ© d’autre. Non, ce qui me faisait peur c’est que j’étais persuadĂ©e qu’ils avaient une sorte de dĂ©tecteur d’ñme pure, que l’on ne pouvait pas leur mentir, qu’ils savaient si on Ă©tait sincĂšre, qu’ils savaient bien plus de choses que nous n’en saurions jamais et par-dessus tout j’avais peur qu’ils ne m’aiment pas
 Ce qui aurait voulu dire que je n’étais pas quelqu’un de bien. C’est Ă©trange, n’est-ce pas? Vous me trouver stupide? Vous trouvez ça dingue que j’ose raconter un truc pareil? Et si on acceptait TOUS de lever le voile de notre ignorance? Si on acceptait de dire ce qui nous inquiĂšte? Pour parler Ă  cƓur, et avancer bon sang!!! Dans ce domaine qui deviens une HONTE du comportement humain!!! On parle juste de diffĂ©rences, et donc de valeur ajoutĂ©s. Ils sont aussi les adultes de demain ! J’ai recueilli plusieurs tĂ©moignages, celui d’une AVS et de son vĂ©cue, celui d’une maman et de son combat depuis un an, celui d’une maman qui a choisi de devenir AVS et de l’accueil qui lui ai fait et celui d’une enseignante. Quatres chemins qui se croisent, un carrefour des besoins,et des attentes qui sont souvent les mĂȘmes
 Mais aucune communication
 De l’attente, beaucoup d’attente mĂȘme. Prenons le cas d’une maman, aprĂšs avoir fait les dĂ©marches Ă  la MDPH, a obtenue 15h d’accompagnement pour son enfant par un AVSi. Son enfant n’est scolarisĂ© que le matin pour mĂ©nager sa fatigue. Ses besoins Installation DĂ©placement Habillage Apprentissages Dans leur cas, l’institutrice de l’enfant avait voulu permette que le dialogue s’installe au plus vite entre les parents et l’Auxiliaire de vie scolaire. L’institutrice qu’il avait eue l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente sans AVS souhaitait fonctionner de maniĂšre trĂšs ouverte en nous laissant discuter et voire le maximum de choses directement avec l’AVS. J’ai pu la rencontrer le jour de la prĂ©rentrĂ©e sachant que ce n’est pas toujours possible, il faut qu’elle soit avisĂ©e de son poste avant la rentrĂ©e, j’ai Ă©tĂ© appelĂ©e le jour mĂȘme et me suis rendue Ă  l’école pour lui expliquer la maladie de mon fils en prĂ©sence de l’instit je suis en congĂ© parental pour mon dernier enfant, aprĂšs j’aurais travaillĂ© ça aurait Ă©tĂ© la mĂȘme soit je posais deux jours de prĂ©rentrĂ©e au cas oĂč soit je ne rencontrais pas l’AVS avant la rentrĂ©e. J’ai pu aller rechercher mon fils aprĂšs sa sieste pour lui prĂ©senter l’AVS le mĂȘme jour. Il faut manifestement ĂȘtre trĂšs disponible tout de mĂȘme, il n’y a rien de mis en place pour ce moment particulier?Une sorte d’adaptation? AprĂšs au fil du temps les rapports avec l’AVS se sont dĂ©gradĂ©s, j’ai l’impression que comme on a relevĂ© certaines pratiques qui n’étaient pas OK par rapport Ă  ce qui avait Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© en rĂ©union elle avait dĂ©cidĂ© que mon fils devait mettre son manteau seul pour faire comme les autres or il avait Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© qu’il fallait l’économiser au maximum sur ce type de tĂąches pour qu’il ait le plus de disponibilitĂ© pour suivre en classe elle s’est un peu braquĂ©e. L’AVS ne s’approchait plus, elle restait loin dans la classe lorsqu’on amenait notre enfant. Qui est ce qui gĂšre ces moments dĂ©licats? Un accompagnement serait-il possible? Pouvons attendre que l’institutrice endosse ce rĂŽle, car en ouvrant la communication entre les parents et l’AVS et ne plus participer aux discutions on risque un trop gros manque d’équilibre. Dans ce cas la maman a su ĂȘtre comprĂ©hensive, et a rĂ©flĂ©chis au pourquoi en faisant un triste constat Le travail d’AVS est clairement trĂšs mal payĂ©, les personnes en contrat aidĂ© ont du mal Ă  s’impliquer dans la fonction puisque le contrat n’est censĂ© qu’ĂȘtre transitoire, l’éducation nationale ne remplissait pas les obligations de formation qu’elle avait Ă  l’égard de ces personnes. L’ensemble ne crĂ©e pas des conditions favorables. Le choix des personnes recrutĂ©es est pourtant crucial pour un telle demande! C’est dĂ©licat et on laisse les gens se dĂ©brouillĂ©s en se gaussant d’avoir mis des choses en place. Mais il n’a pas de choix
 Le souci de ce systĂšme celui du handicap et de la scolarisation en milieu ordinaire c’est que les manquements liĂ©s Ă  la formation donc Ă  la compĂ©tence des AVS et ceux liĂ©s Ă  la gestion des AVS manque de temps d’AVS par rapport aux besoins de l’enfant conduisent Ă  ce que les PPS dont la mise en Ɠuvre est seule Ă  mĂȘme de permettre la rĂ©ussite des enfants en situation de handicap ne sont pas toujours correctement appliquĂ©s. Passons au constat et au vĂ©cu d’une AVS, manifestement il y a diffĂ©rente façon d’atteindre ce poste. Donc le CUI Le contrat unique d’insertion CUI associe formation et aide financiĂšre pour faciliter l’embauche de personnes dont les candidatures pour occuper un emploi sont habituellement rejetĂ©es. Le CUI est rĂ©servĂ© aux personnes reconnues par les institutions comme spĂ©cialement dĂ©savantagĂ©es dans la compĂ©tition pour l’accĂšs Ă  l’emploi. Ou le passage classique » faire acte de candidature auprĂšs de votre acadĂ©mie. Dans le premier cas, je dois avouer que cela ne laisse pas rĂȘveur, mais que pouvons-nous attendre de personnes dans une telle situation qui se retrouvent avec un emploie reconductible au grand maximum trois ans? Sans formation AUCUNE pour gĂ©rer des enfants habituellement ne suivit par des spĂ©cialistes? Je commence d’ailleurs a me poser des questions sur ce terme. SPECIALISTE, mouais
 Mais ne jugeons pas trop vite
 Voici l’expĂ©rience d’une AVS J’ai un bac +4 mais j’étais au chĂŽmage depuis longtemps, et j’ai trouvĂ© cette annonce sur pĂŽle emploi, rĂ©servĂ©e aux chĂŽmeurs de longue durĂ©e. J’ai passĂ© un entretien assez prĂ©caire, et ai Ă©tĂ© acceptĂ©e! J’ai Ă©tĂ© affectĂ©e Ă  mon premier poste sans rien, aucune info, aucune formation. J’ai dĂ©barquĂ© dans l’école ne sachant mĂȘme pas de quel enfant j’allais m’occuper ni quelle classe, ni quel handicap. Niveau infos, zĂ©ro!!! Mmmm j’adore lire ça! C’est vraiment chouette, n’est-ce pas? Surtout que cette personne a Ă©tĂ© recrutĂ©e et Ă  commencer a travailler en fĂ©vrier, c’est Ă  dire qu’il n’y avait mĂȘme pas l’excuse du mois d’aout
 Oui j’adore le fameux » ah oui, mais bon
 C’est le mois d’aout, hein! » avec le » ma p’tite Dame » Grrr Et puis la proposition de » formation » la voici j’ai reçu en juin une proposition de formation pour la rentrĂ©e d’aprĂšs. La formation en question 2 ou 3 jours de confĂ©rences en amphi sur le fonctionnement de la MDPH, comment se prennent les dĂ©cisions au niveau de la reconnaissance des handicaps etc
 Bref le fonctionnement interne et administratif. Mais ce n’étaient que des confĂ©rences, pas une formation Ă  proprement parler! Aucune formation sur les handicaps que l’on peut rencontrer, aucune information sur la façon de rĂ©agir face Ă  ces handicaps etc, rien de concret. Puis l’annĂ©e a recommencĂ©, avec d’autres enfants. D’autres handicaps. Il faut se rĂ©adapter, refaire connaissance, recommencer parfois avec certains enfants. AprĂšs, j’ai pu constater dans plusieurs tĂ©moignages d’AVS un souci de reconnaissances de la part des instituteurs, peu de communication, de discussion. Les professeurs des Ă©coles et les directeurs sont dĂ©jĂ  trĂšs occupĂ©s dans leurs fonctions, certes mais souvent c’est un problĂšme de hiĂ©rarchie, comme pour les ATSEM. Personnellement j’ai remarquĂ© plus d’une fois qu’elles avaient beau faire un gros travail, il y avait peu de reconnaissance. Mais j’ai aussi vu dans certaines Ă©coles de la considĂ©ration pour ce mĂ©tiers, mais il y a toujours un mais
 Voici aussi le ressenti d’une personne qui va ĂȘtre AVS Ă  la rentrĂ©e
 Ce que je voulais juste dire, c’est que je n’ai pas encore commencĂ© mais que j’en vois dĂ©jĂ  de toutes les couleurs !! Entre l’IA qui m’a embauchĂ©, le lycĂ©e oĂč je vais travailler et le collĂšge dont je dĂ©pends, les gens se renvoie la balle pour me donner des infos. A 5 jours de la rentrĂ©e, je n’ai pas signĂ© de contrat, je n’ai pas de contact, je n’ai aucune info sur ce que je vais faire, sur mon planning, sur ce que je fais si l’élĂšve est malade, ce genre de dĂ©tails » La sensation d’ĂȘtre en trop » pour toute l’administration scolaire Et puis l’avis d’une institutrice, qui me disait y’a AVS et AVS
 Car parfois ça deviens une difficultĂ© Ă  gĂ©rer en plus, mais qu’effectivement elles n’introduisent pas l’AVS aux pauses cafĂ©s, ou Ă  leur discussions. Car il y a comme un besoin de » chacun sa place » et qu’ensuite si il y a des choses Ă  dire c’est plus compliquĂ© si la hiĂ©rarchie n’est pas marquĂ©. Ensuite il y a aussi un manque de formation pour les professeurs des Ă©coles. J’aurais aimĂ© mieux Ă©claircir les choses, mais je ne trouve que des questions, des craintes et peu de confiance. Ce que je comprends totalement, je ne suis pas AVS, je n’ai pas beaucoup de connaissance sur le handicap en gĂ©nĂ©ral, mais j’en assez de mon ignorance, et je ne veux pas que mes enfants fassent partis de ces ignares moqueurs
 Je suis toujours prĂȘte Ă  apporter des modifications, si vous avez des informations supplĂ©mentaires, je réécrirais sur le sujet suivant l’évolution des choses et si mes sources continuent de m’en dire plus! Pour rappel, ce sont que quelques tĂ©moignages, et que d’autres seraient les bienvenus!!! Vous pouvez aussi venir en parler avec moi sur mon blog MereCruelle et vous apercevoir que je ne le suis pas ; MĂšre cruelle Aumoment de la demande, ils doivent rĂ©diger une saisine. Et ils dĂ©cident jusqu’au bout, c’est-Ă -dire que mĂȘme aprĂšs avoir rĂ©digĂ© la saisine, mĂȘme aprĂšs la notification de la CDAPH, ils peuvent finalement refuser l’AVS. Quand il y a des difficultĂ©s, ce qui fait plus bouger les choses, c’est que les parents fassent remonter les
SheldonNiveau 9Bonjour Ă  collĂšge possĂšde une classe ULIS avec une professeur Ă©lĂšves d'ULIS sont trĂšs souvent inclus, sans aucune donc deux questions - L'AVS est-elle obligatoire pour pouvoir rĂ©aliser une inclusion d'Ă©lĂšve ULIS en classe "normale" ?- Le professeur peut-il s'opposer Ă  cette inclusion, du fait qu'il n'y ai aucune AVS ?Merci de vos En tant que Physicien, j'ai une connaissance Ă©tendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - MoiJennyMĂ©diateurL'AVS n'est pas obligatoire.Ca se passe mal avec ces Ă©lĂšves ? En cas d'inclusion compliquĂ©e, il ne faut pas hĂ©siter Ă  en parler avec le professeur spĂ©cialisĂ©.SheldonNiveau l'AVS n'est pas obligatoire, le professeur concernĂ© a-t-il la possibilitĂ© de refuser ?Qui dĂ©cide finalement de l'inclusion ? Simplement le professeur en charge des ULIS ?_________________" En tant que Physicien, j'ai une connaissance Ă©tendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - MoiJennyMĂ©diateurC'est le professeur spĂ©cialisĂ© qui dĂ©cide. Je t'avoue ne pas bien comprendre un refus avant de connaĂźtre les Ă©lĂšves, ça peut aussi trĂšs bien se discussion est toujours possible avec le collĂšgue d'ULIS quand ça se passe mal avec un Ă©lĂšve. jonjon71HabituĂ© du forum Jenny a Ă©critC'est le professeur spĂ©cialisĂ© qui dĂ©cide. Je t'avoue ne pas bien comprendre un refus avant de connaĂźtre les Ă©lĂšves, ça peut aussi trĂšs bien se discussion est toujours possible avec le collĂšgue d'ULIS quand ça se passe mal avec un Ă©lĂšve. Je ne comprends mĂȘme pas qu'un enseignant puisse se demander s'il peut refuser de prendre l'Ă©lĂšve. L'Ă©lĂšve fait partie de la classe, le cadre le l'ULIS un accompagnement par un AVS n'est mĂȘme pas systĂ©matiquement obligatoire, cela dĂ©pend des besoins de l'Ă©lĂšve. De plus, malheureusement, faute d'un nombre suffisant d'AVS, souvent il n'y en a pas dans tous les cours pour chaque amĂ©nagements pourront ĂȘtre faits dans le cadre de l'ULIS s'il n'y a pas d'AVS comme fournir le cours en polycopiĂ© par jonjon71 a Ă©crit Jenny a Ă©critC'est le professeur spĂ©cialisĂ© qui dĂ©cide. Je t'avoue ne pas bien comprendre un refus avant de connaĂźtre les Ă©lĂšves, ça peut aussi trĂšs bien se discussion est toujours possible avec le collĂšgue d'ULIS quand ça se passe mal avec un Ă©lĂšve. Je ne comprends mĂȘme pas qu'un enseignant puisse se demander s'il peut refuser de prendre l'Ă©lĂšve. L'Ă©lĂšve fait partie de la classe, le cadre le l'ULIS un accompagnement par un AVS n'est mĂȘme pas systĂ©matiquement obligatoire, cela dĂ©pend des besoins de l'Ă©lĂšve. De plus, malheureusement, faute d'un nombre suffisant d'AVS, souvent il n'y en a pas dans tous les cours pour chaque amĂ©nagements pourront ĂȘtre faits dans le cadre de l'ULIS s'il n'y a pas d'AVS comme fournir le cours en polycopiĂ© par exemple. Non, justement, l'Ă©lĂšve d'ULIS ne fait pas partie de la classe et n'est donc pas comptĂ© dans les effectifs. Quand tu as dĂ©jĂ  une classe Ă  28 ou 29 Ă©lĂšves et qu'on te rajoute un Ă©lĂšve supplĂ©mentaire, qui en plus est en difficultĂ©, tu es en droit de te demander dans quelles conditions tu l'accueilles. Sans AVS, ce sont trop souvent des Ă©lĂšves perdus en cours et ça fait mal au coeur de les voir ramer. La diffĂ©renciation a bon dos, mais si ces Ă©lĂšves relĂšvent d'ULIS, ce n'est pas pour rien et pas pour les retrouver en cours dans une classe surchargĂ©e sans amĂ©nagement._________________- Le monde est dangereux Ă  vivre ! Non pas tant Ă  cause de ceux qui font le mal, mais Ă  cause de ceux qui regardent et laissent faire. - L'Etat est notre serviteur et nous n'avons pas Ă  en ĂȘtre les esclaves. EinsteinIl me convient d’ĂȘtre avec les peuples qui meurent, je vous plains d’ĂȘtre avec les rois qui tuent. Victor HugoPanta RheiÉruditQuelle excellente question!Je ne sais pas ce qu'il en est chez toi, mais dĂ©jĂ  les 16 Ă©lĂšves ULIS sont des Ă©lĂšves "fictifs" alors mĂȘme qu'ils ont vocation Ă  ĂȘtre intĂ©grĂ©s dans les classes, ils ne sont pas comptĂ©s comme les autres Ă©lĂšves. Ce qui fait que nous avons 30 + 2 ULIS + AVS ça dĂ©pend ça va, ça vient genre n'importe quoi!Aussi, pour te rĂ©pondre, chez nous, on a dĂ©jĂ  des classes qui tournent entre 28 et 30, maintenant que cette ULIS a Ă©tĂ© implantĂ©e et bien nous sommes sur du 32 + Ă©dition par Panta Rhei le Lun 24 Sep 2018 - 559, Ă©ditĂ© 1 fois_________________SignatureDerborenceModĂ©rateurCe n'est pas le cas dans tous les Ă©lĂšves ULIS sont vraiment intĂ©grĂ©s dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur volontĂ© permet de grimper sur les cimes ; sans volontĂ© on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tĂȘte pendant qu’on se penche sur le vide, oĂč il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."Charles-Ferdinand Ramuz, Derborencelou gaiaNiveau 5de mon point de vue, non on ne peut pas refuser. Par contre, le but de l'inclusion n'est absolument pas que l'Ă©lĂšve fasse la mĂȘme chose que le groupe classe. Quand je reçois des ULIS, le cours est de niveau primaire, je le donne en avance Ă  la prof qui le suit, on en discute. Et la/le prof spĂ© reprend le cours avec l'Ă©lĂšve par la suite. L'intĂ©rĂȘt est que l'Ă©lĂšve ULIS fasse sociĂ©tĂ©, ne se retrouve pas brusquement Ă  16 ans avec le tout venant mais qu'il prenne l'habitude de fonctionner avec les autres, et vice versa bien sĂ»r. Oui c'est du boulot en plus, c'est aussi hyper intĂ©ressant de comprendre comment ces Ă©lĂšves fonctionnent, et souvent, ce genre d'Ă©lĂšve rend au centuple ce qu'on lui les ulis sont comptĂ©s dans les effectifsDerniĂšre Ă©dition par lou gaia le Dim 23 Sep 2018 - 1723, Ă©ditĂ© 1 foisMonsieur SilenceNiveau 9 Derborence a Ă©critCe n'est pas le cas dans tous les Ă©lĂšves ULIS sont vraiment intĂ©grĂ©s dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur classe. + 1Dans mon collĂšge, les Ă©lĂšves ULIS sont dans les effectifs des classes depuis le dĂ©but ; ils n'y sont pas ajoutĂ©s. Ensuite, ils suivent certains cours, et pas d' annĂ©e, j'ai 2 Ă©lĂšves ULIS en 6e, 2 en 5e et 4 en 3e. J'ai la chance d'avoir une AVS quasiment Ă  chaque fois ; bon, c'est difficile en 3e, car cela fait 30 Ă©lĂšves en tout, et l'AVS ne peut s'occuper efficacement des 4 ULIS. Je fais ce que je peux avec ces Ă©lĂšves ; parfois, quand je diffĂ©rencie, cela profite aussi aux Ă©lĂšves faibles de la me semblait que les Ă©lĂšves ULIS Ă©taient bien comptĂ©s dans les bien eu un collĂšgue qui refusait de s'en occuper pas de feuille pour eux, aucune adaptation... Je trouve ça trĂšs limite, pour rester polie. expĂ©rienceNiveau 9 Derborence a Ă©critCe n'est pas le cas dans tous les Ă©lĂšves ULIS sont vraiment intĂ©grĂ©s dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur classe. Chez nous aussi. C'est le propre de l'inclusion non ? Les Ă©valuations seules diffĂšrent, elles sont adaptĂ©es par l'enseignante spĂ©cialisĂ©e. La nĂŽtre est vraiment disponible pour discuter de l'Ă©lĂšve, nous proposer des pistes voire faire de la co-animation ce qui lui permet d'observer l'Ă©lĂšve en situation de classe. Ces Ă©lĂšves posent moins de problĂšme que d'autres seuls Ă  gĂ©rer leurs grandes difficultĂ©s. expĂ©rienceNiveau 9 Jenny a Ă©critIl me semblait que les Ă©lĂšves ULIS Ă©taient bien comptĂ©s dans les bien eu un collĂšgue qui refusait de s'en occuper pas de feuille pour eux, aucune adaptation... Je trouve ça trĂšs limite, pour rester polie. + 10Isis39EnchanteurQuestion aux collĂšgues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours Ă  un niveau primaire ?J'ai en 6e un Ă©lĂšve qui relĂšve de l'ULIS mais les parents ont refusĂ© qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres Ă©lĂšves en difficultĂ© ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui ĂȘtre inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'Ă  mille. Alors mon cours sur la prĂ©histoire...JennyMĂ©diateurAucune formation, je me rapproche des enseignants spĂ©cialisĂ©s. Je ne sais pas quoi te dire pour l'aider Ă  situer dans le temps. Mes Ă©lĂšves savaient toujours compter. Je fais beaucoup d'exercices avec des mots Ă  relier, des Ă©lĂ©ments Ă  souligner dans les documents avec les Ă©lĂšves d'ULIS les plus en nous, les Ă©lĂšves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplĂ©mentaire... _________________ J'utilise des satellites coĂ»tant plusieurs millions de dollars pour chercher des boĂźtes Tupperware dans la forĂȘt ; et toi, c'est quoi ton hobby ? jonjon71HabituĂ© du forum expĂ©rience a Ă©crit Derborence a Ă©critCe n'est pas le cas dans tous les Ă©lĂšves ULIS sont vraiment intĂ©grĂ©s dans le mien. Ils suivent quasiment tous les cours avec leur classe. Chez nous aussi. C'est le propre de l'inclusion non ? Les Ă©valuations seules diffĂšrent, elles sont adaptĂ©es par l'enseignante spĂ©cialisĂ©e. La nĂŽtre est vraiment disponible pour discuter de l'Ă©lĂšve, nous proposer des pistes voire faire de la co-animation ce qui lui permet d'observer l'Ă©lĂšve en situation de classe. Ces Ă©lĂšves posent moins de problĂšme que d'autres seuls Ă  gĂ©rer leurs grandes difficultĂ©s. De mĂȘme, mon collĂšge accueille 2 ULIS et les Ă©lĂšves sont intĂ©grĂ©s dans les classes mĂȘme s'il peuvent avoir des edt amĂ©nagĂ©s selon leurs Les collĂšges dont les Ă©lĂšves affectĂ©s en ULIS ne sont pas comptabilisĂ©s dans les effectifs doivent se battre pour obtenir qu'ils soient pris en compte, car ils sont sensĂ©s ĂȘtre inclus dans les classes. Les collĂšges qui ont rĂ©clamĂ© ont obtenu gain de cause, et dans certaines acadĂ©mies c'est maintenant Il existe diffĂ©rents types d'ULIS, pour diffĂ©rents types de troubles. Il est ridicule d'affirmer qu'un Ă©lĂšve accompagnĂ© par le dispositif ULIS ne pourra assister qu'Ă  des cours de niveau primaire. Si est implantĂ©e dans votre Ă©tablissement une ULIS pour "handicap physique" troubles des fonctions motrices, les Ă©lĂšves pourront ĂȘtre inclus dans tous les cours dans toutes les matiĂšres, ou presque, sans accompagnement particulier. S'il s'agit d'une ULIS pour malvoyants ou malentendants, l'AVS n'est pas toujours utile si les adaptations nĂ©cessaires sont mises en place au niveau de l' Dans le cas des ULIS pour "handicap cognitif" troubles des fonctions cognitives ou mentales, voire troubles spĂ©cifiques du langage et des apprentissages, souvent rĂ©unis dans les mĂȘmes unitĂ©s - les Ă©lĂšves affectĂ©s en ULIS ne sont pas affectĂ©s en EGPA. Leur handicap cognitif ne va donc pas nĂ©cessairement de pair avec un QI infĂ©rieur Ă  70. Leur handicap les empĂȘche plus ou moins lourdement d'accĂ©der aux apprentissages disons-le comme ça pour faire vite, mais ils sont nombreux Ă  pouvoir suivre les enseignements dans presque toutes les matiĂšres, surtout avec un accompagnement idoine ;- Ă©videmment, cela dĂ©pend des MDPH et des façons d'affecter en ULIS des critĂšres ;- j'ai eu plusieurs Ă©lĂšves autistes ou placĂ©s sur le spectre des troubles autistiques qui ont suivi tous les cours de toutes les matiĂšres de la 6e Ă  la 3e et ont passĂ© le brevet, avec un accompagnement ULIS AVS parfois, mais pas dans tous les cours ; j'ai Ă©galement eu des Ă©lĂšves si lourdement dyslexiques qu'ils avaient Ă©tĂ© affectĂ©s en ULIS ils en ont Ă©tĂ© sortis au bout d'un an, ils rĂ©ussissaient trop bien grĂące aux amĂ©nagements, apparemment.4 Qu'il n'y ait aucun AVS pour l'ensemble de l'ULIS est assez Les effectifs d'une ULIS doivent ĂȘtre de 10 maximum, avec amĂ©nagements possibles selon les cas comment pouvez-vous en arriver Ă  16 avec un seul enseignant coordonnateur ?Il y a des textes, quand mĂȘme Le nombre d'Ă©lĂšves qui bĂ©nĂ©ficient du dispositif au titre d'une Ulis collĂšge ou lycĂ©e ne dĂ©passe pas dix. Cependant, dans certains cas, l'inspecteur d'acadĂ©mie-directeur acadĂ©mique des services de l'Ă©ducation nationale IA-Dasen peut dĂ©cider de limiter l'effectif d'une Ulis donnĂ©e Ă  un nombre sensiblement infĂ©rieur si le projet pĂ©dagogique ou si les restrictions d'autonomie des Ă©lĂšves qui y sont inscrits le justifient. Il peut Ă©galement augmenter l'effectif d'une Ulis donnĂ©e si la mise en Ɠuvre des PPS des Ă©lĂšves le critĂšres de modulation du nombre d'Ă©lĂšves bĂ©nĂ©ficiant de l'Ulis s'appuient sur les temps de prĂ©sence effectifs dans le dispositif et les temps d'inclusion scolaire en classe ordinaire ainsi que sur les projets personnalisĂ©s de scolarisation. De tout cela, on peut dĂ©duire que soit les Ă©lĂšves de cette ULIS particuliĂšre sont en capacitĂ© d'ĂȘtre inclus sans accompagnement d'oĂč un effectif de 16, soit il y a dysfonctionnement et on se moque du monde car il n'est pas possible de donner Ă  ces Ă©lĂšves ce Ă  quoi ils ont droit de bonnes conditions d'enseignement.Je suis un peu pĂ©remptoire mais c'est agaçant de savoir qu'il existe des textes lĂ©gaux pas trĂšs longs Ă  lire et qu'au lieu de s'y rĂ©fĂ©rer on nous, enseignants se laisse dire ceci ou du forum Malaga a Ă©critChez nous, les Ă©lĂšves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplĂ©mentaire... AprĂšs, que les Ă©lĂšves ne soient pas comptĂ©s dans les effectifs qui sont remontĂ©s Ă  l'IA c'est possible. En pratique, ces Ă©lĂšves sont dans nos listes de on en fait quoi de ces Ă©lĂšves si les enseignants refusent de les prendre parce que
 ?Isis39Enchanteur Jenny a Ă©critAucune formation, je me rapproche des enseignants spĂ©cialisĂ©s. Je ne sais pas quoi te dire pour l'aider Ă  situer dans le temps. Mes Ă©lĂšves savaient toujours compter. Je fais beaucoup d'exercices avec des mots Ă  relier, des Ă©lĂ©ments Ă  souligner dans les documents avec les Ă©lĂšves d'ULIS les plus en difficultĂ©. Mon souci c'est que je ne vais pas lui faire d'Ă©valuations adaptĂ©es puisque c'est un 6e comme les autres. Du coup je ne sais vraiment pas comment faire. On n'a pas d'ULIS ici donc pas d'enseignant spĂ©cialisĂ©. La seule rĂ©ponse de la conseillĂšre pĂ©dagogique du primaire a Ă©tĂ© de me dire de prendre des manuels de CE1. Sauf qu'on ne fait pas d'HG en CE1. Grand silence ensuite. Traduction debrouille-toi !J'essaie au maximum d'ĂȘtre vers lui, de l'aider, mais j'ai beaucoup d'Ă©lĂšves en difficultĂ© dans cette classe. Et cet Ă©lĂšve seul aurait besoin de quelqu'un avec lui en gaiaNiveau 5 Isis39 a Ă©critQuestion aux collĂšgues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours Ă  un niveau primaire ?J'ai en 6e un Ă©lĂšve qui relĂšve de l'ULIS mais les parents ont refusĂ© qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres Ă©lĂšves en difficultĂ© ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui ĂȘtre inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'Ă  mille. Alors mon cours sur la prĂ©histoire... beaucoup d'Ă©lĂšves ULIS ont de gros soucis de calcul, ce qui pose problĂšme pour le repĂ©rage dans le temps, bien sĂ»r. J'ai connu une prof spĂ© qui avait fabriquĂ© une grande frise chronologique A3 pliable, l'Ă©lĂšve s'y rĂ©fĂ©rait. Mais franchement, moi je n'insiste pas sur les dates avec un Ă©lĂšve ULIS. Je donne des faits, des histoires, des grandes idĂ©es, je vois ce qu'il en comprend et je fais beaucoup avec lui, avec les questions qu'il se pose. Pour la prĂ©histoire, c'est plutĂŽt comment les hommes vivaient avant ? mĂȘme si le avant est trĂšs flou Et puis quand on avance, comment les hommes vivaient ensuite ? Je trouve des cours et de idĂ©es sur internet, les PE donnent aussi leurs sĂ©quences. Je travaille aussi avec des vidĂ©os ce qui permet Ă  l'Ă©lĂšve de travailler seul. Il rĂ©pond Ă  4/5 questions en 30 minutes puis je reviens faire un point avec lui. Et mĂȘme, quand il est en confiance, il rĂ©alise une prise de parole qui rĂ©sume sa vidĂ©o et enrichit le bilan/trace Ă©crite de la classe. exemple j'ai un ULIS en 4e qu a vu une vidĂ©o sur l'esclavage sur le temps long, pendant que les autres bossaient sur la traite atlantique. En fin de sĂ©ance, il a pris la parole pour expliquer que l'esclavage a toujours existĂ©DalvaVĂ©nĂ©rable Isis39 a Ă©critQuestion aux collĂšgues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours Ă  un niveau primaire ?J'ai en 6e un Ă©lĂšve qui relĂšve de l'ULIS mais les parents ont refusĂ© qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres Ă©lĂšves en difficultĂ© ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui ĂȘtre inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'Ă  mille. Alors mon cours sur la prĂ©histoire... Les parents ont refusĂ© ce qui pourrait aider leur enfant. Tu n'as pas Ă  ĂȘtre plus royaliste que le roi. Tu ne peux pas te substituer aux parents. Donc, s'il est en classe comme les autres, non pas en raison d'un dĂ©faut de l'administration mais par dĂ©cision de la famille, tu lui fais cours comme aux sais qu'il est difficile de faire ça. On a l'impression d'abandonner les Ă©lĂšves en le rĂŽle des enseignants PP par exemple et des autres adultes de l'Ă©tablissement gĂ©nĂ©ralement COP, CdE, CPE, etc. est aussi de continuer Ă  communiquer avec les parents. La position des familles peut Ă©voluer avec le temps. Les parents peuvent avoir des prĂ©ventions parfois irrationnelles. Et puis ils se rendent compte que ça ne va pas et que ça ne marche pas, que l'enfant souffre, travaille d'arrache-pied sans y arriver ou fatigue Ă©normĂ©ment, on peut en mĂȘme temps leur "opposer" l'exemple d'autres Ă©lĂšves dans le mĂȘme cas qui sont trĂšs bien accompagnĂ©s par le dispositif ULIS, et ils changent parfois d' l'Ă©lĂšve n'a pas de PPS ni de PAP, tu n'as "tout simplement" pas le droit de lui proposer des amĂ©nagements. Parce que sur le bulletin, Ă  cĂŽtĂ© de ses notes, qu'est-ce que tu mettras ? "RĂ©sultats avec amĂ©nagements" ? Jusqu'Ă  quel niveau ? Jusqu'en 3e ? Mais en 3e, sans PAP et sans PPS, il n'aura pas le droit Ă  des amĂ©nagements au brevet. Et comment expliquer aux parents qu'il faut absolument lui trouver une orientation autre que le lycĂ©e ? On n'a pas le choix, il faut que les rĂ©sultats montrent le niveau rĂ©el. Il n'a pas le niveau collĂšge et n'est pas en EGPA ni en ULIS, donc il ne peut pas ah, je vois qu'en fait tu es partie sur ce principe. Tu n'auras pas le temps de tout faire, de toute Ă©dition par Dalva le Dim 23 Sep 2018 - 1751, Ă©ditĂ© 1 foisMalagaModĂ©rateur jonjon71 a Ă©crit Malaga a Ă©critChez nous, les Ă©lĂšves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplĂ©mentaire... AprĂšs, que les Ă©lĂšves ne soient pas comptĂ©s dans les effectifs qui sont remontĂ©s Ă  l'IA c'est possible. En pratique, ces Ă©lĂšves sont dans nos listes de on en fait quoi de ces Ă©lĂšves si les enseignants refusent de les prendre parce que
 ? Les Ă©lĂšves en ULIS ne sont pas dans nos listes de classe. _________________ J'utilise des satellites coĂ»tant plusieurs millions de dollars pour chercher des boĂźtes Tupperware dans la forĂȘt ; et toi, c'est quoi ton hobby ? DalvaVĂ©nĂ©rable jonjon71 a Ă©crit Malaga a Ă©critChez nous, les Ă©lĂšves en ULIS ne comptent pas dans les effectifs. Cela permet de ne surtout pas ouvrir une division supplĂ©mentaire... AprĂšs, que les Ă©lĂšves ne soient pas comptĂ©s dans les effectifs qui sont remontĂ©s Ă  l'IA c'est possible. En pratique, ces Ă©lĂšves sont dans nos listes de on en fait quoi de ces Ă©lĂšves si les enseignants refusent de les prendre parce que
 ? C'est possible mais c'est inadmissible. Si le seuil d'ouverture de division est Ă  30 Ă©lĂšves et qu'on ne comptabilise pas les ULIS Ă  l'IA, on se retrouve avec des classes Ă  30 ou 32 plusieurs ULIS dans une mĂȘme classe pour mutualiser les AVS. D'une part les effectifs sont surchargĂ©s pour les Ă©lĂšves "normaux" si tant est que ça existe, d'autre part ce sont les pires conditions possibles pour inclure des Ă©lĂšves porteurs de handicap. C'est vraiment se moquer du ce cas, refuser d'accueillir un Ă©lĂšve de plus en classe, c'est peut-ĂȘtre mal et mĂ©chant, mais ça a au moins le mĂ©rite de signaler une situation compter que 32 Ă©lĂšves, je ne peux pas les faire asseoir dans nos salles...Je n'ai jamais refusĂ© un Ă©lĂšve ULIS, ça ne me traverserait pas l'esprit, mais je comprendrais qu'un collĂšgue sans formation, Ă  qui on n'a pas demandĂ© son avis et Ă  qui on voudrait imposer un tel effectif soit tentĂ© de le faire.Isis39Enchanteur lou gaia a Ă©crit Isis39 a Ă©critQuestion aux collĂšgues qui accueillent des ULIS notamment en HG avez-vous eu des formations, des ressources pour adapter vos cours Ă  un niveau primaire ?J'ai en 6e un Ă©lĂšve qui relĂšve de l'ULIS mais les parents ont refusĂ© qu'il y alle. Il a un niveau CE1 et jeune sais pas quoi faire avec lui. Les adaptations que je fais pour d'autres Ă©lĂšves en difficultĂ© ne suffisent pas. Beaucoup de notions semblent lui ĂȘtre inaccessibles, notamment le calendrier. Il ne sait pas compter jusqu'Ă  mille. Alors mon cours sur la prĂ©histoire... beaucoup d'Ă©lĂšves ULIS ont de gros soucis de calcul, ce qui pose problĂšme pour le repĂ©rage dans le temps, bien sĂ»r. J'ai connu une prof spĂ© qui avait fabriquĂ© une grande frise chronologique A3 pliable, l'Ă©lĂšve s'y rĂ©fĂ©rait. Mais franchement, moi je n'insiste pas sur les dates avec un Ă©lĂšve ULIS. Je donne des faits, des histoires, des grandes idĂ©es, je vois ce qu'il en comprend et je fais beaucoup avec lui, avec les questions qu'il se pose. Pour la prĂ©histoire, c'est plutĂŽt comment les hommes vivaient avant ? mĂȘme si le avant est trĂšs flou Et puis quand on avance, comment les hommes vivaient ensuite ? Je trouve des cours et de idĂ©es sur internet, les PE donnent aussi leurs sĂ©quences. Je travaille aussi avec des vidĂ©os ce qui permet Ă  l'Ă©lĂšve de travailler seul. Il rĂ©pond Ă  4/5 questions en 30 minutes puis je reviens faire un point avec lui. Et mĂȘme, quand il est en confiance, il rĂ©alise une prise de parole qui rĂ©sume sa vidĂ©o et enrichit le bilan/trace Ă©crite de la classe. exemple j'ai un ULIS en 4e qu a vu une vidĂ©o sur l'esclavage sur le temps long, pendant que les autres bossaient sur la traite atlantique. En fin de sĂ©ance, il a pris la parole pour expliquer que l'esclavage a toujours existĂ© Je rappelle que c'est un refus d'ULIS. Je devrais fournir un travail de dingue pour un seul Ă©lĂšve ? Alors que j'en fait dĂ©jĂ  beaucoup pour les autres. Cet Ă©lĂšve n'arrive pas Ă  travailler seul, il faudrait que je sois tout le temps avec lui. J'ai beaucoup discutĂ© avec son PE de CM2. Il avait proposĂ© la Segpa aux parents qui avaient acceptĂ© mais l'IEN a rendu un avis dĂ©favorable car le mĂŽme ne relĂšve pas de la segpa mais de l'ULIS. RĂ©sultat il est chez similairesPeut-on refuser une supplĂ©ance sans risquer son prĂ©-accord ? Manifestations de lycĂ©ens dans toute la France contre les expulsions d'Ă©lĂšves sans-papier "Avec ou sans papiers, ce sont des Ă©lĂšves comme nous".Peut-on refuser d'ĂȘtre PP?Peut-on refuser une inspection? Peut-on refuser de faire un EPI ?Sauter versPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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CetteFoire Aux Questions (FAQ) a été conçue avec notre partenaire la FNASEPH (Fédération Nationale des Associations au Service des ElÚves Présentant une situation de Handicap), pour vous aider. Vous trouverez ci-aprÚs des réponses aux questions les plus fréquemment posées concernant la scolarisation des enfants en situation de handicap.

Il y a sĂ»rement beaucoup d'autres enfants en MS qui ne comprennent pas 2 consignes dans une mĂȘme phrase, et qui n'ont pas d'AVS. Le psy normalement a dĂ» faire passer des tests un peu plus complets ? Des tests de QI ? Ils ne mesurent que ce qu'ils mesurent, mais dĂ©jĂ  ils seront objectifs lĂ -dessus normalement. Quand il ne bouge pas, il est mentalement inactif ou observateur ? Si je comprends bien, l ecole sait dĂ©jĂ  quel autre enfant a besoin d une avs mutualisee, l ecole a du convoquer d autres parents oĂč ils ont proposĂ© avs mutualisee. Si les 2 familles acceptent il y aura donc avs mutualisee qui soulagera le futur prof. Si une famille sur 2 accepte. Que se passe t il ? J'en sais rien, c'est bizarre. Peut-ĂȘtre qu'ils anticipent sur le fait que s'ils font une demande d'AVS avec juste ce qu'ils ont lĂ , on leur refusera au motif qu'il y a des cas plus prioritaires. Mais que s'ils demandent une personne pour deux enfants le dossier aurait une chance de passer. Dans ce cas il faudrait trouver un 2Ăšme enfant Ă  problĂšme. L'ont-ils ? Vont-ils en trouver un autre pour faire la variable d'ajustement du tien ? Ou es-tu la variable d'ajustement de l'autre ? Difficile Ă  dire. D'ailleurs il n'est pas certain que deux cas aussi lĂ©gers et peu documentĂ©s mĂ©dicalement suffisent Ă  obtenir une AVS pour deux. Un seul enfant avec un handicap plus envahissant et clairement Ă©tabli pourrait ĂȘtre jugĂ© prioritaire sur deux cas que la maĂźtresse peut gĂ©rer, surtout si aucun Ă©lĂ©ment objectif n'indique que ça ne peut pas s'arranger tout seul pour les deux. C'est pour ça que je trouve qu une avs pour ça c est bof sachant que exp,iquer plusieurs fois des consignes c est le taf du prof et asem. Et j ai tres peur j avoue, que l avs soit pa au top c est Ă  dire , elle ou lui mĂȘme avec leger handicap. J en ai trop vu ! Ca se passe quand mĂȘme sous l'autoritĂ© de l'enseignante. Ne pas savoir faire face Ă  un handicap psychiatrique ou autistique sĂ©vĂšre, c'est possible, lĂ  si c'est juste stimuler et rĂ©pĂ©ter les consignes, c'est banal.
Ila Ă©tĂ© diagnostiquĂ© fin 2016 du trouble autistique Asperger et a pu bĂ©nĂ©ficier de l'aide d'une AVS en mai et juin 2017. "C'est cette mĂȘme AVS qui devait ĂȘtre lĂ  pour la rentrĂ©e. Le TouPI peut vous renseigner sur la procĂ©dure pour que votre enfant puisse obtenir l’assistance d’un AVS. Qu’est-ce qu’un AVS ? L’auxiliaire de vie scolaire AVS est une personne qui reste aux cĂŽtĂ©s de votre enfant en classe, afin de lui apporter une aide personnalisĂ©e. Une circulaire parue en juillet 2014 change l’appellation des AVS en AESH Accompagnant de l’ElĂšve en Situation de Handicap. On parle toutefois encore couramment d’AVS. L’AVS peut ĂȘtre prĂ©sent sur tout le temps scolaire de l’enfant, ou sur une partie de ce temps. Il existe plusieurs types d’AVS les AVS individuels AVS-i, affectĂ©s Ă  un enfant Ă  temps plein ou partiel dans ce cas, l’AVS peut travailler auprĂšs de plusieurs enfants sur des temps scolaires diffĂ©rents. Le nombre d’heures d’accompagnement individuel est spĂ©cifiĂ© par la MDPH. les AVS mutualisĂ©s AVS-m, affectĂ©s Ă  plusieurs enfants. C’est l’école qui s’organise pour le temps de prĂ©sence de l’AVS auprĂšs de chaque enfant, la MDPH ne spĂ©cifiant pas le nombre d’heures de chacun. les AVS collectifs AVS-co prĂ©sents dans les classes spĂ©cialisĂ©es CLIS, ULIS Comment faire la demande ? Une section du dossier MDPH est consacrĂ©e Ă  la demande d’AVS, mais il faut savoir que cette demande ne sera gĂ©nĂ©ralement pas traitĂ©e s’il n’y a pas eu une rĂ©union Ă  l’école, et une demande conjointe des parents et de l’équipe enseignante. Pour une premiĂšre demande d’AVS, la procĂ©dure est la suivante, que l’enfant soit dĂ©jĂ  scolarisĂ© ou non les parents doivent demander au directeur de l’école d’organiser une rĂ©union Ă©quipe Ă©ducative, largement en amont de la rentrĂ©e scolaire. En effet, afin de laisser Ă  la MDPH puis au rectorat le temps de traiter la demande d’AVS, la rĂ©union doit avoir lieu le plus tĂŽt possible pour une premiĂšre demande, de prĂ©fĂ©rence autour du mois de fĂ©vrier pour la rentrĂ©e de septembre, au plus tard en avril-mai sachant que mai peut dĂ©jĂ  ĂȘtre trop tard pour avoir un AVS en septembre. Une telle rĂ©union est possible avant mĂȘme une premiĂšre scolarisation cf. article 5 de la circulaire du 17 aoĂ»t 2006. Pour un enfant qui a dĂ©jĂ  un AVS, la demande de renouvellement se fera lors de la rĂ©union ESS Equipe de Suivi de Scolarisation, organisĂ©e au minimum une fois par an et pilotĂ©e par l’enseignant rĂ©fĂ©rent. Comment se dĂ©roule la rĂ©union Ă©quipe Ă©ducative ou Ă©quipe de suivi de scolarisation ? RĂ©union Ă©quipe Ă©ducative pour une premiĂšre demande d’amĂ©nagement de la scolaritĂ© par exemple une premiĂšre demande d’AVS participants les parents de l’enfant, le directeur de l’école ou chef d’établissement, les professionnels extĂ©rieurs qui suivent l’enfant professionnels en libĂ©ral, ou en SESSAD, IME, CMP, etc, Ă©ventuellement le futur enseignant de l’enfant, une personne de la crĂšche ou autre, le psychologue scolaire, le mĂ©decin scolaire, l’assistante sociale. Les parents peuvent ĂȘtre accompagnĂ©s par un parent d’élĂšve de l’école. document rempli GEVA-Sco premiĂšre demande RĂ©union ESS Equipe de Suivi de Scolarisation pour un renouvellement enfant bĂ©nĂ©ficiant dĂ©jĂ  d’une reconnaissance de handicap avec scolaritĂ© amĂ©nagĂ©e participants les parents de l’enfant, l’enseignant rĂ©fĂ©rent, le directeur de l’école ou chef d’établissement, l’enseignant de l’enfant ou le professeur principal au collĂšge et au lycĂ©e, l’AVS de l’enfant, les professionnels extĂ©rieurs qui suivent l’enfant professionnels en libĂ©ral, ou en SESSAD, IME, CMP, etc, Ă©ventuellement la psychologue scolaire, le mĂ©decin scolaire, l’assistante sociale. Les parents peuvent ĂȘtre accompagnĂ©s, en plus des pros qui suivent l’enfant, d’une personne de leur choix. document rempli GEVA-Sco renouvellement Au cours de cette rĂ©union Ă©quipe Ă©ducative ou ESS, le directeur de l’école ou l’enseignant rĂ©fĂ©rent va remplir le geva-sco, en y notant les informations donnĂ©es notamment par l’enseignant et l’AVS si l’enfant est dĂ©jĂ  scolarisĂ©. Le geva-sco est un document normalisĂ© national, que l’enseignant rĂ©fĂ©rent va envoyer Ă  la MDPH aprĂšs la rĂ©union. C’est Ă  partir de ce document que la MDPH va prendre ses dĂ©cisions concernant la scolaritĂ© de l’enfant. Il est donc primordial qu’il soit rempli correctement. Les geva-sco est avant tout destinĂ© Ă  l’équipe Ă©ducative, et il est souvent difficile pour les parents d’y faire ajouter leurs remarques. Noter toutefois qu’une case, en fin du geva-sco, permet aux parents de s’exprimer librement. Nous vous encourageons vivement Ă  en faire bon usage. En fin de rĂ©union ou dans les jours suivants, les parents doivent recevoir une copie du geva-sco. N’hĂ©sitez pas Ă  la rĂ©clamer si le directeur de l’école ou l’enseignant rĂ©fĂ©rent ne vous la remet pas. Si les parents sont en dĂ©saccord avec ce qui est formulĂ© dans le geva-sco, il est important d’en informer la MDPH, en lui Ă©crivant un courrier, ou en demandant Ă  ĂȘtre reçu par l’équipe pluridisciplinaire, qui Ă©value les demandes. Que se passe-t-il aprĂšs cette rĂ©union ? L’enseignant rĂ©fĂ©rent transmet le compte-rendu de la rĂ©union qui inclut le geva-sco Ă  la MDPH. L’équipe pluridisciplinaire de la MDPH va instruire le dossier, puis la MDPH va statuer en commission sur les demandes exprimĂ©es, notamment sur le temps d’AVS demandĂ© et les amĂ©nagements matĂ©riels demande d’ordinateur, etc. L’attente peut ĂȘtre assez longue avant passage en commission MDPH il faut compter plusieurs mois d’oĂč l’intĂ©rĂȘt de faire la rĂ©union en dĂ©but d’annĂ©e civile pour la rentrĂ©e scolaire de septembre, en cas de premiĂšre demande d’AVS. Suite Ă  la commission, la MDPH envoie Ă  la famille et au rectorat une notification d’AVS, indiquant le type d’AVS AVS individuel ou mutualisĂ©, et le temps d’AVS accordĂ© pour les AVS individuels. Il revient alors au rectorat d’affecter un AVS Ă  l’enfant. Attention, cela prend Ă©galement du temps ! Les AVS sont souvent affectĂ©s Ă  la derniĂšre minute, juste avant la rentrĂ©e de septembre. Nous invitons les parents Ă  contacter la cellule AVS de leur acadĂ©mie une semaine environ avant la rentrĂ©e afin de s’assurer qu’un AVS a bien Ă©tĂ© affectĂ© Ă  l’enfant. En cas de problĂšme AVS non affectĂ©, ou temps attribuĂ© insuffisant voir Recours. Lisez nos conseils pour obtenir une dĂ©cision favorable en Ă©vitant un recours. Impassepour la famille de Yony. Cet Ă©lĂšve dys doit faire sa rentrĂ©e en CM1 mais la MDPH 62 lui refuse une AVS alors que l'Ă©cole et 2 mĂ©decins attestent de ses troubles. Ce sont donc 5 parents qui se relayeront sur les bancs de l'Ă©cole. 29 aoĂ»t 2017 ‱
Accueil Hauts-de-France Tourcoing Une famille de plus dans le combat de l’aide aux parents d’enfants handicapĂ©s. On refuse une assistante de vie scolaire Ă  temps plein pour leur fils trisomique. Louis se sent pourtant bien Ă  l’école. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous Ă  partir de 1€ Ă  notre offre numĂ©rique. Sans engagement de durĂ©e. ESSAYER POUR 1€ Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  abonnĂ© ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 9h29 France Incendies en Gironde voici pourquoi le vin risque d’avoir un goĂ»t dĂ©sagrĂ©able» 9h05 LOSC Ajaccio – Lille le LOSC a parfaitement rĂ©agi 8h48 France Vacances d’étĂ© une saison touristique rĂ©ussie pour la France, le littoral a la cote 8h15 International Portugal grĂšve chez un bagagiste, 150 vols annulĂ©s, Easyjet le plus affectĂ© 7h41 International TraitĂ© pour protĂ©ger la haute mer toujours pas d’accord Ă  l’ONU Toute l'info en continu >
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Cest forcĂ©ment une demande de reconnaissance de handicap qui doit ĂȘtre faite et en compensation d’une situation de handicap, la MDA (MDPH) peut accorder une AESH (AVS) sur le temps scolaire. De plus, l’enseignante de votre fille ne Par Jean-Paul M. “PROF ET PARENT EN COLERE je vois dans mon collĂšge et dans celui de mon fils les mĂȘmes aberrations pour le DNB blanc ! Lorsqu’un Ă©lĂšve a une AVS dĂ©signĂ©e comme scripteur-lecteur, l’AVS est bien avec lui dans la salle d’examen, mais elle est utilisĂ©e pour la surveillance de la salle des tiers-temps ! Donc, impossible de lire pour l’élĂšve et surtout d’écrire pour lui ! J’ai un Ă©lĂšve qui s’est plantĂ© au DNB blanc dans mon collĂšge, et cela n’a gĂȘnĂ© personne ! Et aujourd’hui, c’est au tour de mon fils ! MĂȘme situation dans son collĂšge ! Ils ne veulent pas qu’un prof de plus rate ses cours, pour ajouter un surveillant de plus, et ils profitent de la prĂ©sence de l’AVS qui n’ose pas refuser. Ma femme va avec lui ce matin Ă  8h, et envoi d’un mail hier on n’était Ă©videmment pas informĂ©s de ces modalitĂ©s douteuses, mon fils a posĂ© la question hier hors de question qu’il participe Ă  un simulacre de DNB blanc s’il n’est pas seul dans une salle avec son lecteur scripteur, que l’établissement mette ou non un surveillant en plus. Et que dire des nouvelles Ă©preuves ? On a rajoutĂ© des matiĂšres, bien, mais le DNB toujours sur 2 jours ! Donc, qui trinque ? Les tiers-temps ! Ils commencent avant les autres, et Ă  10h, pas de pause pour eux les autres ont une pause. Ensuite, ils finissent aprĂšs les autres et n’ont que 30 min de pause pour manger, les autres ayant plus ! Juste un rappel ce sont les tiers-temps qui sont les plus fatigables ! Ils veulent augmenter le nombre de matiĂšres, qu’ils mettent le DNB sur 3 jours ! Mais non voyons, cela coĂ»terait trop cher ! LapauvretĂ© gagne du terrain, les plus dĂ©munis survivent avec presque rien, les « experts » ferment totalement les yeux sur cette rĂ©alitĂ© qu’ils se refusent d’admettre En cas de contestation, par la personne handicapĂ©e ou son reprĂ©sentant lĂ©gal, de la dĂ©cision de la CDAPH dĂ©signant les Ă©tablissements ou services adaptĂ©s Ă  ses besoins, l'orientation en cours continue de s'appliquer, le temps que les juges statuent sur le recours. A dĂ©faut de maintien de la prise en charge, la structure d'accueil commet une faute engageant sa responsabilitĂ©. C’est une solution qui soulagera les parents d’enfants handicapĂ©s que vient de rendre la Cour de cassation dans un arrĂȘt important du 19 janvier 2017 destinĂ© Ă  ĂȘtre publiĂ© au Bulletin des arrĂȘts des chambres civiles, ainsi qu’au Bulletin d’information de la Cour de cassation. Droit public Le droit public se dĂ©finit comme la branche du droit s'intĂ©ressant au fonctionnement et Ă  l’organisation de l’Etat droit constitutionnel notamment, de l’administration droit administratif, des personnes morales de droit public mais aussi, aux rapports entretenus entre ces derniers et les personnes privĂ©es. DĂ©couvrir tous les contenus liĂ©s En substance, pour la Haute juridiction, lorsque les parents d’un enfant handicapĂ© accueilli dans un Ă©tablissement ou service mĂ©dico-social ESMS en vertu d’une premiĂšre dĂ©cision de la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapĂ©es CDAPH contestent une seconde dĂ©cision de cette instance devant le tribunal du contentieux de l'incapacitĂ© TCI, l’orientation actuelle doit ĂȘtre maintenue, le temps que le juge statue. Ce qui Ă©vite ainsi les ruptures de parcours des intĂ©ressĂ©s. En consĂ©quence, si la structure initialement dĂ©signĂ©e met fin Ă  la prise en charge de l’enfant et refuse, comme en l’espĂšce, de le rĂ©intĂ©grer, elle commet une faute de nature Ă  engager sa responsabilitĂ© civile. L'affaire concernait un enfant, mais la solution est gĂ©nĂ©ralisable Ă  l'ensemble des personnes handicapĂ©es contestant une dĂ©cision d'orientation de la CDAPH. L'arrĂȘt a Ă©tĂ© saluĂ© par DaniĂšle Langloys, PrĂ©sidente de Autisme France, BĂ©nĂ©dicte Kail, conseillĂšre nationale "enfance - familles" de l’Association des paralysĂ©s de France APF, ainsi que par l'UNAPEI. Le maintien de la prise en charge en cours Ainsi que le relĂšve d’entrĂ©e de jeu la Cour de cassation, en application de l’article L. 241-9 du code de l’action sociale et des familles CASF, les recours formĂ©s contre les dĂ©cisions de la CDAPH ont un effet suspensif lorsqu’ils sont intentĂ©s par la personne handicapĂ©e ou son reprĂ©sentant lĂ©gal Ă  l’encontre des dĂ©cisions relatives Ă  la dĂ©signation des Ă©tablissements et services correspondant aux besoins de l’enfant ou de l’adolescent, ou concourant Ă  la rééducation, Ă  l'Ă©ducation, au reclassement et Ă  l'accueil de l'adulte handicapĂ©, et qui sont en mesure de l’accueillir. Mais que recouvre cette notion "d’effet suspensif" ? Elle signifie, d’une part, que la dĂ©cision litigieuse ne peut pas ĂȘtre exĂ©cutĂ©e. Comme le souligne DaniĂšle Langloys, la contestation de la dĂ©cision constitue le seul moyen dont disposent les parents pour bloquer une orientation de la CDAPH, soit parce qu’elle ne leur semble pas adaptĂ©e, soit parce qu'il n’y a aucune offre disponible. D’autre part, et c’est lĂ  tout l’intĂ©rĂȘt de l’arrĂȘt du 19 janvier, ce caractĂšre suspensif implique que la dĂ©cision d’orientation en ESMS prĂ©cĂ©dente continue Ă  s’appliquer, le temps que le juge statue sur le recours. Une position qui, apparemment, ne coulait pas de source pour tout le monde... L’établissement ou service prĂ©cĂ©demment dĂ©signĂ© doit donc continuer Ă  prendre en charge l’enfant ou l'adulte et ce, mĂȘme si la premiĂšre dĂ©cision a Ă©tĂ© prise pour une pĂ©riode dĂ©finie et que l’échĂ©ance est passĂ©e. Ce qui Ă©tait le cas en l’espĂšce. Cette solution permet "de prĂ©server ce que les parents ont dĂ©jĂ  mis en Ɠuvre et de ne pas dĂ©clencher de rupture de parcours", note DaniĂšle Langloys. Rupture malheureusement subie dans l'affaire en cause par l'enfant handicapĂ©e, dĂ©scolarisĂ©e pendant 2 ans. Le tribunal de grande instance TGI de Dijon a, en octobre 2015, fait la mĂȘme analyse de l'effet suspensif du recours contre une dĂ©cision d'orientation de la CDAPH. En vertu du principe selon lequel la personne handicapĂ©e "doit pouvoir bĂ©nĂ©ficier de la continuitĂ© de sa prise en charge", l'association gestionnaire de la structure doit poursuivre l'accueil de l'intĂ©ressĂ©, jusqu'Ă  la dĂ©cision prise sur le recours exercĂ© devant le TCI TGI Dijon, 6 oct. 2015. Une hypothĂšse permet toutefois de faire appliquer la dĂ©cision d'orientation de la CDAPH, malgrĂ© le recours le juge saisi pourrait en effet ordonner l'exĂ©cution provisoire de cette dĂ©cision, le temps que les juridictions aient dĂ©finitivement statuĂ©, s'il l'estime nĂ©cessaire et compatible avec la nature de l'affaire C. pr. civ., art. 515. Cela peut notamment ĂȘtre le cas lorsque l'Ă©tat de l'enfant s'est aggravĂ© entre le moment oĂč la CDAPH s'est prononcĂ©e et celui oĂč le recours est examinĂ© en premiĂšre instance. Lever les freins aux recours "Éviter les ruptures de parcours" est Ă©galement le point "primordial" de cette dĂ©cision relevĂ© par BĂ©nĂ©dicte Kail. Qui se fĂ©licite de cet arrĂȘt sur un second point il "peut permettre de lever les freins que pourraient avoir certaines familles Ă  faire recours". En effet, des parents peuvent abandonner l'idĂ©e de contester une dĂ©cision d'orientation qu'ils jugent mal adaptĂ©e Ă  leur enfant, dans la crainte que celui-ci se retrouve sans aucune solution. Ils peuvent donc dĂ©sormais se rassurer la contestation de l'orientation assurera le maintien de l'enfant dans sa structure d'accueil actuelle, le temps que le litige soit rĂ©glĂ©. Notons Ă  cet Ă©gard que le recours ne concerne que la dĂ©cision de la CDAPH en cause. Si la commission prend une autre dĂ©cision dĂ©signant un Ă©tablissement ou service en mesure d'accueillir l'enfant, avec laquelle les parents sont en dĂ©saccord, ils devront former un autre recours. Attention toutefois Ă  l'accumulation des actions en justice qui pourrait bloquer l'Ă©volution de la prise en charge de l'intĂ©ressĂ©. Sans compter que la personne qui agit en justice de maniĂšre dilatoire ou abusive peut ĂȘtre condamnĂ©e Ă  une amende de 3 000 € maximum, dommages-intĂ©rĂȘts non compris C. pr. civ., art. 32-1. De telles hypothĂšses devraient toutefois ĂȘtre rares. Le refus de rĂ©intĂ©gration de l’enfant En corollaire de la survie de l’orientation en cours, l’établissement ou le service d’accueil est donc tenu de maintenir la prise en charge de la personne handicapĂ©e – ou, comme en l’espĂšce, de le rĂ©intĂ©grer -, dans l’attente de la dĂ©cision dĂ©finitive des juges. A dĂ©faut, il contrevient Ă  l’article L. 241-9 du CASF qui pose le principe de l’effet suspensif du recours intentĂ©, par la personne handicapĂ©e ou son reprĂ©sentant lĂ©gal, contre une dĂ©cision d’orientation de la CDAPH. Le refus du maintien ou de la rĂ©intĂ©gration de l'intĂ©ressĂ© Ă  ce titre prĂ©sente donc un caractĂšre fautif. Et cette faute est de nature Ă  engager la responsabilitĂ© civile de la structure, au titre de l’article 1240 du code civil. Lequel dispose que "Tout fait quelconque de l'homme, qui cause Ă  autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivĂ© Ă  le rĂ©parer". En consĂ©quence, la structure pourrait ĂȘtre condamnĂ©e Ă  verser des dommages et intĂ©rĂȘts Ă  la personne handicapĂ©e ou sa famille. Et c'est par ce "bĂąton" qu'on pourra - si nĂ©cessaire - Ă©viter les ruptures de parcours, estime BĂ©nĂ©dicte Kail. L'impact pour les gestionnaires est donc "Ă  Ă©valuer", analyse pour sa part l'Unapei. Ainsi, en l’espĂšce, la requĂȘte des parents demandant rĂ©paration - par l'association gestionnaire de l'Institut rĂ©gional des jeunes sourds ayant refusĂ© de rĂ©intĂ©grer l'enfant - du prĂ©judice moral rĂ©sultant de la dĂ©scolarisation de leur fille pendant 2 ans, doit donc trouver une rĂ©ponse positive en application de l'article 1240 du code civil. Une position partagĂ©e Dans la mĂȘme veine, la HALDE remplacĂ©e par le DĂ©fenseur des droits s’était dĂ©jĂ  positionnĂ©e en 2008 sur l'effet suspensif des recours intentĂ©s contre les dĂ©cisions d'orientation de la CDAPH DĂ©c. HALDE n° 2008-169, 7 juill. 2008. Elle a considĂ©rĂ© que, par application de l’article L. 241-9 du CASF, le recours formĂ© par les parents Ă  l’encontre de la dĂ©cision de la commission dĂ©partementale de l’éducation spĂ©ciale ancienne CDAPH qui orientait leur enfant en classe d’intĂ©gration scolaire CLIS - alors qu'il Ă©tait scolarisĂ© dans une Ă©cole maternelle publique dans le cadre d'un projet d'intĂ©gration - "avait pour effet de rendre cette dĂ©cision inapplicable, dans l’attente de la dĂ©cision du TCI". En revanche, la dĂ©cision de la commission rendue prĂšs d’un mois plus tard et maintenant l’enfant en classe ordinaire avec une auxiliaire de vie scolaire AVS Ă©tait immĂ©diatement opposable Ă  l’inspecteur d’acadĂ©mie. C'est donc Ă  tort que ce dernier a refusĂ© d’accueillir l’enfant en classe ordinaire. Par ailleurs, la HALDE soulignait que le refus de l'inspecteur d'acadĂ©mie de scolariser un enfant en raison de son handicap - droit pourtant accordĂ© par la loi C. Ă©ducation, art. L. 111-2 et L. 112-1 - constitue une discrimination au sens de l'article 432-7 du code pĂ©nal, punie de 5 ans de prison et 75 000 € d'amende. Le revers de la mĂ©daille L'arrĂȘt du 19 janvier est donc une bonne nouvelle pour les enfants et adultes handicapĂ©s dĂ©jĂ  pris en charge. En cas de dĂ©saccord portant sur une dĂ©cision d'orientation ultĂ©rieure en Ă©tablissement ou service, les intĂ©ressĂ©s doivent en effet ĂȘtre maintenus dans la structure d’accueil, le temps que le juge statue sur leur recours. Il s’agit toutefois d’une solution Ă  double tranchant. En effet, les places ne se libĂ©rant pas, les personnes qui bĂ©nĂ©ficient d’une dĂ©cision d’orientation de la CDAPH mais qui n’ont pas trouvĂ© de place dans les Ă©tablissements ou services correspondant Ă  leurs besoins sont destinĂ©s Ă  rester sur liste d’attente, pour une durĂ©e plus longue que prĂ©vue
 En effet, bien que des crĂ©dits soient rĂ©guliĂšrement allouĂ©s pour crĂ©er de nouvelles places en Ă©tablissements et services pour accueillir les personnes handicapĂ©es Circ. n° DGCS/SD5C/DSS/CNSA/2016/126, 22 avr. 2016, l’offre existante ne permet pas, Ă  l’heure actuelle, de proposer une solution d’accueil Ă  chacun. La situation Ă©tant d'autant plus dĂ©licate pour les enfants autistes
 Comme le dĂ©plore DaniĂšle Langloys, l'offre en matiĂšre de prise en charge de ces derniers est "trĂšs maigre, voire inexistante dans certains dĂ©partements". L'impact de cette dĂ©cision pour l'État est "Ă  Ă©valuer", selon l'Unapei, puisqu'elle "pointe les difficultĂ©s dans le manque de solutions adaptĂ©es". Lesvaccinations sont des interventions mĂ©dicales et la loi fĂ©dĂ©rale n ° 323 prĂ©voit la possibilitĂ© de refuser de telles interventions. La loi n ° 157 sur l'immunoprophylaxie des maladies infectieuses stipule que la vaccination prophylactique des enfants mineurs ne peut ĂȘtre pratiquĂ©e qu'avec le consentement de leurs parents. SociĂ©tĂ© DĂ©clarĂ© "grande cause nationale" en 2012, l'autisme pĂątit encore d'un manque de structures pour prendre en charge les enfants qui en souffrent. SollicitĂ©s pour tĂ©moigner sur des parents racontent leurs parcours, marquĂ©s par les difficultĂ©s et le sentiment de solitude. A la suite de l'article "Guerre ouverte contre la psychanalyse dans le traitement de l'autisme"Le Monde , paru dans datĂ© 17 fĂ©vrier, nous avons lancĂ© un appel Ă  tĂ©moignages aux parents d'enfants autistes afin qu'ils racontent les difficultĂ©s de la prise en charge. Voici une sĂ©lection de leurs rĂ©cits. "On nous a dit qu'il Ă©tait urgent d'attendre", Anne-CĂ©cile D., 39 ans, Ă  Nantes. Arthur, ĂągĂ© de 5 ans et demi, est autiste typique sĂ©vĂšre. Au CMP centre mĂ©dico-psychologique oĂč il est suivi Ă  Nantes, l'Ă©quipe nous a dit qu'il Ă©tait "urgent d'attendre", qu'il ne fallait pas "l'enfermer dans une Ă©tiquette". Ce n'est qu'aprĂšs avoir menacĂ© de saisir le conseil de l'ordre que les soignants ont enfin acceptĂ© de procĂ©der Ă  un diagnostic. Les Ă©valuations se sont Ă©chelonnĂ©es sur dix-huit mois! Sans avoir contactĂ© son Ă©cole, le pĂ©dopsychiatre nous a sommĂ© de dĂ©scolariser notre enfant, pour le laisser Ă  temps plein Ă  l'hĂŽpital de jour. Selon lui, nous devions faire le deuil des progrĂšs d'Arthur qui jamais ne parlerait ou ne deviendrait continent, etc. Nous sommes partis Ă  toutes jambes et avons mis en place une prise en charge adaptĂ©e Ă  son handicap, avec un psychologue ABA Applied behavior analysis, analyse appliquĂ©e du comportement et un intervenant Ă  domicile, qui nous a coĂ»tĂ© 2 500 euros par an, Ă  notre charge, pendant deux ans. Aujourd'hui, j'ai arrĂȘtĂ© de travailler pour monter une Ă©cole ABA avec d'autres familles dans laquelle nos enfants progressent Ă  grands pas. Mais nous avons tous sacrifiĂ© nos vies Ă  nos enfants. "Lorsqu'on a mis un mot sur son problĂšme, j'Ă©tais soulagĂ©e et effondrĂ©e Ă  la fois", par Aurore M. Je suis la maman d'Enzo, reconnu TED troubles envahissants du comportement avec troubles autistiques depuis l'Ăąge de 3 ans et demi. J'avais remarquĂ© que quelque chose n'allait pas, car Ă  un an et demi-deux ans, Enzo ne parlait pas. C'est la premiĂšre chose que j'ai remarquĂ©. Quand j'en parlais Ă  son pĂ©diatre, c'Ă©tait "tout va trĂšs bien, il finira par parler"... Dans ma famille, nous avions aussi remarquĂ© qu'Enzo ne nous regardait pas quand on lui parlait. Mais tout allait toujours trĂšs bien, selon les mĂ©decins. A l'Ăąge de 3 ans, Enzo est rentrĂ© en maternelle. J'ai eu de la chance, sa maĂźtresse Ă©tait quelqu'un de trĂšs bien. En effet, Enzo ne parlait toujours pas, mangeait de la colle, sortait de la classe... C'est la premiĂšre personne extĂ©rieure Ă  la famille qui a remarquĂ© que ça n'allait pas. Enzo a commencĂ© les sĂ©ances d'orthophonie. L’orthophoniste nous a envoyĂ© au CAMSP Centre d'action mĂ©dico-sociale prĂ©coce. Enzo a passĂ© diffĂ©rents tests psychomoteurs, IRM, prises de sang. AprĂšs une attente d’environ six mois, le CAMSP m'a envoyĂ© vers le CMPP centre mĂ©dico-psycho-pĂ©dagogique. LĂ , la pĂ©dopsychiatre a posĂ© le diagnostic et nous a parlĂ© d'autisme. Lorsqu'on a posĂ© un mot sur son problĂšme, j'Ă©tais soulagĂ©e et effondrĂ©e Ă  la fois. Maintenant, Enzo est bien pris en charge, mais je suis toujours autant scandalisĂ©e car mon fils, depuis sa naissance, Ă©tait suivi tous les mois par un pĂ©diatre qui ne s'alarmait pas plus que ça du fait qu'Ă  2 ans, il ne parlait pas. "En France, les listes d'attente sont interminables, mon fils a Ă©tĂ© scolarisĂ© en Belgique", par Anne M., 38 ans, Boulogne-sur-Mer Pas-de-Calais. Mon fils a Ă©tĂ© mis hors de l'Ă©cole Ă  3 ans et demi, il Ă©tait en effet "non conforme" Ă  la norme... Faute de structure pour lui listes d'attente interminables, il a Ă©tĂ© scolarisĂ© en Belgique jusqu'Ă  ses 6 ans et demi, Ăąge auquel une place s'est ouverte dans un IME institut mĂ©dico-Ă©educatif pour qu'il rejoigne sa maman en France! Au moment du diagnostic, on nous avait proposĂ© des activitĂ©s en CMP deux fois par semaine et deux heures par jour. AprĂšs quelques mois de congĂ©s enfant malade pris en charge par la CAF , je ne pouvais plus assurer mon travail... ce qui m'a poussĂ© Ă  faire le choix de le scolariser en Belgique. Heureusement que son pĂšre habitait Ă  la frontiĂšre belge pour le rĂ©cupĂ©rer chaque soir... Quelle galĂšre en effet pour une maman et pour la fratrie. Mon fils est diffĂ©rent, et on nous l'a bien montrĂ©. Dans certains pays comme la Belgique, ces enfants font partie de la population et ont une place Ă  part entiĂšre. "L'impression que le monde va s'Ă©crouler", par Elodie R., 25 ans. Je suis maman d'une petite fille , Nourhane, ĂągĂ©e de 5 ans et demi. En 2009, elle a Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e "autiste sĂ©vĂšre". Lorsque l'on vous annonce que votre enfant ne parlera peut-ĂȘtre jamais, on a l'impression que le monde va s'Ă©crouler. Aucune crĂšche ne voulait d'elle, car selon eux, Nourhane aurait perturbĂ© le fonctionnement d'une journĂ©e. MalgrĂ© l'attribution d'une auxiliaire de vie scolaire, elle n'a pas pu ĂȘtre accueillie dans une Ă©cole maternelle. La cause ? Nourhane faisait peur aux autres enfants et ralentissait le travail de la classe. Un seul centre l'a accueillie un moment, mais un beau jour, Nourhane ne pouvait plus y aller car elle Ă©tait trop grande. A ce jour, ma fille n'est toujours pas scolarisĂ©e dans une Ă©cole. Quant aux centres adaptĂ©s Ă  son handicap, la liste d'attente est de plusieurs annĂ©es. Elle ne parle pas, n'est pas encore propre, s'automutile, n'a aucune notion du danger, aucune relation avec les autres. Tous les enfants ont droit Ă  la scolaritĂ©, mais je n'ai pas l'impression que cette loi s'applique pour les enfants autistes. Ces enfants ont besoin d'une Ă©cole qui utilise la mĂ©thode ABA comme aux Etats-Unis, ce qui leur permet d'Ă©voluer quotidiennement et intellectuellement. J'espĂšre qu'en lisant ce tĂ©moignage, des personnes rĂ©agiront face Ă  ma dĂ©tresse et Ă  celle des autres parents d'enfants autistes. "Que de temps perdu !", Thierry S., 41 ans, enseignant, Ă  Martinet VendĂ©e. Notre fille Ă©tait suivie par un CAMSP Ă  Paris jusqu'Ă  notre dĂ©mĂ©nagement en VendĂ©e. Elle avait 4 ans. Elle y avait Ă©tĂ© diagnostiquĂ©e par un neuropĂ©diatre. La prise en charge Ă©tait satisfaisante. TrĂšs tĂŽt, nous avions contactĂ© le CAMSP de VendĂ©e pour assurer le suivi. Mais d'excuses en excuses, ils reculaient la prise en charge. AprĂšs plus d'un an, en insistant, nous avons eu 4 ou 5 sĂ©ances mais le suivi s'arrĂȘta elle avait 6 ans. Que de temps perdu ! Sa mĂšre a arrĂȘtĂ© son activitĂ© contre 350 euros mensuels de prestations. Nous avons recherchĂ© en libĂ©ral les mĂȘmes spĂ©cialistes qui suivaient notre fille Ă  Paris. Rares, ils obligent Ă  parcourir de grandes distances et ne sont pas ou trĂšs mal remboursĂ©s. Les nĂ©gociations avec la MDPH maison dĂ©partementale des personnes handicapĂ©es et les dossiers Ă  remplir nĂ©cessitent beaucoup de temps, d'Ă©nergie. Nous avons aussi visitĂ© les institutions de VendĂ©e - qui coĂ»tent au contribuable 600 euros par jour -, discutĂ© avec les parents et les personnels, mais l'approche est trop psychanalytique et la prise en charge aussi. Il y a parfois quelques activitĂ©s occupationnelles, mais pour eux, ces enfants sont psychotiques. Ils attendent qu'ils se dĂ©cident Ă  parler au lieu de leur apprendre Ă  communiquer. Les mĂšres y sont souvent considĂ©rĂ©es comme cause du problĂšme. Mais l'autisme est pourtant un trouble neurologique qui nĂ©cessite une stimulation importante, c'est reconnu internationalement. Notre fille alterne donc prises en charges libĂ©rales et Ă©cole avec AVSi assistante de vie scolaire. "Les portes se ferment Ă  l'adolescence !", par Nadine L., 46 ans, Cherbourg Manche. Ma fille est autiste Asperger , diagnostiquĂ©e Ă  l'Ăąge de 3 ans. Dans mon malheur , j'ai eu beaucoup de chance de rencontrer une Ă©quipe formidable et connaissant bien le sujet , contrairement Ă  de nombreux parents ! Ma fille est en 3e ; c'est trĂšs difficile pour elle Ă  ce jour. Elle est dyscalculique sĂ©vĂšre et n'a quasiment pas eu de prise en charge dans ce domaine, ce qui fait qu'elle reste aujourd'hui avec un niveau de CM1 en 3e. Les portes se ferment donc pour elle aprĂšs le collĂšge . Elle rĂȘverait de travailler avec les animaux, comme soigneur animalier, ou flore et faune... Seulement, tout se trouvant en lycĂ©e professionnel, seul un bac pro est possible dans ce domaine , mais son niveau de CM1 en maths ne lui permet pas l'accĂšs a ces lycĂ©es. Elle gĂšre elle-mĂȘme trĂšs mal cette situation. Nous sommes trĂšs inquiets quant Ă  son suivi aprĂšs le collĂšge , il n'y a pas d'ortophonistes formĂ©s pour ma fille dans ma rĂ©gion qui auraient pu la prendre en charge. TrĂšs peu de professionnels connaissent l'autisme, ils manquent de formation, et de nombreux parents se dĂ©brouillent seuls, n'ont aucune prise en charge... C'est scandaleux ! "Le bilan des compĂ©tences se faisait toujours Ă  partir des dĂ©faillances", par Barbara L., 46 ans, professeur certifiĂ©, Aveyron. Maman d'une jeune fille autiste de bientĂŽt 20 ans, j'ai connu les dĂ©boires de la gĂ©nĂ©ration de parents qui ont eu Ă  lutter pour tout. D'abord le diagnostic - mon enfant avait un langage de bĂ©bĂ© prĂ©coce jusqu'Ă  l'Ăąge de 18 mois, ensuite, elle n'est pas rentrĂ©e dans la constructions de phrases ; comportements bizarres. Puis le parcours "classique" Ă©cole maternelle, psychologue, hĂŽpital de jour et des conseils du style "Amenez-nous votre enfant, c'est un tyran domestique mais nous, on exigera un peu de sa part et vous verrez que tout ira mieux." Vers l'Ăąge de 4 ans et demi on m'a enfin guidĂ©e vers un service d'Ă©valuation spĂ©cialisĂ©, on a mis un mot sur notre souffrance et nous pouvions avoir accĂšs Ă  des formations qualifiantes notamment un diplĂŽme d'universitĂ© autisme. A la maison, nous Ă©tions prĂȘts Ă  accompagner notre fille dans sa façon de faire des apprentissages. Mais pour son Ă©volution intellectuelle, il ne fallait pas compter sur le milieu institutionnel on nous avait guidĂ© vers le seul Ă©tablissement du dĂ©partement ayant un agrĂ©ment exclusif de l'accueil de la pathologie et une approche psy. Le bilan des compĂ©tences se faisait toujours Ă  partir des dĂ©faillances. Le parcours douloureux de mon enfant a failli se terminer en hĂŽpital psychiatrique. Certes, la venue d'un enfant autiste bouleverse une famille et un accompagnement psychologique positif aurait Ă©tĂ© le bienvenu, mais pas celui-ci ! "Il faut une dose de chance pour avoir en face de soi la personne compĂ©tente", par Murielle B., Plougastel-Daoulas FinistĂšre. Mon fils a Ă©tĂ© diagnostiquĂ© autiste en 2001. Le professeur qui m'a reçue ma dit "Votre fils est autiste, il ne fera jamais rien de sa vie, n'espĂ©rez pas le voir Ă  l'Ă©cole." Ça fait un choc ! Il a ensuite Ă©tĂ© observĂ© pendant un an et on m'a dit "Votre fils est autiste atypique." Mon fils a Ă©tĂ© dans un centre de jour oĂč nous ne savions pas ce qui s'y faisait, on nous disait que faire de l'orthophonie ne servait Ă  rien, et on nous refusait le droit de rencontrer d'autres parents... L'Ă©cole ? Personne n'en voulait. Finalement, nous avons vu un pĂ©dopsychiatre de Brest, celui-ci nous a presque sauvĂ© la vie. "Oui, votre fils est autiste, mais ça ne veut pas dire que c'est la fin de la vie. On peut mettre plein de choses en place pour l'aider orthophonie et Ă©cole ordinaire accompagnĂ©e d'une AVS." Avouez que si le diagnostic est le mĂȘme, la façon de le gĂ©rer n'a rien Ă  voir... Nous avons vendu notre maison de Nantes, j'ai renoncĂ© Ă  mon travail pour me consacrer Ă  mon fils, mon mari a changĂ© de travail pour venir habiter prĂšs de ce pĂ©dopsychiatre. Depuis, nous avons créé avec d'autres parents une association qui aide les parents arrivant dans le milieu de l'autisme. AprĂšs beaucoup de dĂ©marches, de dossiers, nous avons rĂ©ussi Ă  obtenir le droit Ă  l'Ă©cole avec AVS... Mon fils est actuellement en 5e avec AVS. C'est un vrai parcours du combattant auquel les parents sont confrontĂ©s et il faut une dose de chance pour avoir en face de soi la personne compĂ©tente. "Mon fils Ă©prouve des difficultĂ©s d'apprentissage, car le programme est inadaptĂ©", par Laurence L., 41 ans, infirmiĂšre. J'ai un enfant autiste de 10 ans, diagnostiquĂ© Ă  20 mois. MalgrĂ© un diagnostic prĂ©coce, j'ai rencontrĂ© bon nombre de difficultĂ©s dues essentiellement Ă  la mĂ©connaissance de ce handicap. La principale Ă©tant l'intĂ©gration scolaire - due Ă  une mĂ©connaissance encore une fois de l'autisme - auprĂšs des instituteurs limite maltraitants et Ă  un manque cruel d'assistants de vie scolaire formĂ©s. Encore aujourd'hui, mon fils est en CE2, dans une classe ordinaire, scolarisĂ© 18 heures par semaine avec une AVS, mais l'avenir n'est pas tout rose. En effet, il Ă©prouve des difficultĂ©s d'apprentissage, car le programme est inadaptĂ© pour lui. Il aime ce qui est concret et plus il avance dans le cursus scolaire, plus c'est abstrait. Donc nous voilĂ  confrontĂ©s encore une fois devant le fait qu'il a des capacitĂ©s - il sait lire parfaitement par exemple -, mais Ă  la fois, l'Ă©cart se creuse par rapport aux exigences qui lui sont demandĂ©es. Que faire? Le laisser coĂ»te que coĂ»te dans le cursus, mais Ă  un moment donnĂ©, il va se casser la figure, ou l'orienter dans une autre structure, non adaptĂ©e Ă  l'autisme, oĂč il risque de rĂ©gresser ? VoilĂ  le dilemme de bon nombre de parents d'enfants autistes. Cela nous rĂ©volte. Mais nous restons impuissants. Notre pays reste trĂšs en retard sur la prise en charge de l'autisme par comparaison avec d'autres pays. Notamment en ce qui concerne les nouvelles mĂ©thodes comportementales qui ont dĂ©jĂ  fait leur preuve ailleurs ABA et TEACCH et qui fonctionnent trĂšs bien sur notre fils. "Une fois adultes, les autistes ont autant, sinon encore plus de difficultĂ©s", par RĂ©gine C. N'oublions pas que les enfants autistes deviennent des adultes, avec autant sinon encore plus, de difficultĂ©s. Mon fils a 25 ans ; j'ai connu les difficultĂ©s pour obtenir un diagnostic fiable et cohĂ©rent, les difficultĂ©s pour trouver une place quelque part pour lui et, si possible, avec un accompagnement adaptĂ© Ă  son handicap. Nous nous sommes battus tous les jours et encore aujourd'hui pour qu'il ait une vie digne de ce nom, jusqu'Ă  quand ? Mon fils a un bon niveau, sait lire , Ă©crire, s'exprime et, arrivĂ© Ă  l'Ăąge adulte, nous nous posons la question de son orientation. Pas de foyer de vie pas assez stimulant pour son niveau. Pas de milieu ordinaire trop autiste. Le choix s'est fait sur une orientation en ESAT Ă©tablissement et services d'aide par le travail adaptĂ© aux personnes avec dĂ©ficience intellectuelle, mais pas Ă  celles avec autisme... Cela fait bientĂŽt quatre ans, et ce n'est pas du tout satisfaisant, il nous faut rĂ©flĂ©chir Ă  un autre accompagnement pour stimuler ses compĂ©tences perte de langage car trop peu d'Ă©changes, renfermement.... Les parents prennent les choses en main, crĂ©ent des solutions privĂ©es en recrutant eux-mĂȘmes des professionnels de l'autisme Ă  domicile, organisent les prises en charge... Est-ce satisfaisant pour un pays tel que le nĂŽtre ? Les parents s'y Ă©puisent...Il y a pourtant des solutions et pas uniquement en institution, mais en crĂ©ant de petites unitĂ©s moins onĂ©reuses pour la collectivitĂ© et plus adaptĂ©es. > Lire notre article "L'accompagnement des personnes souffrant d'autisme reste insuffisant". Le Monde Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Onavait le droit Ă  une aide de 1000 euros de la part du conseil gĂ©nĂ©ral et pour cela il fallait fournir les documents qui montraient quels Ă©taient les frais supplĂ©mentaires liĂ©s Ă  la participation du gamin au voyage ( car PMR, hĂ©bergement en hĂŽtel adaptĂ©, rĂ©gime alimentaire spĂ©cifique, hĂ©bergement de l'avs). Au total cela faisait 2000 euros. On a obtenu les 1000 euros French Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese English Synonyms Arabic German English Spanish French Hebrew Italian Japanese Dutch Polish Portuguese Romanian Russian Swedish Turkish Ukrainian Chinese Ukrainian These examples may contain rude words based on your search. These examples may contain colloquial words based on your search. Comment mes parents peuvent-ils faire la fĂȘte alors que Leopold est... I don't understand how my parents can have this party when Leopold is... Mes parents peuvent-ils continuer Ă  payer mes primes? En tant que Suit'er, mes amis et parents peuvent-ils bĂ©nĂ©ficier de tarifs prĂ©fĂ©rentiels sur les rĂ©sidences ? Being a Suit'er, can my friends and family enjoy special rates on stays in SuitĂ©tudes properties? Regarde comment ça s'est passĂ© pour mes parents, ils ne peuvent plus se supporter l'un l'autre! 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Deplus, les AVS sous statut d’EmployĂ©s de Vie Scolaire, embauchĂ©s pour 6 mois, un an maximum constituent Ă  prĂ©sent l’essentiel des personnels d’accompagnement des Ă©lĂšves handicapĂ©s : c’est la prĂ©caritĂ© dans l’emploi comme dans le service public d’éducation qui est institutionnalisĂ©e avec dans le meilleur des cas 60h de
Quel est le cadre sanitaire applicable dans les Ă©coles et les Ă©tablissements scolaires ?L’accueil des Ă©lĂšves au sein des Ă©coles et des Ă©tablissements scolaires se fait dans le respect du cadre sanitaire en vigueur pour cette annĂ©e de mettre en Ɠuvre des mesures proportionnĂ©es, cohĂ©rentes avec les mesures applicables en population gĂ©nĂ©rale, le ministĂšre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse a Ă©tabli, en lien avec les autoritĂ©s sanitaires, une graduation comportant un socle de mesures et trois niveaux de protocole socle de mesures ;niveau 1 / niveau vert ;niveau 2 / niveau orange ;niveau 3 / niveau analyse rĂ©guliĂšre de la situation Ă©pidĂ©mique est assurĂ©e par le ministĂšre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse, en lien avec le ministĂšre de la SantĂ© et de la PrĂ©vention, sur la base notamment des indicateurs fournis par SantĂ© publique France pour diffĂ©rentes Ă©chelles territoriales. La dĂ©termination du niveau applicable s’appuie sur une analyse qualitative nature et caractĂ©ristiques des variants et quantitative situation hospitaliĂšre notamment de la situation. Le passage d’un niveau Ă  un autre sera dĂ©cidĂ© par les autoritĂ©s nationales et pourra concerner tout ou partie du cadre sanitaire est disponible sur le site du sera le niveau du cadre sanitaire applicable Ă  la rentrĂ©e scolaire 2022 ?Compte tenu de la situation sanitaire et des rĂšgles applicables en population gĂ©nĂ©rale, la rentrĂ©e scolaire se dĂ©roulera, sur l’ensemble du territoire national, avec la seule application des mesures prĂ©vues par le socle, c’est-Ă -dire l’application en milieu scolaire des recommandations Ă©mises par les autoritĂ©s sanitaires pour l’ensemble de la Ă©lĂšves sont accueillis pour des cours en prĂ©sentiel. Les activitĂ©s physiques et sportives se dĂ©roulent sans restriction, en intĂ©rieur comme en extĂ©rieur. La limitation du brassage, des regroupements et des rĂ©unions n’est pas requise. En revanche, il demeure recommandĂ© un lavage rĂ©gulier des mains ou la mise Ă  disposition de solutions hydroalcooliques ;une aĂ©ration rĂ©guliĂšre des locaux 10 minutes toutes les heures ou la vĂ©rification du bon fonctionnement et de l’entretien des systĂšmes de ventilation mĂ©canique ;un nettoyage quotidien et une dĂ©sinfection rĂ©guliĂšre des surfaces et points de contact frĂ©quemment niveau de protocole pourra ĂȘtre modifiĂ© en cas de dĂ©gradation de la situation sanitaire. La dĂ©termination du niveau applicable s’appuiera sur une analyse qualitative nature et caractĂ©ristiques 3 des variants et quantitative situation hospitaliĂšre notamment de la situation. En cas de renforcement du protocole passage au niveau 1 ou 2 par exemple, un dĂ©lai de mise en Ɠuvre de 10 jours sera Ă©lĂšves et les personnels doivent-ils porter des masques ?Que ce soit pour le socle ou pour les trois niveaux de protocole, les rĂšgles relatives au port du masque applicables aux adultes et aux enfants en population gĂ©nĂ©rale s’appliquent au milieu scolaire les rĂšgles applicables Ă  l’espace public pour les espaces extĂ©rieurs et celles applicables aux Ă©tablissements recevant du public de mĂȘme nature pour les espaces intĂ©rieurs. Elles sont dĂ©finies par les autoritĂ©s moment de la rentrĂ©e scolaire 2022, le port du masque n’est pas requis en population gĂ©nĂ©rale. Il n’est donc pas requis en milieu scolaire, ni pour les personnels, ni pour les Ă©lĂšves. Ceci ne fait bien entendu pas obstacle Ă  ce que les Ă©lĂšves ou les personnels qui le souhaitent portent le masque. Le port du masque ne peut en revanche ĂȘtre imposĂ© tant aux Ă©lĂšves qu’aux aux recommandations des autoritĂ©s sanitaires, le port du masque en intĂ©rieur est fortement recommandĂ©, Ă  partir de 6 ans, pour les personnes contacts Ă  risque durant les 7 jours aprĂšs la survenue du cas confirmĂ© ainsi que pour les cas confirmĂ©s durant les 7 jours suivant leur pĂ©riode d’isolement. Il est Ă©galement recommandĂ© pour les personnes Ă  risque de forme est le niveau de protection des masques fournis par le ministĂšre de l’Education nationale ?Les personnels de l’éducation nationale intervenant dans les Ă©coles, les collĂšges et les lycĂ©es sont dotĂ©s, s’ils le souhaitent, de masques chirurgicaux jetables de type II ou capteurs CO2 sont-ils recommandĂ©s ?Il est recommandĂ© d’équiper les Ă©coles et Ă©tablissements scolaires de capteurs CO2 mesure de la concentration en CO2 Ă  l’aide de capteurs permet en effet d’évaluer le niveau de renouvellement d’air et par consĂ©quent de dĂ©terminer la frĂ©quence d’aĂ©ration nĂ©cessaire pour chaque local ;de contrĂŽler le bon fonctionnement de la ventilation dans les bĂątiments oĂč le renouvellement de l’air est assurĂ© par des installations durant une ou deux journĂ©es dans une classe, un capteur CO2 mobile permet Ă  l’enseignant d’identifier Ă  quelles frĂ©quence et durĂ©e il est nĂ©cessaire d’aĂ©rer la classe, et d’adapter les pratiques d’aĂ©ration en fonction de sa configuration volume, niveau d’occupation, caractĂ©ristiques des bĂątiments
.Le capteur mobile pourra Ă©galement ĂȘtre utilisĂ© aux moments propices de la journĂ©e dans les locaux connaissant des pics de frĂ©quentation exemple de la cantine Ă  l’heure de dĂ©jeuner et aider Ă  dĂ©terminer la frĂ©quence et la durĂ©e des mesures d’ ailleurs, ce dĂ©ploiement permet une sensibilisation des Ă©lĂšves et des personnels Ă  l’importance de l’aĂ©ration dans le cadre d’une approche pĂ©dagogique, par exemple par l’enseignement des mĂ©canismes de propagation des virus, de la qualitĂ© de l’air intĂ©rieur, de la respiration, ou de la technologie des capteurs. La fabrication de capteurs en milieu scolaire ainsi que l’implication des reprĂ©sentants des Ă©lĂšves sont infographie expliquant le rĂŽle et l’utilisation des capteurs de CO2 est disponible sur le site du dĂ©ploiement des purificateurs d’air est-il recommandĂ© ?Les purificateurs d’air ne peuvent en aucun cas se substituer aux apports d’air extĂ©rieur. Ils ne permettent pas non plus de s’affranchir des mesures de prĂ©vention de la transmission du SARS-CoV-2 par contact avec des surfaces contaminĂ©es et par contact ou inhalation de gouttelettes Ă©mises par une personne dans les situations exceptionnelles oĂč une ventilation naturelle ou mĂ©canique ne permet pas un taux de renouvellement de l’air intĂ©rieur suffisant, les dispositifs de purification d’air peuvent ĂȘtre utilisĂ©s en complĂ©ment. Il convient de s’assurer au prĂ©alable que la technologie envisagĂ©e ne gĂ©nĂšre pas de risques pour la Haut conseil de la santĂ© publique recommande Ă  cet Ă©gard dans un avis en date du 14 et 21 mai 2021 de n’implanter que des unitĂ©s mobiles de purification d’air par filtration HEPA H13 ou H14 ou taux de filtration Ă©quivalent, respectant les normes relatives aux filtres et aux performances intrinsĂšques de l’appareil ;de prĂ©voir, pour chaque implantation d’unitĂ©s mobiles de purification de l’air dans un lieu donnĂ©, une Ă©tude technique prĂ©alable par une personne qualifiĂ©e ou par le fournisseur Ă©tude devra permettre d’identifier et prĂ©ciser, entre autres le volume du local Ă  traiter ;les aĂ©rations et ventilations existantes en identifiant les flux d’air naturels ou forcĂ©s ;le nombre d’appareils Ă  prĂ©voir pour assurer une filtration suffisante de l’air de la piĂšce Ă  traiter en prĂ©voyant au minimum de filtrer chaque heure 5 fois le volume du local ;la disposition des appareils compte tenu des obstacles Ă©ventuels Ă  la circulation de l’air et du besoin d’éviter les flux vers les visages des entretien rĂ©gulier suivant les prĂ©conisations du fournisseur devra impĂ©rativement ĂȘtre rĂ©alisĂ©. Il conviendra enfin de s’assurer, pour limiter la dispersion des gouttelettes, que ces purificateurs n’engendrent pas des vitesses d’air trop Ă©levĂ©es au niveau des sont les recommandations pour le fonctionnement des cantines scolaires ?La restauration scolaire est assurĂ©e par les collectivitĂ©s dans le respect des dispositions rĂ©glementaires et des mesures prescrites par le cadre sanitaire applicable Ă  l’école ou l’établissement attention particuliĂšre est apportĂ©e au renouvellement de l’air dans les espaces de restauration et Ă  l’hygiĂšne des mains. Le recours au capteur CO2 est personnels travaillant dans les Ă©coles et Ă©tablissements scolaires bĂ©nĂ©ficient-ils d’autotests gratuits ?Oui, s’ils le souhaitent, tous les personnels travaillant au contact des Ă©lĂšves dans les Ă©coles et les Ă©tablissements scolaires personnels relevant de l’éducation nationale, des collectivitĂ©s territoriales et de l’enseignement agricole notamment peuvent obtenir gratuitement des autotests en prĂ©sentation d’une attestation professionnelle Ă©tablie et remise par l’employeur service acadĂ©mique, collectivitĂ© territoriale
 ainsi que d’une piĂšce d’identitĂ©, chaque bĂ©nĂ©ficiaire se verra dĂ©livrer 10 autotests par mois. RefuserAVS. Bonsoir. Je suis Ă©tudiant en prĂ©pa et mon pĂšre a demandĂ© a mon insu un AVS, comme j'avais au lycĂ©e. Sauf que ça me sert absolument a rien, je prend tout a l'ordi. Bref j'ai appris hier que j'aurais un AVS Lundi alors que j'en ai pas du tout besoin (15 h par semaine en plus, je sais pas comment je vais le placer car ça me
Les parents d'un enfant handicapĂ© scolarisĂ© dans une Ă©cole maternelle Ă  Paris, en attente depuis deux ans d'un auxiliaire de vie scolaire AVS pour aider leur enfant en classe, ont dĂ©posĂ© un rĂ©fĂ©rĂ© devant le tribunal administratif de Paris. 14 octobre 2006 ‱ Par ThĂšmes Paris, 13 oct 2006 Selon le SNUipp-FSU, principal syndicat des Ă©coles primaires qui a signalĂ© cette situation dans un communiquĂ©, "une famille du XIXe arrondissement de Paris a dĂ©cidĂ© de porter cette carence de l'Etat devant le tribunal administratif. Pour son enfant, la prĂ©sence de l'Auxiliaire de Vie Scolaire est indispensable en classe". ContactĂ© par l'AFP, le pĂšre de cet enfant autiste ĂągĂ© de 5 ans, Roch Sonnet a expliquĂ© qu'il a cessĂ© de renouveler depuis deux ans les demandes d'un AVS pour son fils. "J'avais obtenu l'an dernier l'affectation Ă  mi-temps d'un AVS, je n'ai rien vu venir. J'ai Ă©crit Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie, au mĂ©diateur de la RĂ©publique, au secrĂ©taire d'Etat chargĂ© de l'EgalitĂ© des chances, je n'ai rien obtenu du tout !", a dĂ©plorĂ© le pĂšre de cet enfant scolarisĂ© Ă  l'Ă©cole de la rue de la PrĂ©voyance XIXe. "Nous avons donc dĂ©posĂ© un rĂ©fĂ©rĂ© libertĂ© mercredi au tribunal administratif pour non application de la dĂ©cision de nous accorder un AVS", a prĂ©cisĂ© M. Sonnet. Aucun nouvel AVS n'a Ă©tĂ© affectĂ© pour son fils depuis la rentrĂ©e. "Plus le temps passe, plus son handicap avance faute d'une vraie prise en charge Ă  l'Ă©cole. Et aprĂšs, les autoritĂ©s nous suggĂšrent de mettre notre enfant dans des centres spĂ©cialisĂ©s, alors qu'il ne souffre pas d'un handicap lourd", a-t-il ajoutĂ©. Selon Edouard Rosselet, l'inspecteur d'acadĂ©mie chargĂ© du premier degrĂ© Ă  Paris, "deux AVS ont Ă©tĂ© implantĂ©s dans cette Ă©cole mais ces deux emplois ne sont pas occupĂ©s car ces deux personnes ont dĂ©missionnĂ©, c'est une situation anormale mais pas un dĂ©faut de prĂ©voyance". M. Rosselet a prĂ©cisĂ© Ă  l'AFP qu'il allait "tout de suite envoyer une personne en remplacement". Selon AgnĂšs Duguet, responsable du dossier adaptation et scolarisation des Ă©lĂšves handicapĂ©s au Snuipp-FSU de Paris, "100 Ă  150 Ă©lĂšves handicapĂ©s se retrouvent dans ce cas dans la capitale et sont contraints de rester Ă  la maison". phi/lum/ds Partager sur Tous droits de reproduction et de reprĂ©sentation rĂ©servĂ©s.© 2022 Agence les informations reproduites sur cette page sont protĂ©gĂ©es par des droits de propriĂ©tĂ© intellectuelle dĂ©tenus par l'AFP. Par consĂ©quent, aucune de ces informations ne peut ĂȘtre reproduite, modifiĂ©e, rediffusĂ©e, traduite, exploitĂ©e commercialement ou rĂ©utilisĂ©e de quelque maniĂšre que ce soit sans l'accord prĂ©alable Ă©crit de l'AFP. L'AFP ne pourra ĂȘtre tenue pour responsable des dĂ©lais, erreurs, omissions qui ne peuvent ĂȘtre exclus, ni des consĂ©quences des actions ou transactions effectuĂ©es sur la base de ces informations ». ThĂšmes
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