Please verify you are a human Access to this page has been denied because we believe you are using automation tools to browse the website. This may happen as a result of the following Javascript is disabled or blocked by an extension ad blockers for example Your browser does not support cookies Please make sure that Javascript and cookies are enabled on your browser and that you are not blocking them from loading. Reference ID abbdce40-1e8a-11ed-a68e-4e47514a5867Ilse lĂšve aussi souvent quâil sâassoie pour aider, avec son association humanitaire Karuna-Schechen qui prend en charge les plus vulnĂ©rables. Comment faciliter lâaccĂšs au soin, Ă lâĂ©ducation. Il traduit en français le dalaĂŻ-lama et il est photographe, pour partager cette beautĂ© qui sâoffre Ă lui. A lâinstar du photographe Henri Cartier Bresson qui affirmait : âle
Le loup ou Canis lupus est un mammifĂšre carnivore. Il s'agit de l'un des animaux les plus controversĂ©s Ă cause de sa sauvage beautĂ© et du fait que beaucoup de personnes le considĂšrent toujours comme une animal est un mammifĂšre carnivore qui possĂšde une grande capacitĂ© d'adaptation aux diffĂ©rents Ă©cosystĂšmes. Cependant, le loup, bien que carnivore, ne mange pas que de la viande. Si vous voulez dĂ©couvrir ce que mange un loup, nous vous invitons Ă continuer la lecture de cet article de PlanĂšteAnimal ! Index Le loup Types de loups Que mange un loup ? Un loup mange beaucoup ? Le loup Avant d'aborder l'alimentation du loup, il nous a semble judicieux de passer en revue ses caractĂ©ristiques. Nous avons dĂ©jĂ vu qu'il s'agit d'un mammifĂšre carnivore, mais il y a beaucoup plus Ă en taille d'un loup se situe gĂ©nĂ©ralement entre un et deux mĂštres. Sa hauteur jusqu'Ă l'Ă©paule se situe en moyenne entre 60 et 90 centimĂštres. En termes de poids, un loup de taille moyenne pĂšse environ 50 pelage est composĂ© de deux couches, une couche extĂ©rieure plus rĂ©sistante dont la fonction est de protĂ©ger et de la couche intĂ©rieure, qui plus mince et Ă©paisse. Sa mission est de protĂ©ger le loup du froid et de la pluie. Son pelage est trĂšs semblable Ă celui du ce qui concerne la couleur, les loups peuvent ĂȘtre de nombreuses couleurs. Normalement, ils combinent le noir et le blanc avec le rouge, le brun et l' loup peut vivre entre 8 et 12 ans. Au sein d'une meute, il n'y a que le mĂąle alpha et la femelle bĂȘta qui se reproduisent, chose qui se passe une fois par an. Les petits, par contre, seront protĂ©gĂ©s par tout le odorat est particuliĂšrement puissant. En fait, cette capacitĂ© olfactive, associĂ©e Ă leur vision nocturne prodigieuse, leur permet de chasser la nuit. Leur incroyable vision nocturne est due Ă une couche spĂ©ciale derriĂšre la rĂ©tine de leurs yeux. Vous serez peut-ĂȘtre intĂ©ressĂ© de savoir que les chiens ont la mĂȘme capacitĂ©, dans cet autre article de PlanĂšteAnimal nous verrons ensemble si les chiens peuvent regarder la tĂ©lĂ©vision et d'autres mythes sur leur sang des pattes des loups est aussi spĂ©cial, car il rĂ©gule la tempĂ©rature corporelle de l'animal entier. Il empĂȘche Ă©galement la formation d'Ă©perons de glace sur leurs autre caractĂ©ristique des loups est qu'Ă la base de leur queue, ils ont une glande qui produit une odeur distinctive et unique pour chaque spĂ©cimen. Ainsi, ils peuvent s'identifier les uns les autres, comme les chiens ! Types de loups Il y a beaucoup de sous-espĂšces de loups, bien que toutes puissent ĂȘtre regroupĂ©es en environ quatre grands groupes Loup rougeLoup ibĂ©riqueLoup arctiqueLoup gris Que mange un loup ? Comme nous l'avons dĂ©jĂ dit, le loup est carnivore et son alimentation est basĂ©e principalement sur des animaux de taille moyenne PorcChĂšvreCerfRenneChevalYakBisonMoutonChamoisAntilopeĂlanCependant, l'alimentation du loup dĂ©pend beaucoup de l'habitat dans lequel il se trouve, nous avons expliquĂ© prĂ©cĂ©demment que ce sont des animaux qui possĂšdent une incroyable capacitĂ© d'adaptation. En fait, il existe d'autres proies connues dans un milieu marin, comme les phoques. En Alaska et au Canada, ont Ă©tĂ© observĂ©s des cas de loups qui ont mangĂ© du que les loups voyagent toujours en meute, il y a des cas oĂč les loups voyagent seuls. On ne sait pas pourquoi ces spĂ©cimens ont Ă©tĂ© laissĂ©s sans compagnie de leur congĂ©nĂšre. Ces loups solitaires sont obligĂ©s de chasser des proies plus petites serpents, oiseaux ou rongeurs. Dans les situations de pĂ©nurie alimentaire, ils peuvent manger des fruits et mĂȘme des plantes. Un loup mange beaucoup ? Il est toujours difficile d'obtenir une quantitĂ© de nourriture suffisante pour une meute, c'est pourquoi quand la meute arrive Ă chasser une grosse piĂšce de viande, elle est gĂ©nĂ©ralement consommĂ©e intĂ©gralement. Ils ne laisseront que la peau, le crĂąne et les os les plus qu'une partie du troupeau assure la fonction de chasse, d'autres continuent de protĂ©ger les louveteaux. Les chasseurs fourniront de la nourriture aux deux groupes de loup mange habituellement un kilo et demi de viande par jour, mais pour se reproduire avec succĂšs, il doit consommer trois loup affamĂ© peut manger 10 kilos de viande d'un seul coup. Cependant, c'est un animal qui est capable, si la situation l'exige, Ă passer plusieurs jours sans manger. Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables Ă Que mange un loup ?, nous vous recommandons de consulter la section RĂ©gimes Ă©quilibrĂ©s.
Lerenard arctique (Vulpes lagopus), également connu sous le nom de renard blanc, renard polaire ou renard des neiges, est la seule espÚce réservoir de la rage à répartition holarctique. Les renards arctiques vivent dans la toundra arctique et les habitats de banquise en Fennoscandie, dans le nord de la Russie, en Alaska, dans l'archipel arctique canadien, au
Europe, les Ăźles mythologiquesTĂ©thys, la fille des titans Ouranos le Ciel et de GaĂŻa la Terre avait une longue histoire, formĂ© au trias par la dislocation de la PangĂ©e elle connue plusieurs avatars, la PrototĂ©thys d'abord qui existait au PalĂ©ozoĂŻque entre le Gondwana et le terrane des huns composĂ© du craton du Yangtse, sino-corĂ©en, du bassin du Tarim, et de l'Asie du sud-est. Ensuite vint la PalĂ©othĂ©thys entre lâAsie et qui se referma quand un autre superterrane la referma, la CimmĂ©rie au Trias formĂ© des terres allant de l'Anatolie Ă Sumatra. Entre le Gondwana et l'Eurasie vint alors le dernier avatar de ThĂ©tys, la NĂ©othĂ©tys. Mais cette mer Ă©tait elle aussi en train de disparaitre car comme toujours des terres se dĂ©tachaient du Gondwana pour heurter l'Eurasie, aprĂšs le terrane des Huns et celui de la CimmĂ©rie voici que cet titanides voyait ces derniers instants arriver, des instant qui durĂšrent quelques millions d'annĂ©es, nous sommes Ă l'Ă©chelles des temps gĂ©ologiques tout de mĂȘme ! Son agonie comença qaund l'Inde heurta l'Asie, puis ce fut au tour de l'Arabie de bloquer son lieu avec l'OcĂ©an Indien. Ne restait que lien avec l'OcĂ©an Atlantique, mais mĂȘme lui est prĂ©caire, il y a a 5,96 millions d'annĂ©es le passage au sud de Gibraltar se bloqua, puis ce fut celui au nord entrainant un assĂšchement de la MĂ©diterranĂ©e, la crise salinitĂ© messinienne. Fort heureusement la dĂ©livrance arriva quand s'ouvrit le dĂ©troit de Gibraltar au ZanclĂ©en il y a 5,33 millions d'annĂ©es, apportant un rĂ©pit de quelques millions d'annĂ©es. Mais d'ici 5 millions d'annĂ©es la progression de l'Afrique vers le nord aurait de toute maniĂšre mis fin Ă l'agonie de ThĂ©tys. Mais ça c'Ă©tait avant le ThalassocĂšne, dĂ©sormais TĂ©thys a gagnĂ© beaucoup, beaucoup de ThalassocĂšne l'Europe ressemble a ce quâelle Ă©tait au Jurassique, une sĂ©rie d'Ăźles tropicales toutes plus mythiques les unes que les autres, commençons donc notre odyssĂ©e dans cet dâĂgĂ©e, terre d'origine des mythesLâarchipel dâĂgĂ©e est la terre d'origine des mythes grecs et tel Ulysse nous commencerons notre OdyssĂ©e ici en partant d'Ithaque. Ces Ăźles abritent une faune originaire du contient europĂ©ens, elle ne manque manque pas dâĂ©lĂ©phants, des Ă©lĂ©phants descendant du genre Paleoloxodon. Ces Ă©lĂ©phant qui Ă©taient grand sur le continent ont rapetissĂ© et continueront de le faire tel ce mammouth qui habitait la CrĂȘte mais qui a disparu avant le ThalassocĂšne pour y ĂȘtre remplacĂ© par une espĂšce de Paleoloxodon en voie de rapetissement. Mais il n'y a pas que des Ă©lĂ©phants, la CrĂšte compte aussi des cervidĂ© du genre Candiacarvus, des cousins du gĂ©ant mĂ©galocĂ©ros, qui sur cette Ăźle ont rapetissĂ© et se sont diversifiĂ© en huit espĂšces allant d'une taille d'1,6 mĂštre Ă seulement 40 cm pour la plus petite, Candiacervus ropalophorus, adaptĂ© a un environnement plus montagneux, paraissant tel des bouquetins. A leur cĂŽtĂ© des loutres aux mĆurs un peu plus terrestres que la normale, des hippopotames nains, la chouette d'AthĂ©na Athene cretensis, incapable de voler. Comme nous sommes sur des Ăźles mythologiques il y a bien sur des minotaures, oh pas des humanoĂŻdes Ă tĂȘte de taureau mais une souris du nom de Mus minotaurus ainsi que d'autres rongeurs un peu plus gros du genre Kritimys et le rat Ă©pineux de CrĂšte Acomys minous. Dans cet archipel l'Ăźle d'EubĂ©e mĂ©rite une mention spĂ©ciale car avant la disparition des contient elle Ă©tait trĂšs proche du continent, sĂ©parĂ©e de seulement 38 mĂštres par le dĂ©troit d'Euripe. Elle contient donc une grande partie de la faune continentale avec ces Ă©lĂ©phants qui devront vite rapetissĂ©, mais aussi ce qui ressemble le plus Ă un minotaure, les aurochs. De gros prĂ©dateurs sont Ă©galement prĂ©sents, loup, ours, lion, etc. A l'avenir la diversitĂ© devrait baisser ces petites Ăźles n'offrant pas forcĂ©ment un environnement qui peut permettre Ă beaucoup d'espĂšces de survivre sans apports continentaux rĂ©guliers, pensons aux mammouths crĂ©tois dĂ©jĂ l'Ăźle d'AphroditeLa naissance de VĂ©nus par Sandro BotticelliSelon la lĂ©gende, la dĂ©esse Aphrodite serait nĂ© sur le PĂ©tra tou RomioĂș ou Rocher dâAphrodite jaillissant d'un coquillage. Ce rocher n'est pas trĂšs Ă©levĂ© et est situĂ© juste en bord de la mer. Avec une augmentation du niveau des mer de 15 mĂštre il se retrouve sous les eaux, un endroit idĂ©al pour un trĂšs gros coquillage idĂ©al pour engendrer VĂ©nus, le bĂ©nitier. Ces coquillages gĂ©ant Ă©taient jusqu'Ă lors confinĂ© dans la rĂ©gion indopacifique mais avec la disparition des l'isthme de Suez ceux de la mer rouge, ainsi que d'autre espĂšce de cette zone se sont rĂ©pandu vers le il y a aussi une vie terrestre sur Chypre. Encore des PalĂ©oloxodons nains, des hippopotames nains et des cervidĂ©s. Il y a aussi des espĂšces plus petites oiseaux, serpents, lĂ©zard, musaraigne, rongeur dont l'un la Souris Ă©pineuse de Chypre Acomys nesiotes fait partie du genre des souris Ă©pineuses avec piquant sur le dos comme son cousin de l'Ăźle des LothophagesPoursuivant notre odyssĂ©e comme Ulysse nous abordons Djerba, l'Ăźle des Lothophages. Le Lotos est une plante assez inoffensive en fait, le Jujubier sauvage. Cette plante nourri les Lothophages qui ici sont des macaques de Barbarie. ces singes ne sont pas seul sur cette petite Ăźle, il y a Ă©galement des chats, des servals, des Renard famĂ©lique, des lĂšvres du cap, des Gazelle de Cuvier, des Zorille de Libye, des Genettes, des mangoustes, des HĂ©rissons d'AlgĂ©rie, des musaraignes et des rongeurs, dont des gerbilles. Des reptiles sont prĂ©sents, serpent, lĂ©zard, tortue mauresque, CamĂ©lĂ©on commun prĂ©sent aussi Ă Chypre, CrĂšte, Malte et Sicile. On compte aussi des amphibiens et des l'Ăźle de LĂ©daSelon la lĂ©gende Zeus pris la forme d'un cygne pour sĂ©duire LĂ©da. A Malte Zeus est reprĂ©sentĂ© par le cygne gĂ©ant de Malte. Haut d'1,50 mĂštre il toise les autres habitants de l'archipel tel les Ă©lĂ©phants nains toujours du genre Paleoloxodon et les hippopotames. Cette espĂšce de cygne aptĂšre habite aussi en Sicile. Une espĂšce de loir gĂ©ant est aussi la terre des cyclopes intelligentsEn poursuivant son odyssĂ©e Ulysse arrivera vers la Sicile mais cette fois ci le dangereux dĂ©troit de Messine avec Charybde et Scylla aura disparu, il pourra donc aborder l'Ăźle en toute tranquillitĂ©. Une tranquillitĂ© assurĂ© par le fait que les crĂ©atures ayant donnĂ© naissance aux cyclope sont de paisibles Ă©lĂ©phants nains, le trou dans leur crane face Ă leur trompe ayant Ă©tĂ© pris pour une orbite par les grecs colonisant l'Ăźle. Ces Ă©lĂ©phants sont relativement intelligents car malgrĂ© la diminution de taille par rapport Ă leur congĂ©nĂšre continentaux ils ont gardĂ© une taille de cerveaux quasi Ă part les Ă©lĂ©phants d'autre animaux sont prĂ©sent sur l'Ăźle, on a dĂ©jĂ mentionner les cygne gĂ©ant de Malte. Il y avait aussi sa propre espĂšce d'hippopotame nain, une espĂšce de loutre, une espĂšce de daims, une espĂšce de grue capable de voler, une espĂšce de zorille, plusieurs espĂšce de rongeur dont une de gundi originaire d'Afrique. On compte aussi des chats et des loups, renard, belette, sanglier, martre, chevreuil, porc-Ă©pic. L'isolement insulaire Ă©tant compensĂ© par une connexion au contient lors des Ăšres glaciaires, tout comme de CircĂ©Ulysse poursuit son odyssĂ©e et arrive maintenant dans l'Ăźle de CircĂ©, une Ăźle trĂšs dangereuse mais pas parce qu'il risque d'ĂȘtre changĂ© en porc, Ă la place il risque de se retrouver Ă l'Ă©tat de statue de plĂątre comme les habitants de PompĂ©i. Ceci car l'endroit d'oĂč est originaire CircĂ© est la Campanie, rĂ©gion connue pour son volcanisme intense Tout les monde connait l'Ă©ruption du VĂ©suve en 79 qui engloutit PompĂ©i et Herculanum, en revanche beaucoup ignore que que la zone est pleine de Volcans, en fait toute la bais de Naples est un gigantesque supervolcan avec le VĂ©suve Ă l'est et les Champs PhlĂ©grĂ©ens Ă l'ouest. Il y a eu mĂȘme une super Ă©ruption volcanique vers 37 000 av JC qui envoya des cendres dans toutes l'Europe orientale et dont on pense qu'elle accĂ©lĂ©ra le dĂ©clin des nĂ©anderthaliens en tuant la faible vĂ©gĂ©tation glaciaire de l'Ă©poque entrainant par lĂ la disparition des herbivores et des prĂ©dateurs dont les nĂ©anderthaliens .Ăruption volcanique de 37 000 de la couche de cendre en cmAu ThalassocĂšne rappelons que les continents ont Ă©tĂ© rasĂ© jusqu'Ă - 100 mĂštres et pleins d'Ă©ruption ont alors eu lieu et celle-ci aurait pu ĂȘtre une catastrophe, anĂ©antissant la vie sur d'autres Ăźle suivant la direction du vent elle aurait pu anĂ©antir la vie en Sicile, en Sardaigne, en Corse et jusqu'aux lointaine Ăźle Ă©gĂ©ennes. mais heureusement les vents soufflaient vers le nord est et les Ăźles Dalmates. De plus la chambre magmatique n'Ă©taient pas trĂšs remplies, ils faut des dizaines de milliers d'annĂ©es pour engendrer une superĂ©ruption, et elle s'Ă©tait vidĂ© il y a quelques milliers d'annĂ©es. Donc l'Ă©ruption bien quâimportante n'a pas entrainĂ© de destruction sur les autres Ăźles. Mieux elle en a créée une nouvelle qui s'est connectĂ© aux autres Ăźles de la baie de Naples. nous avons donc une Ăźle s'Ă©tendant de l'Ăźle d'Ischia Ă l'ouest jusqu'Ă l'Ăźle de Capri Ă l'est en passant par l'emplacement du VĂ©suve au nord. Beaucoup de formes de vie sur ces Ăźles n'ont quand mĂȘme pas rĂ©sistĂ© Ă l'Ă©ruption, fort heureusement sur Ischia des sangliers ont pu survivre et ainsi repeupler l'Ăźle de Ăźles DalmatesSituĂ©es au large de la Croatie les Ăźles Dalmates ont un assortiment de faune issus du contient tout proche, malheureusement l'Ă©ruption de l'Ăźle de CircĂ© a envoyĂ© pleins de cendre faisant disparaitre de nombreuse formes de corso sarde, les Ăźles de CalypsoUlysse aborde maintenant les Ăźles de Calypso ou l'archipel corso sarde, terre des polyphonies corses comme la chanson de ce message. Durant l'Ăšre glaciaire elles ne formaient quâune seule et mĂȘme Ăźle et partagent donc une faune similaire. Il y a longtemps il y avait des chĂšvre du genre nĂ©sogoral et des macaques mais ceux-ci ont dipsarus il y a longtemps, remplacĂ© par d'autres animaux venu du continents. Il y a d'abord une espĂšce de mammouth nains descendante du mammouth des steppes et puis un mĂ©galocĂ©ros nains, le cerf de Caziot, une espĂšce de de canidĂ© nains, le dhole nain. trois espĂšces de micromammifĂšres, une souris, un campagnol et un lagomorphe le Prolagus sardus, une espĂšce de pika, une sorte de lapin aux oreilles courtes. Il y a aussi une espĂšce de mustĂ©lidĂ© terrestres et aussi quatre espĂšce de loutres, une adaptĂ© Ă la vie en eau douce et les autres Ă la vie en eau salĂ©. Elles Ă©taient toutes piscivores sauf une. L'une Megalenhydris barbaricina est la plus adaptĂ© Ă la vie marine qu'on connaisse avec des vertĂšbres caudales aplaties, elle se nourrissait de crustacĂ©s et de coquillages et mesurait plus de 2 mĂštres. Tout ces animaux ont disparu, au nĂ©olitihque Ă l'arrivĂ©e des humains pour les plus grandes, dans l'antiquitĂ© avec la pertes d'habitat et l'introduction de prĂ©dateurs et de concurrents, les dernier survivant furent des pika en Sardaigne au XVIIIĂšme siĂšcle. Mais au ThalassocĂšne ces animaux sont Ă l'abri des les Ăźles d'HĂ©liosCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des son odyssĂ©e vers l'ouest Ulysse aborde les Ăźles d'HĂ©lios et ses troupeaux et qu'ils ne s'avise pas de la manger sinon la vengeance du dieu sera terrible ! Les BalĂ©ares avaient une faune unique, sur Minorque ont trouvant le plus gros lapin de tout les temps, le Nuralagus rex qui arriva durant le Messinien. Sur cette Ăźle en lâabsence de prĂ©dateurs il avait grossit jusqu'Ă peser 20 Kg pour ensuite disparaitre lors des glaciations quand l'Ăźle fut reliĂ© aux autres de l'archipel succombant Ă la concurrence des chĂšvres des BalĂ©ares Myotragus balearicus. Ces chĂšvres qui constituent le cheptel d'HĂ©lios sont du genre Myotragus sont proche des chĂšvre du genre nesogoral qui habitaient la Corse et la Sardaigne. Elle furent l'objet d'une tentative de domestication au NĂ©olithique mais celle-ci Ă©choua, sans doute car les humains arrivant dans ces Ăźles avaient dĂ©jĂ des chĂšvres et en plus car elles ont une adaptation bien particuliĂšre, elles Ă©taient ectotherme, ne produisant par leur propre chaleur tel les reptiles. sans doute une adaptation au manque de nourritures sur ces Ăźles, de plus pourquoi ĂȘtre rapide s'il n'y a pas de prĂ©dateurs Ă fuir. Ici avec le rĂ©chauffement du climat, la pluviomĂ©trie accrues la nourriture est plus abondante pour ces chĂšvres et la tempĂ©ratures plus Ă©levĂ©e leur permet d'ĂȘtre plus chĂšvres doivent partager ces Ăźles avec d'autres crĂ©atures, tel des loirs gĂ©ants, une espĂšce de chouette qui se nourrit de ces loirs, une tortue d'un mĂštre de long, des lĂ©zards, un crapaud et des rexL'archipel de BorvoAprĂšs avoir fait le tour des Ăźles mĂ©diterranĂ©ennes laissons Ulysse rentrer chez lui Ă Ithaque et continuons notre voyage vers le nord avec un autre grand voyageur grec PythĂ©as. partant de Massilia, maintenant sous les eux il se dirige vers le nord lĂ oĂč le volcanisme a refait son apparition et aborde lâarchipel de Borvo, dieu celte des eaux bouillonnantes. Cet archipel a Ă©tĂ© formĂ© par le rĂ©veils des volcans d'Auvergne. Il se peuple peu Ă peu de de formes de vie venues dâailleurs vĂ©gĂ©taux, oiseaux, insectes, loutres. Ces loutres sont venues de Corse et ont pu faire escale sur l'archipel des Ăles d'HyĂšres au large de ce qui fut la Britanniques, l'archipel des lĂ©gendes arthuriennesPythĂ©as aborde maintenant les Ăźles Britanniques, terre des lĂ©gendes arthuriennes. pas de roi Arthur dans ce monde mais ces Ăźles sont bien les gardiens de la tradition, non pas de la mythologie celtiques mais de la faune europĂ©enne. La Grande Bretagne a perdu un peu de territoire avec lâĂ©lĂ©vation du niveau de la mer sur la cĂŽte centre est mais elle est relativement intacte, tout comme sa faune, le nanisme insulaire ne s'y applique donc pas. On y trouve tout ce que l'Europe peut abriter en pĂ©riode interglaciaire ou presque, des Ă©lĂ©phants du genre PalĂ©oloxodon, des lions des cavernes, des hippopotames, des bisons, des aurochs, des rhinocĂ©ros de Merck et des steppes, des ours bruns et des cavernes, des loups, sangliers, lynx, chats, hyĂšnes. Des Homotheriums, une espĂšce de fĂ©lins Ă dents de sabres. Des cervidĂ©s tels les mĂ©galocĂ©ros, les chevreuils, les Ă©lans et les cerfs Ă©laphes. Malheureusement pour eux les quelques rennes qui sâaccrochaient encore dans les montagnes Ă©cossaises qui OTL survĂ©curent jusque vers l'an 1000 ne survĂ©curent pas au rĂ©chauffement climatique. On y trouve aussi des chevaux et des Ăąnes eurasiens. La faune de l'Irlande est un peu moins diversifiĂ©e et ses reprĂ©sentant un peu plus petit, territoire rĂ©duit oblige mais elle communique quand mĂȘme avec la faune de Grande inattendu le macaque de Barbarie est Ă©galement prĂ©sent sur ces Ăźles, on a en effet retrouver des dents de cet animal en Mer du Nord datĂ© de l'interglaciaire ĂĂ©mien. [1]Lâarchipel de ThulĂ©PythĂ©as finit son voyage en abordant lâarchipel de ThulĂ©. Ces terres sont ce qui reste de la Scandinavie et des Ăźles baltiques. Ces territoires sont plus petit que les Ăźles Britanniques la faune y sera donc moins variĂ©e pas dâhippopotames ni d'Homotherium ou d'ours des cavernes, de mĂ©galocĂ©ros, de lions, d'Ă©lĂ©phants ou de rhinocĂ©ros. par contre d'autres espĂšces seront prĂ©sentes, tels les gloutons ou des rennes dans les Ăźles du nord de la retour des sirĂšnesDurant son retour Ă Ithaque Ulysse pourra d e nouveau Ă©tendre le chant des sirĂšnes, pour la premiĂšre fois depuis deux millions et demi d'annĂ©es. La MĂ©diterranĂ©e a Ă©tĂ© l'habitat de sirĂ©niens durant des millions d'annĂ©es. Le dernier genre a avoir habiter la zone Ă©tait le genre Metaxytherium avec l'espĂšce Metaxytherium subapenninum. Ce sirĂ©niens avaient tout endurĂ©, survivant mĂȘme Ă la crise de salinitĂ© messinienes en se nourrissant de posidonies, l'herbe de Neptune. Ces herbes marines ne sont pas des algues, ce sont des angiospermes, des plantes Ă fleurs adaptĂ©es Ă la vie marine. Celle de MĂ©diterranĂ©e ont une tolĂ©rance au sel renforcĂ©, preuve de leur survie durant le Messinien. malheureusement l'arrivĂ© de l'Ăšre glaciaire sonna le glas des sirĂ©niens en MĂ©diterranĂ©e. Les herbiers de posidonies prolifĂ©rĂšrent donc sans brouteur jusqu'au ThalassocĂšne. Mais alors l'isthme de Suez disparu et vint alors de Mer rouge un autre sirĂ©nien, le Dugong qui se mis Ă se rĂ©galer de ces herbes marines. Ont retrouve mĂȘme maintenant ces dugongs jusqu'au sud des Ăźles Britannique que les posidonies ont atteintes. D'autre animaux ont aussi suivit, la faune de la mer Rouge colonise la MĂ©diterranĂ©e, tel l'exemple du bĂ©nitier arrivĂ© Ă Chypre. Les coraux connaissent un formidable expansion, jusque dans l'archipel de Borvo. Un autre sirĂ©nien est aussi prĂ©sent, le lamantin d'Afrique, il Ă©vite de rentrer en compĂ©tition avec son cousin le dugong en prĂ©fĂšrent leur laissant les herbiers de posidonies et se nourrissant plus volontiers des feuilles de palĂ©tuviers dans les mangroves ainsi que d'une alimentation non vĂ©gĂ©tale. Ils se partagent ainsi les niches Ă©cologiques et qu'ils en profitent car pour l'instant pas un seul galapagosaure en vue dans les espĂšces de MĂ©diterranĂ©e se dĂ©placent vers le nord en plus des posidonies. Par exemple les phoques moins sont maintenant prĂ©sent dans les Ăźles Britanniques d'oĂč ils dĂ©placent les phoques gris vers le mĂ©diterranĂ©enne au ThalassocĂšne, le retour de la LaurisylveAu MiocĂšne le climat de la MĂ©diterranĂ©e Ă©tait plus humide, permettant Ă une vĂ©gĂ©tation de Laurisylve de s'Ă©panouir. Avec le retour d'un climat plus chaud et humide la vĂ©gĂ©tation de MĂ©diterranĂ©e ressemble de plus en plus Ă ce quâelle Ă©tait autrefois avec deux espĂšce en profitant, les deux seul espĂšces de palmiers europĂ©ens, le palmier nain Chamaerops humilis et le palmier de CrĂšte Phoenix theophrasti, le palmier nain Ă©voluant rapidement vers une taille plus importante, jusqu'Ă 8 mĂštres de haut. Des palĂ©tuviers sont aussi arrivĂ© de mer Rouge et ont commencer a former des gauche laurisylve, Ă droite palmier de CrĂšteNotes[1] Sur la prĂ©sence de Macques de barbarie en mer du nord durant l'interglaciaire ĂĂ©mien en anglaisFirst finds of Pleistocene Macaca sylvanus Cercopithecidae, Primates from the North SeaPrĂ©sentation des faunesFaune des BalĂ©aresJe ne reposte pas l'image de la faune des BalĂ©ares c'est la mĂȘme que celle plus haut, je met juste le lien vers la SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de Corse et de SardaigneCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de Sicile et de MalteCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des de CrĂšteCrĂ©dit SanciusartCliquez sur le lien pour avoir la description des espĂšces.
le7 fĂ©vrier 2006. DerniĂšre modification. le 11 aoĂ»t 2021. Le Bouclier canadien dĂ©signe la partie exposĂ©e de la croĂ»te continentale sous-jacente Ă la majeure partie de lâAmĂ©rique du Nord. Cette croĂ»te, le « craton nord-amĂ©ricain », sâĂ©tend du nord du Mexique au Groenland et est composĂ©e de roches dures vieilles dâau moins un
Ătre connu comme le loup blanc signifie, dans le langage populaire, ĂȘtre connu de tous. Le loup blanc semble pourtant ne pas se montrer Ă nâimporte qui, surtout aujourdâhui ! Le loup blanc, dans la famille des canidĂ©s aux crocs acĂ©rĂ©s, câest le loup arctique, aussi appelĂ© loup de SibĂ©rie en Orient. Ce loup au pelage immaculĂ© fait dĂ©sormais partie des espĂšces protĂ©gĂ©es, et il est Ă prĂ©sent de plus en plus rare dâen croiser. Mais pourquoi la fameuse expression le mettant en scĂšne fait alors rĂ©fĂ©rence Ă son caractĂšre si rĂ©putĂ© ? Lâexpression semblerait avoir Ă©tĂ© utilisĂ©e trĂšs tĂŽt, et ce dĂšs le 13e siĂšcle. Ă lâĂ©poque, le loup Ă©tait un animal trĂšs craint par la population, parfois mĂȘme considĂ©rĂ© comme la rĂ©incarnation du dĂ©mon. Lorsquâun loup sâapprochait dâun village, tous ses habitants Ă©taient informĂ©s de sa prĂ©sence. PlutĂŽt gris ou noirs, les loups blancs Ă©taient plus rares, mais pas moins cĂ©lĂšbres puisquâils frappaient lâimaginaire populaire en faisant beaucoup parler dâeux, tant par leur raretĂ© que par la peur quâils suscitaient. Dâailleurs, on aurait dâabord employĂ© lâexpression regarder quelque chose comme le loup blanc pour dĂ©signer le fait de contempler quelque chose comme si elle Ă©tait extraordinaire⊠Source
TĂ©lĂ©charger des photos de Blanc loup arctique de la banque d'images libres de droits Grand choix des photographies de haute qualitĂ© Prix abordablesTĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Les loups sont de dangereux et puissants prĂ©dateurs. GĂ©nĂ©ralement, ils ne sont pas agressifs envers les gens, mais il n'y a rien de mal Ă vous prĂ©parer au pire si vous vous retrouvez sur leur territoire. En cas d'attaque, ne fuyez pas. Maintenez un contact visuel, essayez de paraitre plus grand et faites des bruits forts et intimidants. Allez dans un endroit sĂ»r aussitĂŽt que vous le pourrez. 1Ăvitez les endroits oĂč les loups ont Ă©tĂ© aperçus. Ăvitez d'ĂȘtre vu. Si vous voyez le loup avant qu'il ne vous voie, rebroussez chemin sans faire de bruit. Restez vigilant. N'oubliez pas oĂč il y a un loup, il y a certainement d'autres loups Ă proximitĂ©. Les loups se dĂ©placent parfois seuls, mais ils chassent presque toujours en meute. 2Reculez lentement. Si le loup vous voit, reculez lentement. Maintenez toujours un contact visuel et ne lui tournez pas le dos. Si vous essayez de fuir, gardez les loups en face de vous. S'ils se retrouvent derriĂšre vous, leur instinct de prĂ©dateur pourrait refaire surface. Reculez lentement sans quitter la meute des yeux. 3Ne fuyez pas. Les loups sont plus rapides que vous et plus particuliĂšrement dans les bois. En outre, courir fera ressurgir leur instinct de chasseur. Si les loups ne vous ont pas poursuivi auparavant, il y a de fortes chances qu'ils le font si vous courez. PublicitĂ© 1 Agissez agressivement et bruyamment. Avancez vers le loup, faites du bruit, criez et tapez des mains. Reculez lentement. Continuez Ă agir de maniĂšre agressive sans cesser de faire du bruit. Maintenez un contact visuel avec le loup et ne lui tournez pas le dos [1] . N'essayez de combattre les loups que si vous n'avez vraiment pas le choix. Les loups sont forts et malins, avec une mĂąchoire puissante et un instinct de tueur. Il y a des chances que vous arriviez Ă vous occuper d'un loup seul, mais vous ne voulez certainement pas vous retrouver face Ă une meute [2] . Respirez profondĂ©ment et essayez de rester calme. Les loups peuvent sentir la peur. Si vous paniquez, vous risquez de rester figĂ© ou de courir et vous perdrez vos moyens. 2 DĂ©fendez-vous. Si les loups attaquent, repoussez-les avec des bouts de bois, des pierres, un rĂ©pulsif Ă ours, un avertisseur pneumatique ou n'importe quelle arme Ă votre disposition [3] . Cherchez un endroit facilement dĂ©fendable tenez-vous debout contre un arbre ou un gros rocher. Les loups ne doivent pas se retrouver derriĂšre vous. N'essayez pas de vous rendre invisible ou de vous mettre en position fĆtale. Ăa n'empĂȘchera pas les loups de vous massacrer. La plupart du temps, un loup en position d'attaque ne s'arrĂȘtera que si vous l'intimidez et si vous vous prĂ©sentez comme une menace plus grande qu'il ne le pense. 3 Restez vigilante. Si vous essayez de vous enfuir, faites-le calmement et rapidement. Grimpez un arbre, un rocher ou un autre endroit surĂ©levĂ©. Si possible, entrez dans une voiture ou une maison Ă proximitĂ© [4] . Ne baissez pas tout de suite votre garde. Le loup rĂŽde peut-ĂȘtre encore Ă cĂŽtĂ© de vous ou de votre campement Ă la recherche d'une seconde chance. Si le loup est trĂšs affamĂ©, il rĂ©essayera de vous attaquer. 4 Restez en groupe. Si vous ĂȘtes un groupe attaquĂ© par les loups, gardez tous les enfants et toutes les personnes blessĂ©es au milieu. Lorsque les loups attaquent un groupe de proies, ils s'en prennent au maillon le plus faible le jeune, le vieux ou le malade. Pour aucune raison vous ne devez vous Ă©parpiller. Assurez-vous que chacun regarde dans une direction pour que les loups ne vous prennent pas par surprise. Les loups essaient de trouver le maillon le plus faible dans un groupe de proies. Ils vous voient tous comme des proies. Les enfants ont plus de chances de se faire attaquer, car ils sont les plus petits et les plus faibles. Quand les loups attaquent des humains, il s'agit d'enfants dans la grande majoritĂ© des cas [5] . C'est comme ça que les loups arctiques chassent le bĆuf musquĂ©. Ils observent de loin le troupeau, attendant que le flanc s'ouvre quand un des adultes sera distrait. Ils se mĂȘlent alors au troupeau pour attraper le bĆuf le plus faible. 5Gardez un Ćil sur votre chien. Si vous faites de la randonnĂ©e avec votre chien dans un territoire de loup, ne le quittez pas des yeux. Ramassez ses dĂ©jections, empĂȘchez-le de faire du bruit et ne le laissez pas uriner n'importe oĂč. Toutes ces choses attireront les loups et ils vous verront, vous et votre chien, comme des intrus. Les loups et les chiens domestiques utilisent l'urine et les dĂ©jections en plus des traces de griffes et des odeurs qui trainent pour marquer leur territoire. Les loups peuvent attaquer un chien s'ils pensent que celui-ci empiĂšte sur leur territoire. PublicitĂ© 1 Allumez un feu. Si les loups rĂŽdent autour de votre camp, allumez un feu pour les tenir Ă distance. Utilisez des feuilles vertes et du bois humide pour produire un maximum de fumĂ©e. Quand vous aurez des braises fumantes, dĂ©placez-les prĂšs d'un arbre ou entre plusieurs arbres. Appliquez de la sĂšve ou de la rĂ©sine sur les branches et allumez-les. Laissez le vent porter la fumĂ©e en direction des loups. Les loups dĂ©testent le feu et la fumĂ©e parce qu'ils semblent dangereux pour eux. S'ils sont avec leurs petits ce qui est trĂšs probable au printemps, pĂ©riode Ă laquelle naissent les louveteaux, le feu les incitera Ă aller ailleurs si la mĂšre pense que la sĂ©curitĂ© de ses petits est menacĂ©e. 2CrĂ©ez un abri. Utilisez des branches, des pierres, des bĂątons aiguisĂ©s et d'autres objets solides pour crĂ©er une barriĂšre autour du site. S'il est bien construit, votre abri peut empĂȘcher les loups de vous approcher, mais n'oubliez pas qu'ils pourront toujours vous sentir et vous entendre. 3 Faites beaucoup de bruit. Les loups hurlent pour revendiquer leur territoire et ils peuvent interprĂ©ter le bruit que vous faites comme une revendication de votre territoire. Si vous ĂȘtes en groupe, chantez et criez. Soyez le plus bruyante et le plus fĂ©roce possible. N'essayez pas d'imiter le hurlement du loup. Vous risquez simplement de les attirer. Les loups solitaires hurlent pour localiser les autres membres de leur meute et les loups sont connus pour accourir quand les humains imitent leur cri [6] . PublicitĂ© Conseils Les loups solitaires essaieront rarement de vous attaquer frontalement. Essayez de paraitre plus grand et plus intimidant en tendant vos bras, en battant votre veste et en tenant des choses dans vos mains. Les loups ont naturellement peur des humains. Si des loups essaient de vous attaquer, ne courez pas ! Ces animaux ont Ă©voluĂ© pour courir aprĂšs une proie qui s'enfuit et fuir ne ferait qu'activer leur instinct naturel de chasseur. Si possible, faites des recherches avant de vous rendre dans un endroit peuplĂ© de loups. Plus vous en saurez sur leur comportement, meilleures seront vos chances de survie. Les loups sont trĂšs protecteurs envers leurs petits et ils n'aiment pas que des Ă©trangers les touchent ou ils pourraient les abandonner. Si vous rencontrez des louveteaux, Ă©vitez-les ! Ne traitez pas le loup comme s'il s'agissait d'un chien domestique. La mĂąchoire des loups peut exercer une pression de 0,75 kg/cmÂČ, ce qui est beaucoup plus douloureux que la morsure d'un chien de taille moyenne ! Si vous voyez un loup dans votre quartier en hiver ou au printemps, il s'agit certainement d'un jeune loup qui a rĂ©cemment quittĂ© sa meute et qui ne connait pas encore les humains. Il peut ressentir de la curiositĂ© envers vous, ce qui est normal. Il est conseillĂ© de l'effrayer pour qu'il ne vienne plus trainer dans les parages. Gardez un Ćil sur le loup, mais sachez que vous ne devez jamais le regarder droit dans les yeux ! Cela risque uniquement de le rendre plus agressif. Veillez Ă voyager en groupe. Vous aurez plus de chances de repousser un loup. Les loups, comme la plupart des prĂ©dateurs, privilĂ©gient leur santĂ© sur un potentiel repas. Si vous pouvez leur faire comprendre que vous ĂȘtes plus un adversaire dangereux qu'une proie facile Ă dĂ©vorer, ils se tiendront gĂ©nĂ©ralement Ă distance. Si pendant une promenade, vous tombez sur un loup, reculez lentement et sans faire de bruit. N'approchez jamais le loup, car il pourrait vous attaquer ou vous mordre. N'oubliez pas que c'est un animal sauvage et que les animaux sauvages sont imprĂ©visibles ! PublicitĂ© Avertissements Si vous ĂȘtes mordu par un loup, appelez les urgences ou allez tout de suite Ă l'hĂŽpital. Cela ne risque d'arriver que si vous les provoquez, mais c'est sans aucun doute possible. Vous aurez besoin d'un vaccin antirabique ou d'un rappel de vaccin antirabique, juste au cas oĂč... N'essayez pas de fuir un loup ou une meute. Mettez-vous en groupe et gardez les enfants au milieu. Jetez des pierres, faites beaucoup de bruit et essayez de paraitre intimidant. 1 fois sur 5, le loup rentre bredouille de la chasse, gĂ©nĂ©ralement quand la proie lui tient tĂȘte. Il a Ă©tĂ© dit un jour que la force de la meute est dans le loup et la force du loup est dans la meute ». Si les loups sont en meute, vous serez probablement moins nombreux et il vous sera plus difficile de les faire fuir. C'est d'autant plus vrai si la meute compte beaucoup d'individus. GĂ©nĂ©ralement, les meutes de loups ne comptent pas plus de 6 individus, mais elles peuvent occasionnellement rassembler jusqu'Ă 30 loups dans certains endroits spĂ©cifiques, comme dans le parc de Yellowstone aux Ătats-Unis. Ne laissez pas les enfants sans surveillance quand vous faites de la randonnĂ©e, du camping ou quand vous traversez un territoire de loups. Les enfants sont vulnĂ©rables en raison de leur taille et de leur fragilitĂ©. Il est Ă©galement possible qu'ils ne reconnaissent pas les signes de danger. Ne donnez pas Ă manger aux loups. Cela les habituera aux humains et les rendra plus audacieux et moins effrayĂ©s par leur prĂ©sence. Les loups nourris Ă la main ont plus de chances d'attaquer les humains Ă l'avenir, car ils n'ont plus peur [7] . PublicitĂ© Ă propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 44 417 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? OSLO: Un renne poursuivi Ă la nage et mis Ă mort par un ours polaire dans une scĂšne de chasse filmĂ©e pour la premiĂšre fois. A mesure que la banquise fond sous ses pattes, le roi de l'Arctique est, peut-ĂȘtre, en train de modifier ses habitudes alimentaires. Tout se joue sur l'archipel norvĂ©gien du Svalbard le 21 aoĂ»t 2020, lorsque les glaces marines se sont retirĂ©es et, Les jardins dâĂ©ponges dĂ©couverts au niveau de la crĂȘte de Langseth, sous la couverture de glace de lâArctique, abritent des spĂ©cimens de taille allant jusquâĂ 17 cm et tĂ©moignent dâune riche diversitĂ© sous-marine.© Alfred-Wegener-Institut / PS101 AWI OFOS system Sous la banquise Arctique, des jardins dâĂ©ponges se sont formĂ©s sur des volcans sous-marins aujourdâhui Ă©teints. Elles se nourrissent pour partie de la matiĂšre rĂ©siduelle dâun ancien Ă©cosystĂšme. Lire la suite â La glace fond sur la toundra et le dĂ©gel du pergĂ©lisol Ă Newtok, en Alaska. CrĂ©dit image Photo de Bonnie Jo Mount/The Washington Post via Getty Images Le dĂ©gel du pergĂ©lisol entraĂźnĂ© par le changement climatique pourrait libĂ©rer les microbes piĂ©gĂ©s et les matiĂšres radioactives. Alors que le changement climatique rĂ©chauffe lâArctique, la fonte des glaces pourrait libĂ©rer des produits chimiques dangereux et des matiĂšres radioactives datant de la guerre froide. La disparition du pergĂ©lisol pourrait Ă©galement libĂ©rer des virus et des bactĂ©ries qui ont dormi sous la glace arctique pendant des dizaines de milliers dâannĂ©es, selon une nouvelle Ă©tude. En se penchant sur les archives historiques et les Ă©tudes antĂ©rieures sur la contamination, les chercheurs ont dĂ©couvert quâen plus des retombĂ©es des explosions nuclĂ©aires et des polluants tels que le mercure, lâarsenic et le DDT, les micro-organismes dits de Mathusalem â des microbes qui ont Ă©tĂ© enfermĂ©s dans le pergĂ©lisol pendant des millĂ©naires â peuvent se rĂ©veiller si le changement climatique fait fondre la glace arctique et que les microbes dĂ©gĂšlent. Cela pourrait libĂ©rer des bactĂ©ries rĂ©sistantes aux antibiotiques ou introduire des virus que les humains nâont jamais rencontrĂ©s auparavant. Le terme pergĂ©lisol» dĂ©crit un sol qui a Ă©tĂ© gelĂ© en continu pendant deux ans ou plus et peut inclure du sol seul ou de la terre mĂ©langĂ©e Ă de la glace et recouverte de neige, selon le National Snow and Ice Data Center NSIDC. Le pergĂ©lisol couvre environ 23 millions de kilomĂštres carrĂ©s de lâhĂ©misphĂšre nord, et son Ă©paisseur varie de moins de 1 mĂštre Ă plus de 1 000 m, selon le NSIDC. La majeure partie de la couverture de pergĂ©lisol arctique a persistĂ© pendant 800 000 Ă 1 million dâannĂ©es, mais le changement climatique ronge mĂȘme certaines des plus anciennes rĂ©serves de glace. Le rĂ©chauffement dans lâArctique progresse au moins deux fois plus rapidement quâailleurs dans le monde, et les 15 derniĂšres annĂ©es ont rĂ©chauffĂ© et fait fondre la rĂ©gion au point oĂč le paysage gelĂ© sâest transformĂ© en permanence, selon le 2020 Arctic Report Card publiĂ© par le Administration nationale des ocĂ©ans et de lâatmosphĂšre NOAA. Lâun des dangers connus du rĂ©chauffement de lâArctique est la libĂ©ration de vastes rĂ©serves de gaz Ă effet de serre. La fonte du pergĂ©lisol libĂšre des millions de tonnes de dioxyde de carbone et de mĂ©thane chaque annĂ©e, et cette quantitĂ© est susceptible dâaugmenter Ă mesure que la Terre continue de se rĂ©chauffer. Mais jusquâĂ prĂ©sent, les scientifiques ne connaissaient pas lâĂ©tendue des dangers posĂ©s par les polluants stockĂ©s dans le pergĂ©lisol â tout, des microbes et des virus potentiels aux dĂ©chets nuclĂ©aires, aux produits chimiques et au mercure », a dĂ©clarĂ© lâauteur principal de lâĂ©tude, Kimberley Miner, ingĂ©nieur en systĂšmes scientifiques chez Jet de la NASA. Propulsion Lab au California Institute of Technology JPL-Caltech. Presque personne nâavait jamais rĂ©uni toutes ces diffĂ©rentes choses », a dĂ©clarĂ© Miner. Quây a-t-il dans le pergĂ©lisol ? Les scientifiques ont examinĂ© des centaines dâĂ©tudes antĂ©rieures pour cataloguer les dangers microbiens, viraux et chimiques Ă©mergents dans le nouvel Arctique et recommander des prioritĂ©s de recherche pour quantifier et traiter ces risques, ont Ă©crit les auteurs. Depuis le dĂ©but des essais nuclĂ©aires dans les annĂ©es 1950, des matiĂšres radioactives ont Ă©tĂ© dĂ©versĂ©es dans lâArctique. Pendant la guerre froide, de la fin de la Seconde Guerre mondiale Ă 1991, les Ătats-Unis et lâUnion soviĂ©tique ont menĂ© des essais nuclĂ©aires et des recherches dans lâArctique qui ont laissĂ© des niveaux Ă©levĂ©s de dĂ©chets radioactifs dans le sol et le pergĂ©lisol, ont dĂ©couvert les chercheurs. Les dĂ©tonations de lâUnion soviĂ©tique dans lâarchipel de Novaya Zemlya, entre 1959 et 1991, ont libĂ©rĂ© 265 mĂ©gatonnes dâĂ©nergie nuclĂ©aire ; les Russes ont Ă©galement sabordĂ© plus de 100 sous-marins nuclĂ©aires dĂ©classĂ©s dans les mers de Barents et de Kara, libĂ©rant du plutonium radioactif et du cĂ©sium qui peuvent ĂȘtre dĂ©tectĂ©s aujourdâhui dans les sĂ©diments du fond marin et les calottes glaciaires, ainsi que dans les plantes et le sol sous les glaciers, selon lâĂ©tude. LâUS Camp Century , un centre de recherche Ă propulsion nuclĂ©aire au Groenland, a gĂ©nĂ©rĂ© des dĂ©chets radioactifs qui ont Ă©tĂ© abandonnĂ©s sous la glace lorsque le site a Ă©tĂ© dĂ©classĂ© en 1967. Cette glace recule maintenant rapidement, avec des pertes dâenviron 243 tonnes par annĂ©e, alors que lâArctique se rĂ©chauffe. Et lorsquâun bombardier amĂ©ricain B-52 sâest Ă©crasĂ© prĂšs de la base aĂ©rienne danoise de ThulĂ© au Groenland en 1968, la charge utile de son missile nuclĂ©aire sâest rompue et a libĂ©rĂ© de lâuranium et du plutonium de quatre bombes dans la calotte glaciaire. Les niveaux de rayonnement arctique pourraient rester nocifs jusquâĂ 2500, ont rapportĂ© les auteurs de lâĂ©tude. Des dĂ©cennies dâexploitation miniĂšre dans lâArctique sur des dizaines de milliers de kilomĂštres carrĂ©s ont Ă©galement laissĂ© derriĂšre elles des dĂ©chets riches en mĂ©taux lourds toxiques tels que le mercure, lâ arsenic et le nickel. Ces polluants se sont depuis enfoncĂ©s profondĂ©ment dans le sol arctique et pourraient menacer la faune et les communautĂ©s humaines en Alaska, au Canada, au Groenland, en Scandinavie et en Russie, selon lâĂ©tude. On estime que 800 000 tonnes de mercure Ă lui seul sont stockĂ©es dans le pergĂ©lisol, et les tendances actuelles au rĂ©chauffement pourraient augmenter les Ă©missions de mercure dans lâArctique jusquâĂ 200 % dâici 2300, selon les chercheurs. Le pergĂ©lisol arctique emprisonne Ă©galement des rĂ©servoirs de produits chimiques dangereux qui ont Ă©tĂ© interdits au dĂ©but des annĂ©es 2000, comme lâinsecticide DDT dichloro-diphĂ©nyl-trichloroĂ©thane et les PCB polychlorobiphĂ©nyles, un groupe de produits chimiques largement utilisĂ©s dans les liquides de refroidissement. Ces polluants organiques persistants, ou POP, ainsi que dâautres, se sont rendus dans lâArctique par voie atmosphĂ©rique et, au fil du temps, se sont concentrĂ©s dans le pergĂ©lisol. Cependant, peu dâĂ©tudes ont retracĂ© le transport et les risques des POP », suggĂ©rant que lâimpact de ces produits chimiques dans les systĂšmes arctiques est sous-estimĂ© », selon lâĂ©tude. Des menaces microbiennes pourraient Ă©galement se cacher dans le pergĂ©lisol arctique. Parce que les microbes de lâArctique ont Ă©voluĂ© pour survivre Ă des tempĂ©ratures infĂ©rieures Ă zĂ©ro avec un accĂšs minimal aux nutriments ou Ă lâeau, beaucoup sont capables de revenir Ă la vie mĂȘme aprĂšs des milliers dâannĂ©es dans un gel profond. Dans des Ă©tudes antĂ©rieures, dâautres chercheurs ont relancĂ© des populations bactĂ©riennes dans le pergĂ©lisol datant dâil y a 30 000, 120 000 et mĂȘme un million dâannĂ©es, ont rapportĂ© les scientifiques. Trouver le risque Mais lâidentification des polluants dans le pergĂ©lisol nâest quâune partie du calcul de leur risque pour lâArctique et au-delĂ ; lâautre partie de lâĂ©quation est la rapiditĂ© avec laquelle le pergĂ©lisol fond, a dĂ©clarĂ© Miner. Il y a un dĂ©gel progressif, qui est juste un dĂ©gel dâune annĂ©e Ă lâautre qui descend lentement du sommet. Et puis il y a un dĂ©gel brusque, oĂč, par exemple, vous pouvez perdre un cĂŽtĂ© entier dâune colline de pergĂ©lisol en une sĂ©rie de semaines. Câest le genre de diffĂ©rence qui devra ĂȘtre cartographiĂ©e afin de comprendre quand et comment ces choses peuvent Ă©merger », a dĂ©clarĂ© Miner. Un autre facteur important est que diffĂ©rents polluants prĂ©sentent des niveaux de risque variables en fonction de la quantitĂ© de polluants, de la durĂ©e dâexposition et de la maniĂšre dont les personnes et la faune peuvent entrer en contact avec eux, a-t-elle ajoutĂ©. Pour cette raison, une prochaine Ă©tape pour les chercheurs pourrait ĂȘtre dâattribuer un profil de risque aux polluants rĂ©cemment identifiĂ©s dans le pergĂ©lisol. Mais il est plus difficile dâĂ©valuer les risques des microbes de Mathusalem du pergĂ©lisol, car on ne sait pas quels types de bactĂ©ries et de virus pourraient Ă©merger dâun ancien sol gelĂ©. Nous avons une trĂšs petite comprĂ©hension du type dâextrĂȘmophiles â des microbes qui vivent dans de nombreuses conditions diffĂ©rentes pendant longtemps â ont le potentiel de rĂ©apparaĂźtre », a dĂ©clarĂ© Miner. Ce sont des microbes qui ont co-Ă©voluĂ© avec des choses comme des paresseux gĂ©ants ou des mammouths, et nous nâavons aucune idĂ©e de ce quâils pourraient faire une fois libĂ©rĂ©s dans nos Ă©cosystĂšmes. » Ă long terme, il serait prĂ©fĂ©rable de garder ces organismes et polluants dans leurs tombes de pergĂ©lisol plutĂŽt que dâessayer de les contenir une fois quâils se sont Ă©chappĂ©s, a dĂ©clarĂ© Miner. Il est absolument essentiel de sâassurer que nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour garder le pergĂ©lisol â et gĂ©nĂ©ralement lâArctique â gelĂ© », a-t-elle dĂ©clarĂ©. Ce serait tellement plus facile si nous nâavions pas Ă faire face Ă lâun dâentre eux, en plus des propositions de remĂ©diation Ă long terme. » Les rĂ©sultats ont Ă©tĂ© publiĂ©s le 30 septembre dans la revue Nature Climate Chang Lâautomne arctique est la saison parfaite pour voir les magnifiques couleurs de lâĂ©tĂ© indien et pour observer les aurores borĂ©ales en septembre et octobre. Un gibbus de Liparis juvĂ©nile photographiĂ© sous lumiĂšre blanche en haut et en Ă©clairage fluorescent en bas.Image J. Sparks, D. Gruber, P. Kragh Il y a tellement de choses sur notre planĂšte que les scientifiques en apprennent encore. Exemple concret des chercheurs du MusĂ©e amĂ©ricain dâhistoire naturelle ont rĂ©cemment documentĂ© pour la toute premiĂšre fois des poissons biofluorescents dans lâArctique. Lire la suite â Arctic Frost Sculpturesâ raconte lâhistoire des magnifiques formations de givre se dĂ©posant sur toutes les surfaces lorsque des tempĂ©ratures extrĂȘmement froides rencontrent une humiditĂ© de lâair Ă©levĂ©e. Des superbes fleurs de givre qui poussent sur la glace de mer aux arbres gelĂ©s scintillants dans la premiĂšre lumiĂšre du soleil aux Ćufs de glace fissurĂ©s » formĂ©s par la glace de marĂ©e pressant les rochers du rivage, ce court mĂ©trage vous emmĂšnera dans un voyage dâexploration du macroscopique au niveau microscopique pour rĂ©vĂ©ler la beautĂ© de cisaillement de ces structures! Jamais Le BorĂ©al nâaura aussi bien portĂ© son nom que le 8 septembre 2020, lorsquâil a franchi le 85Ăšme parallĂšle Nord. Ce navire de croisiĂšre de la compagnie française Ponant est le premier de sa catĂ©gorie Ă dĂ©passer cette latitude septentrionale extrĂȘme du PĂŽle nord. Lire la suite â LâĂ©tendue minimale de la glace de mer dans lâArctique pour cette annĂ©e semble avoir Ă©tĂ© atteinte le 15 septembre 2020. LâĂ©tendue minimale de la glace de mer dans lâArctique pour 2020 mesurait 3,74 millions de kilomĂštres carrĂ©s 1,44 million de milles carrĂ©s et Ă©tait la deuxiĂšme plus faible depuis le dĂ©but de la surveillance par satellite en 1979. Une riviĂšre littĂ©ralement inondĂ©e par du carburant⊠La catastrophe sâest produite en SibĂ©rie orientale, dans le nord de la Russie. Lire la suite â Carsten ten Brink / Flickr / CC BY-NC-ND Pendant des dĂ©cennies, les scientifiques ont Ă©tĂ© intriguĂ©s et captivĂ©s par de petites boules de mousse qui traversent lentement les glaciers de lâArctique. Maintenant, nous en savons plus sur la façon dont ces souris des glaciers» voyagent ensemble. Lire la suite â Centre for Biodiversity Genomics. Gergin Blagoev. Year 2009. Les loups arctiques sont de redoutables prĂ©dateurs dans le nord glacial, mais en termes de biomasse pure, lâaraignĂ©e loup moins connue Pardosa lapponica est en fait le carnivore le plus abondant . Lire la suite â Depuis le 15 janvier, un hĂŽtel insolite accueille les visiteurs sur le fleuve LuleĂ€lven, dans le nord de la SuĂšde. Lire la suite â Lâexposition âThe Arctic â While the ice is meltingâ prĂ©vue pour une durĂ©e de 3 ans au Nordiska Museet de Stockholm est consacrĂ©e Ă la vie arctique, passĂ© et prĂ©sente, et aux conditions fragiles de la rĂ©gion. Lire la suite â Le pĂŽle nord se rĂ©chauffe Ă vue dâĆil, et le dĂ©gel du pergĂ©lisol est soupçonnĂ© de relĂącher dâĂ©normes quantitĂ©s de gaz Ă effet de serre dans lâatmosphĂšre. Lire la suite â Lâarchipel de Novaya Zemlya. Jeff Schmaltz / Ă©quipe dâintervention rapide MODIS / Goddard Space Flight Center La marine russe a confirmĂ© que cinq nouvelles Ăźles, inconnues jusquâĂ prĂ©sent, ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes dans lâarchipel arctique isolĂ© de Novaya Zemlya. Lire la suite â La mission Copernicus Sentinel-1 nous fait traverser le delta de la Lena, le plus grand delta de lâArctique. Lire la suite â Chaque annĂ©e, la glace de mer fluctue au fil des saisons, se dĂ©veloppant en hiver et se contractant en Ă©tĂ©. Cette annĂ©e, la glace de mer dans lâArctique a atteint son maximum annuel le 13 mars 2019. Ce nâĂ©tait pas un niveau record, mais la tendance Ă©tait Ă la baisse des maximums et des minimums. Lire la suite â A cause du rĂ©chauffement climatique, des animaux vont devoir changer leurs habitudes alimentaires, sous peine de disparaĂźtre. Lire la suite â Partez pour un voyage dans le nord glacĂ© avec le photographe animalier Vincent Munier. Mettant en lumiĂšre des renards, des loups, des liĂšvres, des hiboux et mĂȘme un ours polaire, ces photographies capturent la beautĂ© de lâArctique Dans les confins glacĂ©s de lâArctique, des ouvriers sâĂ©chinent dans des puits de pĂ©trole et de gaz de plus en plus nombreux. Lire la suite â La glace de mer de lâArctique semble avoir atteint son Ă©tendue minimum saisonniĂšre le 13 septembre 2017. Lire la suite â Incendies, chasse des loups et des ours polaires, fonte des glaces⊠Tour dâhorizon des mauvaises nouvelles Ă©cologiques de 2017. Lire la suite â Traduction Je pense encore mes petites aventures, mes peurs Ces petits qui semblaient si grand. Pour toutes les choses essentielles que je devais obtenir et Ă atteindre. Et pourtant , il nây a quâune seule grande chose, la seule chose Ă vivre pour voir le grand jour qui se lĂšve et la lumiĂšre qui remplit le monde. poĂšme -Inuit Le photographe basĂ© Ă Londres, Timo Lieber explore lâinteraction humaine avec la nature et la complexitĂ© de son impact. Lire la suite â Des scientifiques amĂ©ricains ont imaginĂ© un plan pour recongeler lâArctique grĂące Ă des pompes Ă©oliennes. Un projet particuliĂšrement coĂ»teux mais qui pourrait venir en aide Ă la calotte glaciaire du pĂŽle Nord dont lâĂ©tat actuel prĂ©occupe de plus en plus. Lire la suite â Au fond de lâArctique, des Ă©paves coulĂ©es ou abandonnĂ©es par la marine russe menacent aujourdâhui de libĂ©rer de fortes doses de radioactivitĂ©. Lire la suite â Entretien avec Jean Malaurie, aventurier, Ă©crivain, auteur de Ultima ThulĂ© » aux Ă©ditions du ChĂȘne. Lire la suite â Le bruit semblait provenir des fonds marins. [CLEMENT SABOURIN / AFP] MystĂšre dans lâArctique. LâarmĂ©e canadienne a ouvert un enquĂȘte pour tenter de dĂ©terminer lâorigine dâun bruit Ă©trange, une sorte de bip» venu du fond de la mer, entendu cet Ă©tĂ© dans la partie canadienne de lâArctique. Lire la suite â La banquise Arctique, la grande gaine dâeau de mer gelĂ©e flottant sur lâocĂ©an Arctique et ses mers voisines, a Ă©tĂ© frappĂ© avec un double coup dur au cours des derniĂšres dĂ©cennies que son Ă©tendue a rĂ©trĂ©ci, la glace la plus ancienne et la plus Ă©paisse a soit amincie ou fondu, laissant la calotte de glace de mer plus vulnĂ©rables Ă lâocĂ©an et Ă lâatmosphĂšre en rĂ©chauffement. Lire la suite â Une mystĂ©rieuse base construite par les Nazis durant la Seconde Guerre mondiale a refait surface sur lâĂźle dâAlexandra Land Ă kilomĂštres du PĂŽle Nord. Lire la suite â Lâartiste hawaĂŻen Sean Yoro alias HULA voyage vers les eaux de lâArctique, lâĂźle de Baffin, au Nunavut, oĂč il rĂ©alise des portraits de femmes Inuits sur de la glace de mer. Lire la suite â Une mission scientifique a littĂ©ralement tournĂ© au cauchemar en Arctique. Cinq scientifiques russes sont pris au piĂšge par une dizaine dâours polaires, et les secours ne sont pas prĂ©vus avant un mois. Lire la suite â Du 2 juillet â 10 aoĂ»t 2016, une Ă©quipe internationale et multidisciplinaire de scientifiques, de professionnels des mĂ©dias et Ă©ducateurs naviguent vers Borderlands de Tchouktches de lâArctique Ă bord du US Coast Guard Cutter Healy. Lire la suite â Le sous-marin nuclĂ©aire USS Hartford a perforĂ© lâĂ©paisse couche glaciaire pour Ă©merger dans le dĂ©cor immaculĂ© du cercle arctique⊠Lire la suite â En attendant le retour normal du site je vous propose cette Ă©mission de Thalassa sur les PĂŽles. Scientifiques, aventuriers ou touristes, ils ne rĂȘvent que de Blanc. En France cette passion pour les univers gelĂ©s et inhospitaliers des pĂŽles rĂ©unit les membres dâun club » trĂšs fermĂ© ! LâArctique et lâAntarctique ont attirĂ© et sĂ©duit, au fil des siĂšcles, des personnalitĂ©s trĂšs diffĂ©rentes. Toutes ont payĂ© de leur personne, parfois chĂšrement, pour accĂ©der Ă ces terres promises. Deux mondes bien diffĂ©rents au Nord lâArctique est un ocĂ©an de glace entourĂ© par des continents alors quâau Sud lâAntarctique est un continent gelĂ© entourĂ© par la mer. La science nous dit que lâeau chaude se transforme en un nuage de cristaux de glace quand il est jetĂ© Ă des tempĂ©ratures sous zĂ©ro, mais le photographe Michael Davies a rĂ©ussi la capture de ce phĂ©nomĂšne. Lire la suite â Depuis plusieurs annĂ©es, le photographe marine Alexander Semenov a conduit une Ă©quipe de plongeurs Ă lâUniversitĂ© dâEtat de Moscou Station biologique de la mer Blanche situĂ© juste au sud du cercle arctique. Lire la suite â CrĂ©dit Michelle Valberg/National Geographic Traveler Photo Contest Bon week end Ă toutes et Ă tous Yacht Vagabond dans les eaux arctiques â photo par Eric Brossier⊠Naviguer en voilier dans les eaux glaciales du passage du Nord-Ouest qui relie les ocĂ©ans Atlantique et Pacifique, au dessus du grand Nord canadien⊠Impossible, se dira-t-on. La banquise fait obstacle ! Et pourtant, en 2017, une nouvelle course Ă la voile empruntant cette route devrait voir le jour. Lire la suite â DonnĂ©es de la NASA montrent que la mer moyenne de glace qui ont diminuĂ© considĂ©rablement, avec une chute abrupte entre 2002 et 2008. Lire la suite â LocĂ©an Arctique - Ă©galement connu sous le nom d'ocĂ©an glaciaire arctique - est l'une des divisions de l'ocĂ©an mondial caractĂ©risĂ©e par le fait qu'elle est la plus petite et la plus septentrionale de la Terre. Il est situĂ© autour du cercle polaire arctique, il occupe donc la zone maritime entre l'AmĂ©rique du Nord, l'Asie et l'Europe. Fonte de la banquise, feux de forĂȘts, cyclones, dĂ©clin des ours polaires, des caribous et des proies traditionnelles des Inuit, arrivĂ©e de nouvelles espĂšces et de nouvelles maladies⊠Le Grand Nord et ses habitants subissent de plein fouet les effets du rĂ©chauffement climatique. Pour Edward Struzik, journaliste canadien, les changements en cours dans lâArctique sont une indication de ce qui va se passer dans dâautres rĂ©gions du monde ». Mais derriĂšre la montĂ©e des tempĂ©ratures se profile une autre menace, tout aussi grave les projets des industriels attirĂ©s par la fonte des dans lâArctique, dâĂ©chapper Ă la rĂ©alitĂ© du changement climatique. La rĂ©gion situĂ©e Ă lâintĂ©rieur du cercle polaire se rĂ©chauffe deux fois plus vite que le reste de lâhĂ©misphĂšre nord. Chaque annĂ©e, les mĂ©dias internationaux font leurs grands titres sur le nouveau record de fonte de la banquise. En 2040, 2030 peut-ĂȘtre, lâocĂ©an Arctique sera totalement libre de glaces durant lâĂ©tĂ©. Ce mois de fĂ©vrier 2016 a vu de nouveaux records de tempĂ©rature 5ÂșC de plus que la normale selon la NASA, voire 10ÂșC Ă certains endroits. Les rĂ©gions polaires vont-elles bientĂŽt se retrouver dĂ©possĂ©dĂ©es de leur hiver », comme le craignent les habitants de Fort Yukon, en Alaska ? Pour beaucoup dâacteurs Ă©conomiques, cependant, lâouverture de lâArctique a plutĂŽt le caractĂšre dâune aubaine que dâune catastrophe. Les multinationales pĂ©troliĂšres et miniĂšres, en particulier, se promettent dâexploiter les vastes ressources restĂ©es jusquâici inaccessibles sous les glaces. Une Ă©tude amĂ©ricaine de 2008 estime que lâArctique abriterait pas moins de 30% des rĂ©serves rĂ©cupĂ©rables globales de gaz naturel, et 13% des rĂ©serves rĂ©cupĂ©rables de pĂ©trole. Des chiffres trĂšs incertains mais qui en font rĂȘver beaucoup, et qui ont poussĂ© des multinationales comme Shell Ă se lancer dans des forages offshore dans lâocĂ©an Arctique, malgrĂ© les difficultĂ©s et les risques pour lâenvironnement. Sây ajoutent des gisements potentiellement considĂ©rables de diamants, dâor, de fer, dâuranium et dâautres mĂ©taux. Dans un rapport de 2014, le sĂ©nateur AndrĂ© Gattolin EELV Ă©voque un emballement parfois irrationnel mais bien rĂ©el liĂ© aux opportunitĂ©s offertes par la fonte de la banquise » certains des dĂ©veloppements envisagĂ©s pour lâArctique relĂšvent sans doute encore largement du fantasme, mais les convoitises quâil suscite ont dĂ©jĂ enclenchĂ© un mouvement qui risque de fragiliser davantage encore le Grand Nord et ses habitants. Aussi vaste, froid, Ă©loignĂ© et dĂ©peuplĂ© que soit lâArctique, ce qui sây passe nâest pas sans importance pour le reste du monde », explique le journaliste canadien Edward Struzik dans son livre Future Arctic [1], paru lâannĂ©e derniĂšre, qui tente de dresser le tableau de cette rĂ©gion en pleine mutation. Dâabord parce que les changements dĂ©jĂ en cours dans lâArctique constituent une indication de ce qui va se passer dans dâautres rĂ©gions du monde ». Mais aussi parce que la fonte de lâArctique fait sentir ses rĂ©percussions dans la planĂšte tout entiĂšre, Ă travers lâĂ©lĂ©vation du niveau des ocĂ©ans, la modification des courants marins et des courants aĂ©riens [2]⊠sans parler de ses effets en retour sur le climat global Ă©missions de mĂ©thane dues Ă la fonte du permafrost, moindre rĂ©flexion de la lumiĂšre solaire. Un Arctique bientĂŽt mĂ©connaissable ? En rĂ©alitĂ©, la fonte des glaces ne constitue que lâaspect le plus visible â pour nous â des bouleversements climatiques que connaĂźt lâArctique. Risques accrus de tempĂȘtes voire de cyclones comme celui qui a frappĂ© la rĂ©gion durant lâĂ©tĂ© 2012, et qui a durĂ© pas moins de deux semaines, multiplication des feux de forĂȘts massifs comme ceux qui ont carbonisĂ© 6% du territoire de lâAlaska et 4% de celui du Yukon en 2004, ou provoquĂ© des centaines de morts en SibĂ©rie en 2012 et 2015 [3], accroissement des prĂ©cipitations en automne et fonte prĂ©coce des neige au printemps⊠Ces phĂ©nomĂšnes climatiques dont les effets se conjuguent les tempĂȘtes sont dâautant plus dangereuses, par exemple, que les littoraux fragiles ne sont plus protĂ©gĂ©s par les glaces se traduisent, par effet de cascade, en bouleversements Ă©cologiques et sociaux. Les premiers affectĂ©s sont les Inuit et les autres populations autochtones du Grand Nord, dont les cultures se sont dĂ©veloppĂ©es en association Ă©troite avec ce monde frigide » et qui sont dĂ©jĂ dans un Ă©tat de rapide rĂ©organisation Ă©conomique et de rĂ©ajustement social ». La chasse et la pĂȘche, importantes Ă la fois culturellement et pour la survie mĂȘme de ces communautĂ©s, deviennent de plus en plus difficiles, aggravant lâinsĂ©curitĂ© alimentaire chronique qui rĂšgne depuis toujours dans la rĂ©gion. Au dĂ©clin des proies traditionnelles, comme le narval ou le caribou, sâajoutent la glace devenue trop mince pour supporter le poids des traĂźneaux et les conditions mĂ©tĂ©orologiques erratiques, qui mettent en dĂ©faut les savoirs traditionnels des aĂźnĂ©s. DĂšs 2012, le rapporteur de lâONU sur le droit Ă lâalimentation, Olivier de Schutter, avait rĂ©primandĂ© le gouvernement canadien sur son incapacitĂ© Ă protĂ©ger les communautĂ©s autochtones du pays, et plusieurs rapports sont venus depuis confirmer les risques [4]. Ă quoi ressemblera lâArctique dans un siĂšcle ? En 2100, des arbres Ă feuilles caduques auront remplacĂ© en grande partie les conifĂšres et, plus au nord, des arbres auront poussĂ© lĂ oĂč il nây avait que glaces et toundra. Les neuf dixiĂšmes de lâhabitat des caribous auront alors disparu. Encore nâest-ce lĂ que le scĂ©nario le plus consensuel, peut-ĂȘtre trop optimiste. Cela fait des annĂ©es que lâArctique change beaucoup plus rapidement que prĂ©vu. Tout dĂ©pendra aussi, bien entendu, de lâĂ©volution des Ă©missions globales de gaz Ă effet de serre, mĂȘme si en ce qui concerne lâArctique, une transformation profonde est dĂ©sormais inĂ©vitable. La biodiversitĂ© animale en premiĂšre ligne Câest ce quâillustre de maniĂšre Ă©clatante lâĂ©volution de la biodiversitĂ© animale. Les ours polaires sont touchĂ©s de plein fouet par la fonte des glaces, qui constituent leur terrain naturel pour chasser le phoque 90% de leur alimentation. La banquise disparaĂźt de plus en plus tĂŽt au printemps, pĂ©riode cruciale pour la reproduction. En consĂ©quence, non seulement les ours blancs dĂ©clinent en nombre, mais ils sont aussi de plus en plus maigres, et font de moins en moins de petits. Les grizzlis, en nombre de plus en plus important dans lâArctique, occupent le terrain laissĂ© vacant, ou se mĂ©langent Ă eux, produisant une nouvelle espĂšce hybride. Les renards roux font de plus en plus concurrence aux renards arctiques. Pumas et coyotes sâaventurent eux aussi pour la premiĂšre fois dans le grand Nord canadien sur les traces de leurs proies habituelles, comme les cerfs et les Ă©lans, dĂ©sormais mieux adaptĂ©s Ă ces paysages en pleine mutation que les caribous. La disparition de la barriĂšre de glace permet aux saumons du Pacifique de remonter eux aussi vers le nord, de mĂȘme quâaux orques, jusquâalors inconnus dans ces contrĂ©es, qui sâattaquent aux narvals et aux bĂ©lugas que les Inuit ont de plus en plus de mal Ă capturer. Tous ces nouveaux arrivants amĂšnent avec eux des maladies jusquâici inconnues dans le Grand Nord, fragilisant encore davantage les espĂšces polaires. Des dizaines de millions dâoiseaux migraient chaque Ă©tĂ© depuis le monde entier y compris la Nouvelle-ZĂ©lande et lâAntarctique vers lâArctique, pour profiter de lâabondance de nourriture et de la lumiĂšre, de paysages prĂ©servĂ©s et de lâabsence relative de parasites et de prĂ©dateurs. Au moins 40% des espĂšces concernĂ©es seraient aujourdâhui en dĂ©clin. Ours polaires et caribous au centre des dĂ©bats sur le climat Nul hasard donc si des espĂšces emblĂ©matiques comme lâours polaire ou le caribou sont devenues lâĂ©picentre de dĂ©bats politiques et scientifiques acharnĂ©s autour de lâenjeu climatique et du type de rĂ©ponse Ă y apporter. On se souvient des controverses qui ont accompagnĂ© il y a quelques annĂ©es la classification de lâours polaire comme espĂšce menacĂ©e par lâadministration fĂ©dĂ©rale amĂ©ricaine et des dĂ©bats sur lâouverture ou non de lâAlaska National Wildlife Refuge, une des principales zones refuge des ours blancs â cf. le cĂ©lĂšbre Drill baby drill » de la candidate rĂ©publicaine Ă la vice-prĂ©sidente Sarah Palin. En 2011, lâĂtat de lâAlaska et plusieurs firmes Ă©nergĂ©tiques ont poursuivi en justice â avec succĂšs - lâadministration Obama, quâils accusaient dâavoir dĂ©fini une zone excessive » de protection de lâhabitat des ours polaires. Les industriels se prĂ©valent aujourdâhui encore dâĂ©tudes scientifiques suggĂ©rant que la menace serait largement surestimĂ©e, en argumentant notamment que les ours polaires vont rapidement devenir vĂ©gĂ©tariens pour sâadapter, en se nourrissant de baies sauvages plutĂŽt que de phoques [5] ! Les enjeux sont similaires en ce qui concerne les caribous. Leurs populations ont, Ă ce quâil semble, dĂ©jĂ connu des variations importantes au cours de lâhistoire et selon les troupeaux concernĂ©s, mais la tendance gĂ©nĂ©rale est au dĂ©clin prĂ©cipitĂ©. Le troupeau dit de Barthurst Territoires du nord-ouest et Nunavut au Canada aurait vu sa population tomber de 450 000 animaux en 1986 Ă seulement 32 000 en 2009, et peut-ĂȘtre 16 000 aujourdâhui. Celui de la riviĂšre George nord du QuĂ©bec et Labrador comptait plus de 800 000 caribous dans les annĂ©es 1960 ; ils nâĂ©taient plus que 16 000 en 2014, et seulement 10 000 Ă lâautomne 2015. Sur lâĂźle de Baffin, dans lâarchipel arctique canadien, oĂč le groupe ArcelorMittal vient dâouvrir une mine de fer gĂ©ante, la population de caribous a chutĂ© de 180 000 Ă 16 000 individus. Et les chiffres ne sont pas meilleurs du cĂŽtĂ© du vieux monde parmi les rennes de NorvĂšge ou de Russie. Les Nenets de la pĂ©ninsule de Yamal en Russie â lĂ oĂč Total dĂ©veloppe un immense projet gazier en partenariat avec Novatek â ont signalĂ© en 2014 la mort de plusieurs milliers de rennes au raison dâĂ©pisodes sĂ©vĂšres de glaciation. Les raisons de ce dĂ©clin sont Ă lâimage des phĂ©nomĂšnes en cascade qui modifient profondĂ©ment les conditions Ă©cologiques et sociales de lâArctique. Les caribous voient leurs habitats traditionnels peu Ă peu dĂ©truits Ă la fois par de nouveaux phĂ©nomĂšnes naturels » par exemple les incendies de forĂȘt et par lâexpansion progressive des activitĂ©s industrielles, comme les sables bitumineux dans la province de lâAlberta au Canada, ou touristiques, comme au Groenland. Les changements du paysage les rendent Ă©galement plus vulnĂ©rables face Ă des prĂ©dateurs comme les loups. De nouvelles maladies ont fait leur apparition. Et le rĂ©chauffement attire des millions dâinsectes qui, en harcelant les caribous, les empĂȘchent de se nourrir de maniĂšre adĂ©quate et dâatteindre le poids nĂ©cessaire pour la reproduction. Les activitĂ©s industrielles, aussi dangereuses que le rĂ©chauffement Enfin, bien sĂ»r, il y a la chasse, touristique ou traditionnelle â cette derniĂšre constituant souvent un bouc Ă©missaire facile. Dans des rĂ©gions oĂč les prix alimentaires sont extrĂȘmement Ă©levĂ©s, un seul caribou reprĂ©sente une source cruciale de nourriture, mais aussi une Ă©conomie Ă©quivalente Ă plusieurs centaines de dollars. Surtout, les caribous sont aux Inuit, aux Dene et aux autres peuples de lâArctique ce que le bison Ă©tait pour les Indiens dâAmĂ©rique du Nord », rappelle Ed Struzik. Lorsque les bisons ont disparu des Grandes Plaines, les cultures des tribus et des PremiĂšres nations se sont effondrĂ©, et ne sâen sont jamais totalement remises. » Pas Ă©tonnant dans ces conditions que le groupe nuclĂ©aire français Areva ait subi une telle levĂ©e de boucliers avec son projet de mine dâuranium de Kiggavik, dans le Nunavut, en plein dans la zone de reproduction du troupeau de caribou de Beverly [6]. GĂ©nĂ©ralement, cependant, les autoritĂ©s politiques rechignent Ă adopter ce qui serait pourtant la solution la plus efficace protĂ©ger les habitats des caribous, et notamment les zones de reproduction ,de toute forme dâactivitĂ© miniĂšre, industrielle ou touristique. Lâheure semble plutĂŽt aux solutions dâingĂ©nierie Ă©cologique, comme le massacre Ă grande Ă©chelle des loups pour protĂ©ger leurs proies pratiquĂ© depuis des dĂ©cennies, mais qui sâest rĂ©vĂ©lĂ© globalement inefficace, la transplantation de troupeaux entiers ou encore la protection des femelles et de leurs petits dans des rĂ©serves durant la pĂ©riode de vulnĂ©rabilitĂ© suivant la naissance, oĂč il seraient temporairement nourris Ă la main par les hommes⊠Certes, le climat de lâArctique a dĂ©jĂ changĂ© plusieurs fois de climat au cours des millions dâannĂ©es Ă©coulĂ©es. Ă certaines Ă©poques, il a mĂȘme Ă©tĂ© quasi tropical ; on a retrouvĂ© dans la rĂ©gion polaire des fossiles dâhippopotames, de tortues, dâalligators ou de tapirs prĂ©historiques, qui vivaient il y a 50 millions dâannĂ©es dans une forĂȘt luxuriante au climat semblable Ă celui de la Floride aujourdâhui. En pĂ©riode de glaciation, Ă lâinverse, les grandes quantitĂ©s dâeau congelĂ©e ont fait baisser le niveau des ocĂ©ans, faisant Ă©merger de vastes terres aujourdâhui sous les eaux. Lâhistoire montre que les espĂšces animales sont souvent capables de sâadapter Ă ces changements du climat et de la nature. Le problĂšme pour les ours polaires et les caribous est que le rĂ©chauffement actuel est beaucoup plus marquĂ© et beaucoup plus rapide quâaux cours des millĂ©naires passĂ©s, et que les changements qui en dĂ©coulent se conjuguent aux effets de lâactivitĂ© humaine â la chasse, certes, mais aussi et surtout les activitĂ©s Ă©conomiques. Forages pĂ©troliers et gaziers, mines, routes et base militaires contribuent Ă dĂ©truire ou dĂ©stabiliser encore davantage des habitats dĂ©jĂ fragilisĂ©s. Sans parler de la pollution charriĂ©e par les grands fleuves russes ou canadiens qui viennent se jeter dans lâocĂ©an Arctique. Quel avenir pour lâArctique ? La protection du Grand Nord et de ses habitants sera-t-elle Ă la hauteur des risques qui pĂšsent sur eux ? Il y a des prĂ©cĂ©dents historiques fĂącheux, comme lâindustrialisation forcĂ©e de lâArctique russe par lâUnion soviĂ©tique dans les annĂ©es 1950 et 1960, qui a laissĂ© un lourd hĂ©ritage de pollution. Sans parler, plus rĂ©cemment, de lâimpact environnemental des sables bitumineux canadiens, en Alberta, dans la rĂ©gion subarctique [7]. La fin de lâArctique tel quâil a existĂ© pendant toute la pĂ©riode moderne est devant nous aujourdâhui, conclut Edward Struzik. Ce Ă quoi il ressemblera Ă lâavenir dĂ©pend en partie de nos choix politiques, en tant que gens du Nord ou gens du Sud, sur ce que nous voudrions quâil soit. » LâArctique ne doit pas ĂȘtre vu comme le symbole dâun rĂ©chauffement climatique irrĂ©versible dont on il nây aurait plus quâĂ subir passivement les consĂ©quences, tout en profitant autant que possible des opportunitĂ©s ainsi offertes. Alors mĂȘme que la rĂ©gion polaire subit de maniĂšre accĂ©lĂ©rĂ©e les effets en cascade du rĂ©chauffement, il reste lâheure de faire des choix. Olivier Petitjean - Ă lire Edward Struzik, Future Arctic. Field Notes from a World on the Edge, Island Press, 2015, 216 pages. Voir aussi les articles dâEd Struzik pour le magazine en ligne Yale Environment 360. Cet article est le premier dâune sĂ©rie sur les dĂ©veloppements industriels dans lâArctique et les projets dâentreprises comme Total, Areva ou ArcelorMittal dans la rĂ©gion. Prochain Ă©pisode La ruĂ©e sur les ressources du Grand Nord. â Photos USFWS CC Une ; Jake Vince CC glaces brisĂ©es ; Lwp KommunikĂĄciĂł CC coyote et caribous ; Berkeley Lab CC caribou. ArchipelArctique Connu Pour Son Loup Blanc La solution Ă ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre E Les solutions pour ARCHIPEL ARCTIQUE CONNU POUR SON LOUP BLANC de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Acheter mes billets Lors de votre visite au parc Les Loups du GĂ©vaudan vous apprendrez tant de choses sur lui la façon dont il communique, se nourrit, se dĂ©place, Ă©lĂšve ses petits. Familiarisez-vous dĂšs Ă prĂ©sent avec cette espĂšce au fil de ces pages. Les espĂšces Zoom sur Canis lupus Morphologie Comportements Naissance Vie sociale Communication Alimentation Retour naturel en France Les espĂšcesLe loup appartient Ă la famille des canidĂ©s du genre Canis. Il existe 3 espĂšces de loups Le loup gris / Canis lupus, le loup rouge / Canis rufus et le loup d'Abyssinie / Canis simensis. Les loups que vous rencontrerez lors de votre visite au Parc sont des Canis sur Canis lupusTout savoir sur le Canis lupus les populations actuelles, leur rĂ©partition et la liste des loup porte une criniĂšre qui commence Ă la base de la nuque pour sâĂ©tirer et devenir une simple crĂȘte, le long de lâĂ©pine dorsale Ă la Ă©paules, la criniĂšre mesure prĂšs de 15cm de large. Les poils du loup rendent ce dernier encore plus impressionnant lâhiver. Ainsi durant cette pĂ©riode les poils du dos et des flancs mesurent en moyenne entre 5 et comparaison avec le chien, la cage thoracique est beaucoup plus Ă©troite et les pattes sont plus longues. A cause de cette cage thoracique plus Ă©troite, les empreintes antĂ©rieures du loup sont plus rapprochĂ©es que celles du est relativement difficile dâobserver le loup dans la nature ; on peut vivre des mois dans une rĂ©gion oĂč ils sont encore en nombre sans avoir la chance dâen apercevoir un forĂȘt, une rencontre ne peut se produire quâavec le concours bienheureux du hasard, ou avec lâexpĂ©rience acquise, dâune parfaite connaissance du territoire de ces nous si un promeneur solitaire avait la chance dâapercevoir un loup dans un coin de forĂȘt, son observation serait trĂšs brĂšve ; le loup sâempresserait en effet de mettre la plus grande distance possible entre lui et lâhomme. Le loup fuit lâhomme ».TrĂšs difficile Ă apercevoir, il prĂ©fĂšre gĂ©nĂ©ralement chasser Ă lâaurore ou au crĂ©puscule, Ă©vitant ainsi de se dĂ©placer durant les heures les plus chaudes de la vie du loup commence dans une taniĂšre. Il ne s'agit Ă proprement parlĂ© de "l'abri" du loup car la taniĂšre nâest utilisĂ©e que par la louve et ses petits. Durant cette pĂ©riode, la meute sâinstallera et stationnera Ă proximitĂ© de la socialeQuelle que soit lâorigine des loups, la vie sociale reste la mĂȘme. La meute est composĂ©e de 4 Ă 6 individus en moyenne pour un territoire de 200 Ă 300 km2 dans le sud de lâEurope France, Italie, Espagne, Portugal, et comporte entre 8 et 15 individus en moyenne pour 1000 Ă 4000 km2 au Canada, par loup a un mode de communication bien particulier. Le loup communique avec des sons variĂ©s, gĂ©missements, jappements, grognements, aboiements, grondements, et bien entendu choeur formĂ© de toute la bande Ă©met des vocalisations ininterrompues qui couvrent plusieurs octaves. Mais contrairement Ă une croyance largement rĂ©pandue les loups ne hurlent pas forcĂ©ment plus les soirs de pleine loup montre une prĂ©dilection pour les grands herbivores sauvages. Exemples bison, wapiti , bĆuf musquĂ© , mouflon ou encore cerf , chevreuil , sanglier , chamois , mouflon etc⊠dans les plaines et les montagnes dâEurope. Seuls les plus vulnĂ©rables de ces espĂšces-proies seront Ă©videmment, il prĂ©date des proies de tailles plus rĂ©duites tels les lapins, liĂšvres, castors, marmottes, Ă©cureuils, mulots⊠Les loups sont certes des chasseurs mais sont Ă©galement des charognards. Retour naturel en FranceLe loup a Ă©tĂ© Ă©radiquĂ© en France entre 1920 et 1940, principalement Ă lâaide de poisons violents comme la strychnine. Son retour sâest dĂ©roulĂ© sur notre sol français dans le dĂ©but des annĂ©es quatre vingt dix, avec la premiĂšre observation officielle le 4 novembre 1992 dans le Parc National du Mercantour. Cette observation a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e lors dâun comptage de chamois par des agents du Parc National du Mercantour Il sâagissait de loups italiens Canis lupus italicus⊠Les espĂšces Zoom sur Canis lupus Morphologie Comportements Naissance Vie sociale Communication Alimentation Retour naturel en France Les taniĂšres du GĂ©vaudanDormiravec les loups Une trĂšs belle 1Ăšre visite. Je n' hĂ©siterai pas Ă recommander celle-ci auprĂšs de mes proches. Dommage que la possibilitĂ© d'hĂ©bergement 1 nuit sur place soit un peu trop couteuse. Bravo aux animateurs de l'atelier pĂ©dagogique sur les rapaces. Ils mĂ©ritent d'ĂȘtre encouragĂ©s dans leur dĂ©marche de sensibilisation du grand public associĂ©e avec le respect de l'animal. Une belle continuation Ă toute l'Ă©quipe! Date 2020-10-02 183005
Archipelarctique connu pour son loup blanc Archipel arctique connu pour son loup blanc en 9 lettres. Archipel arctique connu pour son loup blanc en 9 lettres. DĂ©finition ou synonyme. Nombre de lettres. Lettres connues et inconnues Entrez les lettres connues dans l'ordre et remplacez les lettres inconnues par un espace, un point, une virgule ou une Ă©toile.L'arrivĂ©e de nouvelles espĂšces est toujours un Ă©vĂšnement pour un parc animalier. Jeudi dernier, le domaine de Han-sur-Lesse a accueilli deux magnifiques loups blancs mĂąles de 11 mois. Ils sont nĂ©s en captivitĂ© au Safaripark de Knuthenborg, prĂšs de Maribo, au Danemark. Ils n'ont donc jamais connu le grand nord, l'Arctique et plus particuliĂšrement le Groenland oĂč leurs congĂ©nĂšres vivent en libertĂ©. Une espĂšce bien adaptĂ©e au grand nord Il y a beaucoup d'espĂšces de loups dont le loup gris, le plus commun. Le loup blanc est plus rare et adaptĂ© aux contrĂ©es dans lesquelles il Ă©volue; pattes plus larges pour Ă©viter de trop s'enfoncer dans la neige, museau et oreilles plus courtes pour limiter la dĂ©pense d'Ă©nergie et, bien entendu, un poil plus long et plus dense pour se protĂ©ger du froid et blanc pour se fondre dans son milieu naturel. Des Ă©changes d'espĂšces entre les parcs animaliers Le domaine de Han-sur-Lesse a acquis ces deux mĂąles grĂące aux Ă©changes qui se dĂ©roulent habituellement entre les divers parcs d'Europe. Plus question, aujourd'hui, d'aller prĂ©lever des animaux dans les milieux naturels juste pour les montrer au public. Le but est avant tout de prĂ©server les espĂšces Ă des fins pĂ©dagogiques et en les rĂ©introduisant dans la nature le cas Ă©chĂ©ant. Une femelle pour crĂ©er une meute complĂšte Les deux loups mĂąles d'Arctique de Han-sur-Lesse devraient dĂ©sormais rester lĂ . Ils ont connu le stress du voyage et surtout de la sĂ©paration avec leur meute d'origine une fois dĂ©jĂ , c'est bien suffisant. Ils vont maintenant devoir crĂ©er un nouvel environnement. Pour les aider une louve devrait les rejoindre bientĂŽt et choisir l'un d'eux pour se reproduire. Une nouvelle meute serait alors en route avec toute sa hiĂ©rarchie et son organisation sociale bien connue. SurlâĂźle de Baffin, dans lâarchipel arctique canadien, oĂč le groupe ArcelorMittal vient dâouvrir une mine de fer gĂ©ante, la population de caribous a chutĂ© de 180 000 Ă 16 000 individus. Et les chiffres ne sont pas meilleurs du cĂŽtĂ© du vieux monde parmi les rennes de NorvĂšge ou de Russie. Les Nenets de la pĂ©ninsule de Yamal en Russie â lĂ oĂč Total dĂ©veloppe un immense Dans le blizzard, des drapeaux russes, une sculpture Ă la gloire du communisme, un buste de LĂ©nine... Incongrus en terre occidentale, les emblĂšmes tĂ©moignent des visĂ©es internationales sur l'archipel norvĂ©gien du Svalbard en plein cĆur d'un Arctique un millier de kilomĂštres du pĂŽle Nord, ce territoire grand comme deux fois la Belgique, parfois considĂ©rĂ© comme le "talon d'Achille de l'Otan dans l'Arctique", offre Ă des puissances comme la Russie et la Chine une possibilitĂ© unique d'Ă©tendre leur empreinte dans une rĂ©gion stratĂ©giquement importante et Ă©conomiquement raison Ă cela ? Un traitĂ© atypique, conclu en 1920 Ă Paris, qui reconnaĂźt la souverainetĂ© de la NorvĂšge sur le Svalbard mais garantit aussi aux ressortissants des Etats signataires aujourd'hui 46 la libertĂ© d'y exploiter les ressources naturelles "sur un pied de parfaite Ă©galitĂ©". C'est Ă ce titre que, depuis des dĂ©cennies, la Russie - l'URSS avant elle - extrait du charbon sur ces terres habitĂ©es par moins de personnes d'une cinquantaine de tout ou presque est glacial la nature avec ses pics enneigĂ©s, ses glaciers et ses glaces marines malmenĂ©s par le changement climatique, les tempĂ©ratures qui tombent souvent Ă -20°C l'hiver, mais aussi le dĂ©cor façonnĂ© par les avec sa sculpture gĂ©ante proclamant "Notre objectif - le communisme" et ses autres vestiges soviĂ©tiques, le village de Barentsburg pĂ©rennise la prĂ©sence russe sur l' 370 Russes et Ukrainiens du Donbass y cohabitent encore autour d'un filon de houille de piĂštre qualitĂ©. PlongĂ©s dans une obscuritĂ© totale l'hiver, sans route pour rejoindre le chef-lieu Longyearbyen peuplĂ© essentiellement de NorvĂ©giens, ils dĂ©pendent de la mer pour ĂȘtre les hauteurs, trĂŽne le consulat de Russie, moderne et protĂ©gĂ© par de hautes grilles. SergueĂŻ Gouchtchine y reçoit dans une entrĂ©e en marbre Ă©gayĂ©e par un jardin d'hiver, un luxe qui dĂ©tonne avec l'allure dĂ©catie des bĂątisses environnantes."Le Spitzberg est recouvert de la sueur et du sang du peuple russe depuis des siĂšcles", affirme le consul. "Je ne conteste pas que c'est un territoire norvĂ©gien mais il fait aussi partie de l'histoire russe".A la toponymie officielle - "Svalbard" - choisie par la NorvĂšge pour asseoir son emprise sur l'archipel, les Russes prĂ©fĂšrent systĂ©matiquement le nom historique de "Spitzberg" ou "Spitsberg", une dissonance qui n'est symboliquement pas que ses pĂȘcheurs et chasseurs venaient sous ces latitudes dĂšs le XVIe siĂšcle traquer la baleine, le phoque et l'ours polaire et qu'elle y est aujourd'hui, hormis la NorvĂšge, le seul acteur Ă©conomique d'importance, la Russie veut avoir voix au chapitre sur la gouvernance du L'arme environnementale - Incidemment, l'archipel, notamment l'Ăźle la plus au sud, BjĂžrnĂžya l'Ăźle aux Ours, est postĂ© prĂšs des eaux que les sous-marins nuclĂ©aires russes de la puissante Flotte du Nord doivent emprunter pour gagner l'ocĂ©an Atlantique."Le principal intĂ©rĂȘt des Russes est d'Ă©viter une situation oĂč d'autres pourraient utiliser l'endroit Ă des fins offensives", analyse Arild Moe, chercheur Ă l'Institut Fridtjof Nansen Ă Oslo."Pour ce faire, ils y maintiendront une prĂ©sence raisonnable et seront aussi trĂšs attentifs Ă ce qui s'y produit", avoir plaidĂ©, en vain, pour une cogestion au sortir de la Seconde Guerre mondiale, la Russie rĂ©clame maintenant, sans plus de succĂšs, des "consultations bilatĂ©rales" pour lever les restrictions qui, dit-elle, brident ses activitĂ©s dans l' filon de charbon tournant depuis longtemps Ă perte, Barentsburg a ajoutĂ© des cordes Ă son arc en se diversifiant dans la recherche scientifique et le tourisme. On y vient en motoneige ou en bateau, selon les saisons, pour admirer ce qui fut pendant des dĂ©cennies une vitrine de l'URSS du cĂŽtĂ© occidental du Rideau de ces vestiges du passĂ©, "on les garde ici non pas parce qu'on aspire toujours au communisme mais parce que l'on tient Ă notre patrimoine et aussi parce que les touristes aiment se prendre en photo avec", glisse la guide et historienne Natalia Moscou reproche aux autoritĂ©s norvĂ©giennes d'entraver l'expansion de ses activitĂ©s en invoquant la protection de la nature, un impĂ©ratif contenu dans le traitĂ© fondateur. Les vols d'hĂ©licoptĂšres russes sont par exemple trĂšs strictement encadrĂ©s."On a commencĂ© Ă mettre en place des rĂ©serves naturelles autour des implantations russes", reconnaĂźt l'ancien diplomate Sverre Jervell, architecte de la politique norvĂ©gienne dans la rĂ©gion de la mer de Barents."Surtout aprĂšs la fin de la Guerre froide et la dissolution de l'URSS, quand Barentsburg peinait Ă rester Ă flot".Pour rĂ©frĂ©ner les ambitions russes ? "Pas officiellement, mais en rĂ©alitĂ©, oui", dit-il. "On avait bien sĂ»r de bons arguments c'est une nature trĂšs fragile. Mais on a en particulier protĂ©gĂ© les espaces autour des implantations russes".Outre Barentsburg, la Russie a longtemps maintenu d'autres communautĂ©s miniĂšres Pyramiden, Grumant sur l'archipel, Ă tel point que le nombre de Russes y dĂ©passait largement celui des NorvĂ©giens Ă la fin de la Guerre Action, rĂ©action - RĂ©guliĂšrement, la Russie hausse la voix et accuse la NorvĂšge de violer une disposition importante du traitĂ© qui, de facto, fait du Svalbard un espace escale de frĂ©gate norvĂ©gienne ou visite de parlementaires de l'Otan donne lieu Ă des protestations pour la gigantesque station satellite Svalsat, prĂšs de Longyearbyen, la plus grande installation de ce type au un plateau venteux, tout prĂšs de la RĂ©serve mondiale de semences la fameuse "Arche de NoĂ© vĂ©gĂ©tale", quelque 130 antennes abritĂ©es par des radĂŽmes blancs aux airs de balles de golf gĂ©antes communiquent avec l'espace. Et tĂ©lĂ©chargent des donnĂ©es militaires, fustige janvier, un des deux cĂąbles Ă fibre optique reliant Svalsat au continent a Ă©tĂ© mystĂ©rieusement critiques fusent dans les deux sens. La Russie est, elle aussi, accusĂ©e de prendre des libertĂ©s avec le lorsque son vice-Premier ministre Dmitri Rogozine, pourtant sur la liste des sanctions europĂ©ennes aprĂšs l'annexion russe de la CrimĂ©e en 2014, a fait une apparition impromptue au Svalbard en quand des forces spĂ©ciales tchĂ©tchĂšnes en route pour un exercice prĂšs du pĂŽle Nord y ont fait escale l'annĂ©e les experts excluent la réédition du scĂ©nario crimĂ©en dans l'archipel, ils disent s'attendre Ă y observer de nouvelles passes d'armes Ă cause du nouveau coup de froid provoquĂ© par l'invasion russe de l'Ukraine le 24 fĂ©vrier."Le Svalbard est sensible Ă la conjoncture internationale", analyse Arild Moe. "C'est un endroit oĂč la Russie peut facilement exprimer son mĂ©contentement et mettre la pression sur la NorvĂšge. On va probablement le voir Ă l'avenir".- "Talon d'Achille de l'Otan" -Pour James Wither, professeur au Centre europĂ©en d'Ă©tudes de sĂ©curitĂ© George C. Marshall, l'archipel est le "talon d'Achille de l'Otan dans l'Arctique" car son "Ă©loignement de la NorvĂšge continentale et son statut juridique particulier le rendent politiquement et militairement vulnĂ©rable Ă l'aventurisme russe"."Bien que le danger d'une confrontation militaire directe reste faible", Moscou pourrait ĂȘtre tentĂ© d'y avancer de maniĂšre Ă diviser le camp occidental, Ă©crivait l'ancien officier britannique en NorvĂšge cherche Ă minimiser les griefs russes, arguant qu'ils sont connus de longue date et qu'elle jouit sur ces Ăźles de la mĂȘme souverainetĂ© que sur n'importe quelle autre partie de son pour avoir rĂ©ussi Ă nouer des liens Ă©troits avec son homologue russe SergueĂŻ Lavrov quand il Ă©tait ministre des Affaires Ă©trangĂšres entre 2005 et 2012, le Premier ministre norvĂ©gien Jonas Gahr StĂžre se veut l'apĂŽtre de l'adage "Grand Nord, basses tensions"."Je ne dirais pas que nous sommes en train d'ĂȘtre testĂ©s, mais il y a un intĂ©rĂȘt grandissant pour l'Arctique des pays riverains et plus Ă©loignĂ©s", dit-il."Nous souhaitons voir les communautĂ©s se dĂ©velopper au Svalbard ... et cela se fera de maniĂšre transparente", prĂ©caution, l'Etat norvĂ©gien a tout de mĂȘme dĂ©boursĂ© 300 millions de couronnes 33,5 millions d'euros en 2016 pour acheter un immense domaine foncier Ă proximitĂ© immĂ©diate de Longyearbyen, le seul encore dans des mains privĂ©es sur l' Ă l'intĂ©rĂȘt supposĂ© d'investisseurs Ă©trangers, notamment chinois, le gouvernement d'alors avait justifiĂ© l'achat de ces 217,6 km2 par son "souhait que ces terres soient norvĂ©giennes".L'arrivĂ©e Ă©ventuelle de nouvelles puissances soulĂšve la crainte d'une dĂ©stabilisation, une peur sur laquelle la Russie ne manque pas de jouer."Si nous quittions le Spitzberg, qui viendrait prendre notre place ?" demande le consul SergueĂŻ Gouchtchine. "Cela pourrait ĂȘtre la Chine par exemple ou les Etats-Unis, ou n'importe quel autre Etat partie au traitĂ©".- "Diplomatie par la science" -Au mĂȘme titre que le Groenland, l'Islande ou les Ăźles FĂ©roĂ©, le Svalbard semble bien dans le viseur de la Chine qui se dĂ©finit comme un Etat "quasi Arctique" et affiche sa volontĂ© d'Ă©tablir une "route de la Soie polaire".Dans un Arctique qui se rĂ©chauffe trois fois plus vite que la planĂšte, le recul de la banquise ouvre des opportunitĂ©s Ă©conomiques, rĂ©elles ou fantasmĂ©es nouvelles zones de pĂȘche, nouvelles routes maritimes commerciales, accĂšs plus facile Ă de potentielles ressources pĂ©tro-gaziĂšres et minĂ©rales...Tout est bon pour mettre le pied dans la localitĂ© de l'archipel, Ny-Ă lesund est une ancienne communautĂ© miniĂšre dĂ©sormais tournĂ©e vers la recherche scientifique les bĂątisses occupĂ©es par les institutions d'une dizaine de pays, difficile de ne pas voir celle occupĂ©e par les chercheurs de la Chine impĂ©riale, deux grands lions gardiens en marbre veillent sur l'entrĂ©e du vĂ©nĂ©rable bĂątiment, propriĂ©tĂ© de l'Etat norvĂ©gien mais rebaptisĂ© "station Fleuve jaune" par ses locataires de l'Institut de recherche polaire de Chine PRIC.Un flagrant exemple de "planter de drapeau", de "diplomatie par la science" dont la portĂ©e ne doit pas ĂȘtre sous-estimĂ©e, selon TorbjĂžrn Pedersen, professeur norvĂ©gien de sciences politiques Ă l'universitĂ© de BodĂž."Certaines capitales Ă©trangĂšres en sont venues Ă dĂ©peindre leur prĂ©sence lĂ -bas comme des stations nationales et des positions stratĂ©giques susceptibles de leur donner une influence politique sur les Ăźles et dans la rĂ©gion arctique au sens large", Ă©crivait-il dans le Polar Journal en 2021."Une partie de la prĂ©sence scientifique au Svalbard peut sembler motivĂ©e par des motivations gĂ©opolitiques", ajoutait-il. Elle "pourrait potentiellement enhardir certains acteurs Ă©tatiques, y compris des grandes puissances, avec des aspirations rĂ©gionales - et devenir un vĂ©ritable dĂ©fi de sĂ©curitĂ© pour le pays hĂŽte, la NorvĂšge".Les autoritĂ©s norvĂ©giennes voient d'un mauvais Ćil ces postures qui ont davantage leur place en Antarctique que dans un pays 2019, elles ont lancĂ© une nouvelle stratĂ©gie officielle qui vise Ă affaiblir cette logique de stations autonomes sur lesquelles chaque nation ferait flotter son pavillon. L'accent doit ĂȘtre mis dorĂ©navant sur des recherches communes par thĂ©matiques au sein d'infrastructures mission scientifique franco-allemande AWIPEV semble faire les frais de cette reprise en main. Depuis 2014, France et Allemagne souhaitent regrouper au sein d'un bĂątiment unique leurs moyens actuellement dispersĂ©s sur plusieurs emprises, mais le dossier n'avance coulisse, il se murmure que les NorvĂ©giens redoutent de crĂ©er un prĂ©cĂ©dent."On ne peut pas faire quelque chose pour les Français et refuser la mĂȘme chose aux Chinois", rĂ©sume Sverre Jervell. "Le principe du traitĂ© du Svalbard est de ne pas discriminer". INFORMATIONSRĂSERVATIONS GRANDS ESPACES SIĂGE SOCIAL / SUISSE Bureaux : Du lundi au vendredi 8h / 17h 30 Avenue GĂ©nĂ©ral Guisan 3960 SIERRE TĂ©l. : 0274 561 461 info@ / BELGIQUE Bureaux : Du lundi au vendredi 9h / 18h samedi 10h / 16h 4, rue dâAlsace 21200 Beaune TĂ©l. : 0351 251 251 info@grandsespaces.fr Ce catalogue FinlandeFranceLes AçoresSvalbardPologne Ătes-vous un fan dĂ©vouĂ© de David Attenborough avec un dĂ©sir ardent dâobserver les animaux dans leur habitat naturel ? Vous serez peut-ĂȘtre surpris dâapprendre quâil nâest pas nĂ©cessaire dâaller trĂšs loin pour rĂ©aliser ces rĂȘves ! Voici oĂč jeter un coup dâĆil sur la faune exotique en EuropeâŠ. Finlande Avec ses paysages luxuriants composĂ©s de forĂȘts vierges, de lacs glaciaires et de falaises arctiques balayĂ©es par le vent, la Finlande offre un habitat idĂ©al Ă une faune diversifiĂ©e. Des chasseurs impressionnants comme les ours, les lynx et les loups aux oiseaux spectaculaires comme les aigles, les grues et les cygnes, un voyage en Finlande offre aux amoureux de la nature la chance dâobserver certaines des crĂ©atures les plus rares du monde. Que vous soyez un ornithologue passionnĂ©, un photographe animalier amateur ou simplement un amoureux des parcs nationaux majestueux, la Finlande ne peut manquer de vous enchanter et de vous inspirer. France Avec les cĂŽtes de lâAtlantique, de la MĂ©diterranĂ©e et de la mer du Nord, ainsi que des paysages Ă©tendus et de nombreuses chaĂźnes de montagnes, la France offre une grande diversitĂ© dâhabitats pour la faune sauvage. Explorez la Camargue Ă la recherche de magnifiques flamants roses, de chevaux blancs et de taureaux noirs ou dirigez-vous vers les PyrĂ©nĂ©es pour un Eden alpin peuplĂ© dâaigles royaux et de chamois cabriolets. On peut mĂȘme aller Ă la recherche de loups dans les Alpes françaises â lâespĂšce a fait un retour sur les pentes dans les annĂ©es 90 aprĂšs avoir Ă©tĂ© chassĂ©e avec distinction une cinquantaine dâannĂ©es auparavant. Les Açores Cet archipel portugais souvent nĂ©gligĂ© est riche en beautĂ© naturelle et en faune, ce qui nâest pas surprenant quand on sait quâil sâĂ©tend sur plus de 6 000 milles le long de la dorsale mĂ©dio-atlantique. Bien quâil y ait beaucoup dâoiseaux et de plantes intĂ©ressantes sur les Ăźles pour intriguer les amateurs de faune sauvage â comme le Bouvreuil des Açores et la Sterne de Dougall â le vĂ©ritable trĂ©sor se trouve dans la mer bleue profonde. Plus de 25 espĂšces de baleines, dauphins et marsouins ont Ă©tĂ© recensĂ©es dans les eaux des Açores, dont le rorqual bleu. Svalbard Lâarchipel du Svalbard en NorvĂšge est lâune des rĂ©gions habitĂ©es les plus septentrionales du monde. Bien quâil soit bien connu pour son terrain glacĂ© et sa toundra gelĂ©e oĂč lâon trouve des ours polaires, des rennes et des renards arctiques, lâĂ©tĂ© polaire offre aux visiteurs lâoccasion de vraiment se familiariser avec la faune Ă mesure que la lumiĂšre dure 24 heures sur 24. Les oiseaux migrateurs arrivent au printemps pour nicher, grĂące aux eaux nutritives environnantes. Les morses, les phoques et les baleines pĂ©nĂštrent Ă©galement dans les fjords Ă cette Ă©poque, tandis que plus tard dans lâĂ©tĂ©, lorsque la neige fond, les bateaux peuvent pousser plus au nord dans lâarchipel, couvrant plus de terrain pour observer les ours. Pologne Les parcs nationaux de Pologne BiaĆowieza et de Biebrza abritent les plus grands troupeaux de bisons en libertĂ© dâEurope ainsi que de nombreux cerfs rouges, orignaux et lynx dâEurasie. La pittoresque vallĂ©e de Narew est souvent appelĂ©e » lâAmazonie polonaise » avec ses zones humides hospitaliĂšres qui offrent aux oiseaux, castors et loutres dâexcellentes aires de reproduction. Bien quâon trouve encore des loups Ă divers endroits en Pologne, comme dans les Carpates et dans la forĂȘt vierge BiaĆowieza, ils peuvent ĂȘtre notoirement difficiles Ă suivre. 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